je me rappelle que l'un d'entre nous vient de franchir une dizaine aujourd'hui.
Alors, je lui souhaite un bon anniversaire. Est-ce que les vieux os vont supporter encore quelques Rocs endiablés, ou bien iront-ils vers d'autres destinations pour des itinéraires et des sorties fantastiques ???
Nous le saurons très prochainement.
Que la force soit avec toi, que la vélocité soit reine et que le parcours soit vallonné et jalonné de mille merveilles !
A très bientôt ...
vendredi 29 janvier 2010
mardi 26 janvier 2010
miam miam !! on groupe ?
Avec ce regain d'energie , il va falloir s'alimenter !!
c'est pourquoi je vous propose de faire un achat groupe de barre energisante chez fenioux sport
voici les barres et parfun proposé:
Vous pouvez egalement choisir d'autre produit.
Qui est interressé et par quoi ?, l'interet est de pouvoir mixer les parfuns et type de barre en partageant.
le port est graduit a partir de 30€!
je vous donne mon choix: barre fruitee exotique et mac'amande à la noix de coco et fruit des bois
je vous laisse jusqu'a dimanche ensuite je passe commande.
christophe
Un résumé bien mérité !
Hé bien oui, effectivement il s'agit là d'un retour et pour 2010 nous devons dors et déjà nous fixer des objectifs afin de se retrouver une belle forme de vététeux au moment T. Mais quand sera ce fameux moment "T" ? A nous de le définir...
Mais en ce premier dimanche matin, les choses n'étaient pas aussi faciles qu'on le pensait. Je ne parlerai même pas de ces fameuses sensations de fin de sortie où vous vous sentez seul au monde en pensant "mince il y a encore 300 mètres à faire...mais je n'y arriverai JAMAIS !!.
Non, bien sûr, je ne veux pas penser à ces funestes noirceurs de l'esprit qui vous envahissent quand le jus des chaussettes est devenu le désert du Népal, un vide sidéral. Sec, rien de plus sec ! L'aridité et vous qui vous craquelez, vous crevassez par ce manque d'énergie, d'eau, jusqu'à vous diviser comme un puzzle. Vous savez que vous avez toutes les pièces mais que ce sera très difficile de tout regrouper. Vous n'entendez plus rien si ce n'est le bruit de votre souple haletant et le couinement de votre pédalier.
Enfin, ce n'est donc pas là où je veux en venir. Le problème c'est de reprendre ses habitudes... Le réveil du dimanche matin, ne pas trop regarder la télé sous la menace de perdre trop de temps, retrouver toutes ses affaires : mais mince où est donc mon casque bon sang ? ! Ha oui mon cuissard, j'ai les poils qui s' hérissent, je pense l'avoir oublié !
Tout ces petits rituels qui quand ils sont réguliers ne sont pas vraiment évident, alors pensez, lorsqu'il s'agit d'une reprise, c'est carrément du Fort Boyard !
En cette matinée, finalement, j'y étais presque. Juste un point de détail, j'ai trop regardé la télé et mes yeux, mon cerveau, ont eu du mal à se dire : "il faut y aller, la boue vous attend, fini le canapé. Il faut se réveiller !"
La brume n'était donc pas seulement dans la forêt de La Neuville, elle planait autour de moi. Et l'ami Ricoré, toujours là au bon moment, parait-il ? Et bien c'est de la foutaise ! Car personne n'est venu ! Et la brume est restée.
Vous l'aurez compris, j'ai du batailler pour arriver jusqu'au but. Prévenant Chris par sms que j'arrivais, les dix minutes de retard étaient bien posées.
Au carrefour du magasin, je ne vis personne. La voiture de Cédric était là. Les deux aiglons s'étaient envolés. Petite préparation, gonflage du spad, voilà, j'étais prêt à partir. Prenant une petite photo de la C4, je l'adressais à Cédric pour le prévenir que je rôdais dans les parages.
Malheureusement, il ne prit connaissance de cet envoi qu'après un ravitaillement au bout de 25 bornes.
De mon côté, les premiers tours de roues furent...comment dire....pas super limpides. Un peu de retenue, pas dans la volonté d'appuyer mais de la roue arrière. Quelle accroche ! Le sol aspire quasiment vos pneus et vous vous regardez en train d'avancer presqu'au ralenti. Heureusement, je réussis à doubler deux marcheurs (((D:
Franchement, j'en rajoute, même si on sentait une réelle perte au niveau de la tonicité et du rendement brut des cuissots, le résultat n'était pas si noir que cela. La vitesse se retrouva au fil des kilomètres. Une question de rythme, il fallait le retrouver. Le simple fait de pédaler ayant été mis au placard durant quelques mois, il faut se réhabituer et dérouiller le biker.
Les conditions météo étaient bonnes : 5 ou 6 degrés, un temps brumeux mais pas trop frais et surtout pas de pluie. Le terrains quant à lui, s'il était nettement mieux que dimanche dernier (à cause du dégel), il restait néanmoins très accrocheur comme je le disais.
Maitrisant la connaissance du bois, je choisissais les chemins soupçonnés être les plus "propres". Et cela paya car je me retrouvais au bout de 15 bornes, dans des habits relativement nets, genre caleçon neuf.
La suite fut moins méticuleuse car pris dans le jeu, les pneus prirent du plaisir à se noyer dans la boue. Je me voyais mal me priver de sentiers funs au prétexte que j'allais rencontrer des portions molles. Non, il ne faut pas se priver, juste éviter le pire tout en se faisant plaisir.
Bien entendu, plaisir rime avec gravir. Il fallait avant tout vérifier l'état de la bête. Serais-je capable de monter ça sans poser pied ? Ouais, bien, génial ! allez, une autre ! Je me suis fait un peu violence. Le parcours accidenté, mais sans excès, permet aux muscles d'être éprouvés un peu davantage. La théorie de faire de la borne en moulinant n'est pas mauvaise non plus mais là, en fait, c'était plus fort que moi. Il fallait que j'essaie.
L'une de ces fameuses montées fut même arpentée dans la boue. Ce fut d'ailleurs le secteur parcouru le plus boueux du parcours. Autant dire qu'il a fallu y mettre du cœur pour arriver jusqu'en haut. Mais bon, finalement, avec un peu de patience, on y réussi.
L'ultime montée avant l'appel de Cédric était un retour vers le magasin. Tentant de décrocher tout en roulant, la tâche était bien trop difficile. Zut, appel manqué ! Ba, tant pis, je rappelle.
Et Cédric décrocha, la bouche encore engluée de céréales (((D:
Nous n'étions pas super proches pour nous retrouver. Chris et Cédric plutôt côté Bresles et moi plutôt côté magasin. Les retrouvailles furent quand même entreprises et nous nous élancions chacun de notre côté vers un point de rencontre qui se fit dans le Gr qui remonte sur une pente douce vers l'allée caillouteuse.
Tels des chiens, heureux de nous revoir, nous lancions un gros ouaf, filet de bave au menton, la truffe en l'air et le cuissard de travers.
Les congratulations effectuées, nous remontions de nouveau. Tout ça, pour redescendre et arrivés à La Neuville. Nous enlevions au passage, dans la descente, quelques branches qui obstruaient la sente.
Comme à notre habitude, nous roulions vers le parcours d'Etouy, empruntant la partie tout en single track pour arriver jusqu'au pont de la déviation RN31. Il était néanmoins déjà 11 h 15. Le temps de rentrer était bien limité. Cédric semblait même vouloir mettre fin au supplice.
C'est donc vers Boulincourt que nous nous dirigions, passant à travers le bois de sapins et de fougères, puis remontant le faux plat. C'est dans cette partie un peu plus difficile que Cédric retrouvait des jambes et que j'en perdit. Inexorablement, le trou se faisait. Chris décramponna également.
Le nouveau faux plat nous ramenant à l'étang confirmait cette baisse de régime et la stabilité de mes compagnons de sortie dans leur état de forme. Je pense que le coups de bambou était bien là. Une perte d'énergie nette et brutale que je connaissais bien pour l'avoir déjà vécu plus d'une fois dans ma carrière de vététeux. En tant que vieux renard, je me mis à l'écoute de mon corps pour revenir jusqu'au point de départ. Le tout était de gérer pour ne pas se retrouver griller comme un steak, sans sauce ni aromates autour !!! (Voir situation décrite plus haut, tout au début.)
Nous nous séparâmes avec Chris juste après avoir passé l'étang. Celui-ci était encore gelé dans sa quasi totalité. Incroyable !
Avec Cédric, nous remontions par le "S". Un ultime effort avant le réconfort (parait-il ?) du plat et de la route qui nous ramènent jusqu'au parking.
J'avoue franchement qu'il était temps. Il ne me restait plus beaucoup d'énergie. Enfin, ce ne fut pas si mal pour une première car 35 kilomètres d'effectué en conditions hivernales. Nous savons pertinemment que c'est toujours difficile, voir très difficile de reprendre sans terminer dans le rouge.
Encore deux week-end et le retour devrait être gagnant. Là, le rythme et l'endurance devraient être retrouvés pour naviguer plus sereinement. Pour ce qui est de la force, nous verrons cela beaucoup plus tard. Les jarrets sont atrophiés. Il leur faudra bien des kilomètres avant qu'ils ne retrouvent tout leur panache et leur splendeur. ((D:
Le premier tome des nouvelles aventures s'achève ainsi. Pas de chute, ni de réparation pour cette fois-ci. Voilà donc un bon début pour une remise en forme.
A la semaine prochaine, peut-être si le temps le permet.
Mais en ce premier dimanche matin, les choses n'étaient pas aussi faciles qu'on le pensait. Je ne parlerai même pas de ces fameuses sensations de fin de sortie où vous vous sentez seul au monde en pensant "mince il y a encore 300 mètres à faire...mais je n'y arriverai JAMAIS !!.
Non, bien sûr, je ne veux pas penser à ces funestes noirceurs de l'esprit qui vous envahissent quand le jus des chaussettes est devenu le désert du Népal, un vide sidéral. Sec, rien de plus sec ! L'aridité et vous qui vous craquelez, vous crevassez par ce manque d'énergie, d'eau, jusqu'à vous diviser comme un puzzle. Vous savez que vous avez toutes les pièces mais que ce sera très difficile de tout regrouper. Vous n'entendez plus rien si ce n'est le bruit de votre souple haletant et le couinement de votre pédalier.
Enfin, ce n'est donc pas là où je veux en venir. Le problème c'est de reprendre ses habitudes... Le réveil du dimanche matin, ne pas trop regarder la télé sous la menace de perdre trop de temps, retrouver toutes ses affaires : mais mince où est donc mon casque bon sang ? ! Ha oui mon cuissard, j'ai les poils qui s' hérissent, je pense l'avoir oublié !
Tout ces petits rituels qui quand ils sont réguliers ne sont pas vraiment évident, alors pensez, lorsqu'il s'agit d'une reprise, c'est carrément du Fort Boyard !
En cette matinée, finalement, j'y étais presque. Juste un point de détail, j'ai trop regardé la télé et mes yeux, mon cerveau, ont eu du mal à se dire : "il faut y aller, la boue vous attend, fini le canapé. Il faut se réveiller !"
La brume n'était donc pas seulement dans la forêt de La Neuville, elle planait autour de moi. Et l'ami Ricoré, toujours là au bon moment, parait-il ? Et bien c'est de la foutaise ! Car personne n'est venu ! Et la brume est restée.
Vous l'aurez compris, j'ai du batailler pour arriver jusqu'au but. Prévenant Chris par sms que j'arrivais, les dix minutes de retard étaient bien posées.
Au carrefour du magasin, je ne vis personne. La voiture de Cédric était là. Les deux aiglons s'étaient envolés. Petite préparation, gonflage du spad, voilà, j'étais prêt à partir. Prenant une petite photo de la C4, je l'adressais à Cédric pour le prévenir que je rôdais dans les parages.
Malheureusement, il ne prit connaissance de cet envoi qu'après un ravitaillement au bout de 25 bornes.
De mon côté, les premiers tours de roues furent...comment dire....pas super limpides. Un peu de retenue, pas dans la volonté d'appuyer mais de la roue arrière. Quelle accroche ! Le sol aspire quasiment vos pneus et vous vous regardez en train d'avancer presqu'au ralenti. Heureusement, je réussis à doubler deux marcheurs (((D:
Franchement, j'en rajoute, même si on sentait une réelle perte au niveau de la tonicité et du rendement brut des cuissots, le résultat n'était pas si noir que cela. La vitesse se retrouva au fil des kilomètres. Une question de rythme, il fallait le retrouver. Le simple fait de pédaler ayant été mis au placard durant quelques mois, il faut se réhabituer et dérouiller le biker.
Les conditions météo étaient bonnes : 5 ou 6 degrés, un temps brumeux mais pas trop frais et surtout pas de pluie. Le terrains quant à lui, s'il était nettement mieux que dimanche dernier (à cause du dégel), il restait néanmoins très accrocheur comme je le disais.
Maitrisant la connaissance du bois, je choisissais les chemins soupçonnés être les plus "propres". Et cela paya car je me retrouvais au bout de 15 bornes, dans des habits relativement nets, genre caleçon neuf.
La suite fut moins méticuleuse car pris dans le jeu, les pneus prirent du plaisir à se noyer dans la boue. Je me voyais mal me priver de sentiers funs au prétexte que j'allais rencontrer des portions molles. Non, il ne faut pas se priver, juste éviter le pire tout en se faisant plaisir.
Bien entendu, plaisir rime avec gravir. Il fallait avant tout vérifier l'état de la bête. Serais-je capable de monter ça sans poser pied ? Ouais, bien, génial ! allez, une autre ! Je me suis fait un peu violence. Le parcours accidenté, mais sans excès, permet aux muscles d'être éprouvés un peu davantage. La théorie de faire de la borne en moulinant n'est pas mauvaise non plus mais là, en fait, c'était plus fort que moi. Il fallait que j'essaie.
L'une de ces fameuses montées fut même arpentée dans la boue. Ce fut d'ailleurs le secteur parcouru le plus boueux du parcours. Autant dire qu'il a fallu y mettre du cœur pour arriver jusqu'en haut. Mais bon, finalement, avec un peu de patience, on y réussi.
L'ultime montée avant l'appel de Cédric était un retour vers le magasin. Tentant de décrocher tout en roulant, la tâche était bien trop difficile. Zut, appel manqué ! Ba, tant pis, je rappelle.
Et Cédric décrocha, la bouche encore engluée de céréales (((D:
Nous n'étions pas super proches pour nous retrouver. Chris et Cédric plutôt côté Bresles et moi plutôt côté magasin. Les retrouvailles furent quand même entreprises et nous nous élancions chacun de notre côté vers un point de rencontre qui se fit dans le Gr qui remonte sur une pente douce vers l'allée caillouteuse.
Tels des chiens, heureux de nous revoir, nous lancions un gros ouaf, filet de bave au menton, la truffe en l'air et le cuissard de travers.
Les congratulations effectuées, nous remontions de nouveau. Tout ça, pour redescendre et arrivés à La Neuville. Nous enlevions au passage, dans la descente, quelques branches qui obstruaient la sente.
Comme à notre habitude, nous roulions vers le parcours d'Etouy, empruntant la partie tout en single track pour arriver jusqu'au pont de la déviation RN31. Il était néanmoins déjà 11 h 15. Le temps de rentrer était bien limité. Cédric semblait même vouloir mettre fin au supplice.
C'est donc vers Boulincourt que nous nous dirigions, passant à travers le bois de sapins et de fougères, puis remontant le faux plat. C'est dans cette partie un peu plus difficile que Cédric retrouvait des jambes et que j'en perdit. Inexorablement, le trou se faisait. Chris décramponna également.
Le nouveau faux plat nous ramenant à l'étang confirmait cette baisse de régime et la stabilité de mes compagnons de sortie dans leur état de forme. Je pense que le coups de bambou était bien là. Une perte d'énergie nette et brutale que je connaissais bien pour l'avoir déjà vécu plus d'une fois dans ma carrière de vététeux. En tant que vieux renard, je me mis à l'écoute de mon corps pour revenir jusqu'au point de départ. Le tout était de gérer pour ne pas se retrouver griller comme un steak, sans sauce ni aromates autour !!! (Voir situation décrite plus haut, tout au début.)
Nous nous séparâmes avec Chris juste après avoir passé l'étang. Celui-ci était encore gelé dans sa quasi totalité. Incroyable !
Avec Cédric, nous remontions par le "S". Un ultime effort avant le réconfort (parait-il ?) du plat et de la route qui nous ramènent jusqu'au parking.
J'avoue franchement qu'il était temps. Il ne me restait plus beaucoup d'énergie. Enfin, ce ne fut pas si mal pour une première car 35 kilomètres d'effectué en conditions hivernales. Nous savons pertinemment que c'est toujours difficile, voir très difficile de reprendre sans terminer dans le rouge.
Encore deux week-end et le retour devrait être gagnant. Là, le rythme et l'endurance devraient être retrouvés pour naviguer plus sereinement. Pour ce qui est de la force, nous verrons cela beaucoup plus tard. Les jarrets sont atrophiés. Il leur faudra bien des kilomètres avant qu'ils ne retrouvent tout leur panache et leur splendeur. ((D:
Le premier tome des nouvelles aventures s'achève ainsi. Pas de chute, ni de réparation pour cette fois-ci. Voilà donc un bon début pour une remise en forme.
A la semaine prochaine, peut-être si le temps le permet.
dimanche 24 janvier 2010
stat du 24 janvier 2010
oui la revoila la stat du dimanche apres midi
son role aujourd'hui est plus de remotive les troupes qu'autre choses.
ce matin à l'heure dite seul 2 veteteux ( eh oui le troisieme est arrive avec un peu de retard !!! comme a son habitude diriez vous , oui je suis d'accord mais comme depuis 4 mois il etait plutot absent qu'enretard ;o) alors on est parti.)
heuresement à la pose ( 25 km ) cedric a vu le message et on l'a retrouve Notre lolo .
oui c'est bien lui qui a fait son retour, je vous laisse le soin de lire son CR pour savoir comment il a fini ??
dim 24 janv 2010
Dist :37 km terrain assez mou
denivele: 580 m alors la c'est pas mal pour l'hiver
moyenne: environ 14 km/h peut mieux faire
Alors les autres à dimanche ?
samedi 23 janvier 2010
jeudi 21 janvier 2010
y aura t il plus de monde ?
eh les veteteux!!!!
il va falloir vous remotive un peu, je suis d'accord ce n'est pas la meteo qui le fera pour ce dimanche mais il y a peu de chance d'avoir de l'eau et les temperature seront positive.
Alors qui sera la ?
d'apres l'article dans voici devrait etre present lolo, nono et vivien !!! on vera bien
Cedric , si ca t'interesse on peu venir rouler à senlis ? sinon le neuville sera tres bien .
à dimanche
chris
il va falloir vous remotive un peu, je suis d'accord ce n'est pas la meteo qui le fera pour ce dimanche mais il y a peu de chance d'avoir de l'eau et les temperature seront positive.
Alors qui sera la ?
d'apres l'article dans voici devrait etre present lolo, nono et vivien !!! on vera bien
Cedric , si ca t'interesse on peu venir rouler à senlis ? sinon le neuville sera tres bien .
à dimanche
chris
jeudi 14 janvier 2010
tous dehors !!!!
Avec un temps pareil, je ne vois pas qui pourrai rester au lit dimanche !!!!
on va enfin revoir les veteteux à la neuville, tous a vos spad pour la révision et en avant!!
Qui sera la ? moi j'espere ;o)
jeudi 7 janvier 2010
sortie de dimanche
salut la troupe
qui est là dimanche matin
mois j'ai des fourmis dans les jambes et ils annoncent a la météo du sec et froid donc je mes le frangin dans la voiture avec son spad et nous allons a la neuville
a dimanche !!!!
qui est là dimanche matin
mois j'ai des fourmis dans les jambes et ils annoncent a la météo du sec et froid donc je mes le frangin dans la voiture avec son spad et nous allons a la neuville
a dimanche !!!!
vendredi 1 janvier 2010
Bonne annee
BONNE ANNEE aux veteteux et à leur famille
Que 2010 soit plus roulante que 2009 pour tous !!!
christophe
Que 2010 soit plus roulante que 2009 pour tous !!!
christophe
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