vendredi 28 septembre 2007

petit jeu suite

a mon tour !!

d'ou vienne ces cailloux ?

pierre N° 1


pierres N° 2


je donne un indice , c'est chacun dans un de nos terrain de jeux preferé !

christophe

jeudi 27 septembre 2007

Petit Jeu

Voilà, pour nous faire patienter en attendant le R??, je vous propose un petit jeu fort sympathique qui va faire appel à votre sens de l'observation.

Je vous dévoile donc un morceau de photo. Vous devez donc me dire à quel endroit cela vous fait penser. Si vous ne trouvez pas des indices supplémentaires seront distribués.

Voici la photo :










Alors, qui sont les premiers à tenter l'aventure ?

cephie a dit...

Latitude : 43°25'3.17"N
Longitude : 6°44'7.78"E

Trop simple de lolo

Christophe a dit...

en clair la piste qui sert de parking !!!!


GAGNE !!!

Voici plus de détails...



allez encore une facilité :



ENCORE GAGNE !

Décidément, ces gens y trouvent tout. Mais je vais faire plus difficile...mais pas tout de suite, profitons des paysages.

Donc encore une facile, même trop facile celle là !


Nico a dit...

Facile le chemin des douaniers :

43°23'07.06"N 6°43'39.11"E

TROP FORT !
Et vous autres, vous aviez trouvé ?






mercredi 26 septembre 2007

DEUX !

Deux ! Et oui, vous l’avez bien compris le compte à rebours est bien lancé. Le décompte s’accélère. Il ne reste même plus deux semaines pour se faire une santé. Seulement deux week-end !

Et qu’avons-nous fait pour l’avant, avant, dernier, c'est-à-dire dimanche dernier ? Le bois des côtes bien sûr ! En plus, le parcours fut identique à celui de la semaine passée. Quand on aime, on ne compte pas !

Nous étions donc trois : Nono, Chris et moi. Le départ fut donné vers 8 h 45. L’arrivée, certainement avant midi. Rappelez vous de cette formidable aventure que nous avions vécu il y a 7 jours. La moyenne était belle, notre état physique également.

Et bien ce fut encore mieux cette fois-ci. Clément nous avait certainement retardé la première fois ((lol.

Pourtant, il y eu encore une crevaison. Chris, en pleine descente en sable, a du prendre un cailloux qui dépassait du sol et plof plof plof ! Le pneu à plat !

Nous avons profité de ce moment d’accalmie pour nous ravitailler.

Nous n’avons pas rencontré de promeneurs cette fois-ci. Mais il y avait par ci, par là, disséminés aux abords des bois quelques hommes vert qui profitaient de ce dimanche ensoleillé pour faire l’ouverture de la chasse. A vrai dire, il n’y en a pas eu beaucoup des chasseurs. C’est étrange, surtout pour l’ouverture. Peut-être que le lieu n’était pas propice à cette activité. Et c’est tant mieux car pour nous autres garennes en herbe, cela évite de se prendre un pruneau dans ch’cuissot !

Je ne reviendrai pas sur le parcours proprement dit, puisqu’il a déjà été détaillé. J’en profite d’avance pour signaler que la semaine prochaine, nous y retournerons. J’vous l’dis « quand on aime ». Nous y agrandirons certainement la population de vététeux pour l’occasion.

Justement, question vététeux, deux d’entre nous n’étaient pas au mieux au départ de cette sortie. Chris, naturellement, avec des nuits écourtées à cause de Marie Pierre … Ha non, grâce à Marion, excusez-moi. En plus, je crois savoir qu’Océane a également voulu participer à la java nocturne. Tout ceci nous donne un bon cocktail de fatigue. Marie-Pierre n’y étant pour rien, bien évidemment. ((lol

Le deuxième petit lapinou qui avait des yeux chargés de myxomatose, c’était Nono. Enfin, c’est ce qu’il veut nous faire croire. Je suis sûr qu’il se shoot à des produits même pas reconnus dans le manuel.

« Je suis un pneu à plat » me dit-il. « T’en aurais pas pour moi ? »

Ha, qu’est ce que je ferai pas ! Evidemment, j’avais des pneus pour lui. Des « spécial » Roc, en plus ! Et des chambres aussi ! Mais Nono se devait de faire ses preuves pour les récupérer.

Donc, il était fatigué également par une semaine avec des nuits courtes. Là, je ne sais pas ce qu’il s’est passé. Aucune info n’a pu être extorquée. ! Ba, j’interrogerai les voisins. Ils sont toujours au courant de quelque chose. Tu vas les voir. Tu leur poses des questions. Tu les tabasses un petit peu. La torture, c’est dans le menu. Hé, n’est pas Malvoisin qui veut !!! (Whaou, quelle chute, quand j’vous l’dis que ch’suis un spécialiste, ((lo).

Les portions planes ont une nouvelle fois été gérées la plupart du temps par Chris. Les descentes par Nono et Chris. Les montées, par moi.

Et oui, j’ai remporté le maillot à pois.

Nono ne m’a devancé qu’une seule fois, et encore, je termine dans sa roue. Pire que cela, il a posé pieds à terre dans deux côtes. Pire que cela, il a mis féfesses à terre dans une troisième montée. Il était vraiment fatigué…

Il faut dire que la moyenne a encore progressé cette fois-ci puisque 0.5 km/h au compteur ont été gagnés.

A sa décharge, il faut dire aussi que ces portions montantes sont vraiment plus longues qu’à La Neuville et plus pentues aussi. J’ajouterai, plus techniques aussi.

Dans l’ensemble, nous terminons plus frais que la semaine passée. Donc, nous sommes maintenant capables d’accumuler le dénivelé et de rouler plus vite. Pas mal comme analyse finale, Non ?

C’est plutôt encourageant pour le challenge qui s’annonce. Mais, enfin, bon, le Roc c’est autre chose !!!

La moyenne a donc oscillée entre 15,80 et 17,91. On peut essayer d’avoir un petit 14 km/h là-bas…Non ? Ha non ? Ben ouais…Non ! Pas bon comme analyse finalement ! On fera ce que l’on pourra ! Si quand même puisque 4 heures à 14 km/h, cela nous donne 56 kms. Allez, on va le faire !

J’allais oublier… Nono a remporté le sprint final, au nez et à la barbe de Chris qui est pourtant le spécialiste. … à charge de revanche…

mardi 25 septembre 2007

PRONOSTIQUE

Afin d'occuper cette derniere ligne droite , je vous propose de lancer des pronostique sur le classement à l'arivée du ROC.

c'est ouvert a tous le monde y compris et surtout au femmes !!

pour vous y aider voici les derniers " bruit de couloir "

- Clement est au top donc maintenant il va a la chasse le dimanche !!

- Vivien est a son poids de forme et ne voit pas la necessité de venir rouler avec nous.

- nono a eu une petite faiblesse dimanche dernier ? surement la fatigue !





ah voici mpp qui vous donne le premier classement :



CLEMENT

NICO

NONO

VIVIEN

LOLO

CHRISTOPHE

FAB

CEDRIC


pour tous vous dire j'aurai pensez qu'elle m'aurai mis devant ! ;-( je vais devoir retourne à l'entrainement.

ALLEZ A VOUS MAINTENANT





ps : cedric peut tu en faire un classement automatique ? sinon je le ferais sur exel



christophe

mercredi 19 septembre 2007

a l'aide

en voulant upgrader carto en version 3d, j'ai tout flinguer !!!!

Qui a une version qui marche sur cd, carto exploreur 3 ou cartoexploreur 3D ?

merci

christophe.

lundi 17 septembre 2007

des infos en plus

certains l'ont peut-être déjà vu et d'autres l'ont peut-être déjà acheté.... je parle bien sûr du site du Roc d'azur qui nous annonce que vtt Mag nous en dévoile un peu plus sur le parcours du Roc.

Je vais vous en faire un bref résumé, tout le monde ne disposant pas de ce précieux magasine.

Tout d'abord, le salon du Roc sera déplacé pour être plus proche de l'environnement course. L'arrivée passanrt à proximité de celui-ci. Un hall unique de 8000 m2 sera à notre disposition.
En ce qui concerne le circuit, ce sont entre 25 et 30 % qui vont être nouveaux. Bien entendu, le col du bougnon, le sentier des douaniers et la plage seront encore là cette année.
Le kilomètrage est plus faible avec deux bornes en moins.

Le parcours sera surtout moins exigeant, tout du moins que celui en 2006 qui avait beaucoup de passages en montée avec des rochers, donc avec des portés de spad. On nous rajoute une belle bosse allant jusqu'à la Bastide neuve, une descente empruntant l'enduro de l'an dernier, un single trés étroit en descente de deux kilomètres.

On nous dit que les traceurs alterneront les parties étroites et les plus larges pour éviter les bouchons trop importants.

Donc aprés ce single de deux kilomètres, on reprend une piste. C'est une fois arrivés en bas que nous devons arpenter la côte la plus difficile d'un kilomètre tout rond. Ils ajoutent même : "court mais trés raide". Ouais, 1 kilomètre ils disent que c'est court ... Ca nous laisse réfléchir au reste.

Redescente jusqu'au col du Bougnon par une descente technique inédite.

Le fameux Pas de l'Eouvé sera évité pour la premièrre fois depuis 11 ans. Il n'y aura donc plus la portion technique en montée et les portés occasionnés. Dommage, on commençait à s'y faire !

Dans Vtt mag il y a aussi un programme d'entraînement qui nous aidera à bien nous préparer, mais là, je ne vous détaillerai pas son contenu.

dimanche 16 septembre 2007

Trois

Trois, oui « trois », un chiffre significatif. Ce n’est pas le nombre de participants de ce matin car nous étions quatre, Nono, Chris, Clément, et moi.

En fait, c’est le nombre de dimanche qui nous sépare du grand départ. Cela se réduit comme peau de chagrin. Il y a peu encore nous parlions du persan. Ils sont bien loin les 100 jours.

Donc pour fêter dignement l’évènement, nous avons choisi comme il y a deux ans, et comme il y a deux semaines, le bois des côtes. Ce fabuleux bois qui porte bien son nom.

Le but de la manœuvre est donc de bénéficier de l’entraînement adéquat pour partir plus sereins le 11 octobre prochain, avec des atouts dans notre jeu. Au programme donc les 50 kms avec 1285 mètres de dénivelé positif. Autant vous dire que le menu est copieux.

Trois, cela aurait pu être aussi le nombre d’heures pour effectuer ce tour ! (Là, je pense qu’il y en a qui sorte la calculatrice.) Le chiffre réel est 2 h 56’.

A midi nous étions rentrés. En partant à 8 h 30 – 8 H 40 cela laisse très peu de temps au repos, pause casse croûtes et compagnie. Imaginez qu’en plus Clément qui a été victime d’une crevaison… Ca sent la sortie musclée !!! Oui, musclée et endurante, puisque le dénivelé était au rendez-vous. Nous avons eu deux fois plus de portions montantes que le week-end dernier avec moins de kilomètres.

Naturellement la moyenne n’est pas la même que la semaine passée. La chute est donc importante, mais pas tant que cela. Avec 17,46 Km/h, on peut s’estimer heureux. Comme je le disais à mes partenaires du jour, si c’est la même au Roc, je signe tout de suite. Habituellement, nous naviguons plus vers les 13,5 km/h au Roc. Nom d’un vététeux, il va falloir que cela change ! Grâce à nos maillots, nous seront certainement propulsés vers les plus hautes marches du podium, et nos performances persos vont littéralement exploser. (C’est beau de rêver (((lol). C’est certainement du à ma chute de la semaine passée. Je n’en suis toujours pas remis.

Mais bon, revenons à la réalité.

Cette matinée nous a permis de faire l’état de nos capacités à absorber les pentes. Le départ fut donné par Chris qui sur la grande ligne droite longeant la multitude d’étangs de Senecourt.

Le rythme emprunté n’était pas folichon. Peut-être y avait-il une certaine appréhension des difficultés à venir ? Ca discutaillait grave dans le peloton. Je pris la poudre d’escampette pour dynamiter la troupe. Sans forcer, en roulant au train, un trou béant s’était creusé. Incroyable ! Mes copains, que vous arrive-t-il ? C’est en abordant la première difficulté du jour que les watts furent lâchés, Clément prenant le contrôle des opérations. Je le rejoignais puis le dépassais pour une arrivée au sommet. Nono quant à lui n’avait pas encore décidé de participer au challenge du maillot à pois. Mais il se rattrapa ensuite !

Le plat à portée de pneus, Chris pris la main. Nous étions donc à la sortie de Liancourt. Il tira le groupe sur le single boisé jusque La Demie Lune. Puis, il pris en tête la descente très caillouteuse et très crevassée nous amenant à Rosoy. On se serait cru là où vous savez, durant quelques instants. Dans cette descente nous y croisions plusieurs randonneurs pédestres. L’un d’eux laissait son bras droit ballant, tout en marchant. Ce fut l’occasion pour Clément de lui prendre la main tout en roulant. Un numéro ce Clément ! Un Sacré Numéro !

Nous avons continué vers le bois qui nous amène à Cinqueux. Là, il va falloir monter ! Le fameux chemin encaissé avec des feuilles, des bouts de bois un peu partout et bien sûr de la pierre est un met de premier choix.

Chris aborda le chemin puis laissa s’échapper la meute de jeunes loups affamés. Ce sentier est vraiment un piège. Tu ne fais pas attention, et hop ta roue avant se soulève sur les flancs du talus ou bien alors ta roue arrière fait du sur place sur un bout de bois. Clément fut piégé. Nono a renoncé également car il emmenait avec lui une liane. Sacré Tarzan ! Pour l’occasion, il s’était d’ailleurs vêtu d’une peau de bête de Yak Amoura en guise de vêtement. Une espèce en voie d’extinction !

La rosée était toujours présente sur les tronçons herbeux. J’ai failli partir en live sur une ornière. C’était à priori au même endroit que Chris il y a deux semaines.

La montée suivante fut lancée tambour battant par Clément avec Nono dans sa roue. Au bout d’un moment Nono pris le large. Il arriva au sommet le premier. Nono se réveillait donc. En revanche, Clément tel un lièvre lâcha prise assez rapidement. Ce n’était pas son jour à Clément. La fois dernière sur ce parcours, il en faisait voir de toutes les couleurs à l’ensemble du collège participant. Il y aura des jours meilleurs !

Retour à Rosoy par une descente à virages relevés. Oui, en fait, je parle beaucoup des montées pour ce parcours, mais les descentes sont excellentes tantôt pierreuses avec des crevasses, tantôt terreuses avec des virages relevés, et tantôt sableuses avec de la pierre, de la racine.

Tout le monde se régale.

C’est sur une portion plane que Clément creva. Réparation rapide, nous repartions pour une montée assez raide. Nono arriva de nouveau en tête. Si Clément ne m’avait pas bloqué, je pense que je lui aurais posé des problèmes…Gnarf ! Une fois en haut, un nouveau single nous attendait. C’est une nouvelle fois Chris qui mena la troupe. De La Demie Lune nous replongions vers Béthencourt par un sentier technique. En bas de celui-ci, une ronce barrait le chemin. Nono et moi fûmes meurtris dans nos chairs. Soit on aime ça, soit nous sommes des martyrs ! Ou bien soit on aime ça être des martyrs !!!

Nous étions donc à peine en bas que nous devions repartir tout en haut. Une belle montée tout en cailloux et moellons incrustés dans le sol. J’en pris le contrôle. Chris emmena encore l’équipe sur le single suivant.

Et ce fut la même chanson à La Bruyère. Une longue portion à pourcentage négatif avec un enchaînement sur un tronçon positif assez dur. Je le montais moyen plateau alors que Nono et Clément s’économisaient sur le petit. Chris buta sur le dernier raidillard. Et ce n’était que le premier secteur pentu ! Nous devions traverser la route pour monter davantage encore. Nono retrouvait des ailes. Clément le suivi à 20 mètres. Moi derrière.

De là nous allions continuer encore et encore sur un scénario identique. Les descentes succédaient aux montées et vice versa.

Il faudra noter que Nono nous a donné la meilleure impression dans une montée très longue où il est parti comme un missile. L’écart s’est fait assez rapidement. Bluffant le Nono !

Nous avons eu aussi une super descente dans le sable tout en virage relevé, virages serrés. Le calcul de la trajectoire devait s’y faire très rapidement. Que du plaisir !

Nous avons dû poser pieds à terre dans plusieurs côtes où l’aspect technique et le pentu ont eu raison de nous malgré nos efforts.

Cela démontre une nouvelle fois la difficulté de ce bois et tout le bonus que nous pouvons nous procurer à nous y entraîner. Malgré cela, c’est avec l’esprit relativement frais que nous avons terminé. Chris à son habitude a lâché ses dernières forces dans la batailles en s’employant à arriver le premier sur l’enrobé.

Les 1265 mètres ont donc été vaincus avec le panache puisque la vitesse moyenne n’est pas mauvaise. Quel aurait été notre état si nous avions continué avec une ou deux difficultés supplémentaires ? C’est une question à laquelle nous pourrons peut-être répondre la semaine prochaine. Il faut bien entendu que le temps se maintienne.

A ne signaler aucune chute ! Clément aurait peut-être failli à l’arrêt si je ne l’avais pas retenu. Une bonne prise de jambes le Clément. Il a failli me détruire littéralement les muscles de la cuisse. Une brute !

Progressivement, les langues se délient. La semaine passée, nous apprenions que Cédric courrait. Nous avons su ce matin que Clément s’entraînait aussi la semaine. Il n’y a donc pas de fumée sans feu !

jeudi 13 septembre 2007

Achats groupés de vététeux

Je vais bientôt passer une commande pour une transmission toute neuve en vue du Roc.

Si quelqu'un a besoin de pièces, on pourrait passer une commande groupée pour diminuer les frais.

Des intéressés?????????????????????????????????,

mardi 11 septembre 2007

Revue d'effectif

Belle petite matinée pour une réunion entre amis dimanche dernier à Villers Tournelle. Non, non, je ne parle pas de nos sympathiques amis brocanteurs venus animer le quartier. Ce n’est pas non plus le manège tournoyant et l’aire de jeu gonflable et toute cette bande de gamins.

En fait, je faisais plutôt référence à Nous vététeux. Nous oisiens picards étions allés empiéter sur les terres de notre vététeux « sommier ». Enfin, il n’était pas tout seul car sa fine équipe de bikers était là au rendez-vous. L’occasion était trop belle pour nous autres de juger l’état de forme du leader incontournable du Roc d’azur. Nul doute que nous allions le retrouver tel qu’il était il y a deux années. Un Nico, ça n’abdique jamais !

Bref, je ne vous raconterai pas la chute maintenant (ha, ha) de cette histoire et nous allons découvrir tout au long de ce récit la pure et inévitable vérité.

Donc, je disais que deux autres sommiers étaient présents, Jean François et Christophe, qui étaient déjà venus rouler avec nous lors align="right"d’une sortie à Verneuil. Un troisième larron nous rejoignait plus tard en la personne de Jean Paul. Concernant le collège de vététeux, il y avait bien sûr Nico, mais aussi Cédric, Chris, Nono et moi-même. Le rouge était bel et bien présent.

A noter la défection de Vivien qui devait nous rejoindre.

A ce propos, nous nous inquiétons fortement de son absence. En fait, nous estimons qu’il ne sera jamais prêt pour le fameux rendez-vous. Vivien, si tu me lis, un défi t’attend ! Il ne reste même plus 1 mois d’entraînement. Sachant que les soirées sont courtes et que la dernière semaine doit rester paisible … Je ne parle même pas de dimanche prochain où il y aura de nouveau absence… Ca sent vraiment le brûlé ! Et là-bas, ils z’aiment pas quand ça sent le chaud ! Ils pourraient t’embarquer dans la première fourgonnette en t’accusant de pyromane. ((lol. A contrario, ils n’aimeraient pas non plus que tu fasses des étincelles. ((lol (holala, ça chauffe aussi pour moi, mais à un autre niveau, c’est sûrement les restes de cette sortie).

Allez, passons cet intermède et voyons comment s’est déroulée cette matinée. Nous avons eu de la chance car le vent n’était pas présent pour ce début de sortie. Lorsque l’on connaît les incidences que cela peut avoir sur ce plat pays. Tout du moins, c’est le titre que Nico avait bien voulu donner à cette sortie.

En réalité, il y a quelques grimpettes dignes de ce nom. D’ailleurs les premières furent avalées à un bon train. La toute première, je la mets à mon actif car je voulais titiller la foule ici présente. La ou les deux suivantes furent emmenées par les sommiers qui voulaient se faire respecter sur leur terrain de jeu. Mais quelques oisiens se mêlèrent et participèrent à ces chevauchées fantastiques. Dans un premier temps, Chris et Cédric eurent du mal à suivre le rythme endiablé qui régnait au sein du peloton. Nico passa un petit coup de cul en tête, celui auquel on ne peut échapper à chaque sortie. Nono qui bricolait avec sa mécanique arriva derrière puis moi dans sa roue.

C’était juste avant d’arriver à l’élevage de volailles. Prés du bâtiment une poule morte gisait au milieu du chemin. Une odeur d’ammoniac flottait dans les airs. Sans doute à cause des fientes de ces volatiles. Sentant peut-être ce vent venir, Cédric feinta une crevaison. Il taillada son pneu tout neuf, sur un silex nous dit il.

Dans l’ensemble, l’aspect de ces portions montantes se révélait à l’identique. Le plus souvent il s’agissait de longues lignes droites se grimpant au train. Le pourcentage n’y est pas très important. Tout se joue sur l’endurance. Les braquets ne sont pas les plus véloces. Nous avons connu notre deuxième secteur plus pentu vers la fin du parcours.

Entre temps, nous connûmes un ravitaillement à Montdidier. Au menu de l’étalage, il y avait des abricots séchés extrêmement onctueux et fondant en bouche. Un vrai régal ! Merci Nico pour ces friandises.
Mais ce fut le trop plein d’énergie. Ce trop plein qui fait souvent déborder le vase. Pour moi la coupe devait certainement être pleine car peu de temps après en voulant énerver Nico et Christophe je me suis vautré. Le but de la manœuvre était de les déborder par la gauche. Alors que le rythme était déjà élevé, à prés de 30 kms/h je décidais d’en rajouter. Je me mis quasiment en position de sprinter. Je tirais fort sur le cintre pour gagner un maximum de force et je portait mon regard loin devant pour anticiper….. La chute.

Qué Malor !

Grossière erreur ! Ne jamais sprinter alors qu’un trou se dessine sous votre roue. Le résultat est que lorsque l’on tire sur le cintre, on guidone un petit peu. L’effet fut irrémédiable. La roue avant se prit dans ch’trou et patatra, le lolo vola tel un oiseau sans plume. Et le vol fut de courte durée ! Je n’ai même pas eu le temps de sortir le train d’atterrissage ! Chris me donna un coup de main pour me relever. Quelques cercles en marchant pour se détendre les jambes, prise de connaissance des dégâts, pour le vélo, rien. Pour le bonhomme, tout le côté droit a été refait ! Seul le visage a été épargné grâce au casque qui fut une protection salvatrice. Il faut dire que celui-ci a vécu à ce moment là ses derniers instants puisqu’il fut détérioré en trois morceaux distincts. Je dispose déjà de son remplaçant !

Enfin, j’ai eu chaud car les conséquences auraient pu être plus graves.

Après cette séance de cascade mémorable, nous avons continué toujours à grande vitesse. Il n’y a guère que les chutes pour nous arrêter.

Les terres étaient franchement hostiles en ce dimanche. Nous avons tout connu en terme de senteurs campagnardes. Après l’épisode du poulet, nous eûmes droit au fumier de vache. Un bon parfum d’ambiance qui muscla nos narines. On croyait alors avoir tout connu. Et bien NON ! On termina par l’élevage de porc. Là se fut l’apothéose ! Le Mozart des effluves ! Le festival du cinquième sens ! Ha ! Heureusement, l’odeur ne nous a pas suivi ! Si cela avait été le cas,

1- Il n’y aurait plus eu personne sur la brocante

2 – Nous n’aurions pas pu prendre de jus d’orange chez Nico

3- le pire, on n’aurait pas pu rentrer à trois dans le même véhicule Nono, Chris et moi

NB : un mec louche tournait autour de nos spads à notre arrivée, peut-être qu’il avait flairé quelque chose…

Pour revenir au parcours, il est vrai que nous n’avons pas lésiné sur les efforts. Les lignes droites se sont enfilées comme des perles, les côtes à l’identiques.

Chris n’a même pas eu l‘occasion de faire parler la poudre. Il termina main dans la main avec Nono tout heureux de ne pas avoir manger ses 200 mètres. ((lol. Chris connu néanmoins sa période de folie. Après avoir regardé le concours de labours, il se mit à piquer son accélération dans l’herbe de la verte prairie alors que chacun rentrait pépère.

Main dans la main, dans l’avant dernière difficulté du jour, c’est ce que nous fîmes Nono et moi après avoir vaincu celle-ci et avoir mis quelques longueurs à Nico qui cette fois n’avait pas pu suivre. C’était assez rare pour le souligner ! La plupart du temps, il était souvent dans le trio de tête, voir devant. Le leader a donc lors de cette sortie été mis en difficulté à plusieurs reprises ! Est-ce un signe ? Nono sur l’ensemble termina plus frais que les autres. Très endurant ce Nono et très coriace ! De la vieille carne ! La dernière difficulté, c’est lui qui y imposa son tempo. Rien à redire ! Il est fort ! Un sérieux prétendant !

Que dire de plus sur ce tracé ? Nous avons échappé à une attaque terroriste ! Au coin d’un bois, un homme en habit de camouflage, tel un sniper nous attendait. Il se tenait derrière un arbre, un fusil à la main. Et pourtant nous ne sommes pas en période de chasse. Nous avons compris qu’il faisait une partie de paint ball quand il ouvrit le feu sur Cédric ! Il ressorti du bois en orange fluo !

Qui aurait cru que cela pouvait arriver ?

Personne !

Et bien c’est normal puisque cela n’est pas arrivé.

L’homme est resté caché pour ne pas être découvert par ses autres partenaires et n’a donc pas ouvert le feu. Ouf !

Non, en fait le seul danger, ce sont les chiens. Imaginez deux bergers allemands, bave aux babouines aboyant comme des enragés derrière un grillage. Ce grillage longeait un chemin sur lequel nous étions. Nico, petit malin, nous dit que le grillage au bout de la propriété est ouvert et que les chiens sont en pleine liberté.

Je laisse donc passer Nico devant. Voyant les chiens courir tout aussi vite que nous, je freine en observant peut-être une attaque de chien. Puis je vois Nico partir et les chiens s’arrêter. Normal, Nico est un menteur. Il n’y avait pas de trou dans le grillage ! Mais ce coup de frein malencontreux a failli faire une victime. Christophe a été surpris du ralentissement ne voyant pas de bonne raison à cela et pour cause. Un freinage bien appuyé fit sa roue arrière se soulever et voir son nez poindre au sol. Mais au final, il n’y a pas eu d’autre chute.

Au menu des réjouissances, nous avons également gravi une côte qui se termina en butte de terre. Le cultivateur a tout simplement fait disparaître le chemin au profit d’un champ surplombant de prés de deux mètres l’ancien sentier. Nous avons donc traversé la parcelle de culture assez sèche et pleine de mottes de terre, du vrai vtt. C’est dans ce secteur pentu que Christophe a voulu chambrer les tiots gars qui partent au Roc d’azur en nous disant que nous devrions être devant car surentraînés. Et bien ce fut chose faite puisque la montée s’est faite au train, sauf que les wagon n’étaient pas raccordés à la locomotive. Gnarf !

Jean François nous fit également le coup de la crevaison. Tout juste avant de rentrer chez lui. Jean Paul l’accompagna.

Au final nous avons parcouru 54 kms. J’en ignore le dénivelé mais Nico pourra le confirmer je pense.

Nous avons eu une petite période avec du vent mais très éphémère tout de même. Nos organismes ont souffert.

La fatigue vers la fin s’est ressentie un peu. Quelques kilomètres auraient pu être encore absorbés mais pas avec la même intensité. Les performances ont quand même baissé. Comme je le disais, seul Nono a su prolonger sa forme jusqu’au bout.

Nico a eu la bonne parole pour clore cette sortie. « Cette année le Roc va être encore difficile ! »

J’apporterai un petit bémol. Il nous reste encore un peu de temps devant nous. Nous pourrons donc parfaire ce qui nous manque. En plus la moyenne de la sortie fut de 21,25 km/h. Pas si mal !

Mais je dirai quand même que « Cette année le Roc va être encore difficile ! »

vendredi 7 septembre 2007

message

hou hou nico!, il y a quel qu'un ?


bien oui quoi un petit mot pour confirmer la sortie .


sinon cedric peut tu me ramener la cle pour le pedalier car le mien ne fera pas le roc !!!


pour satisfaire cedric j'ai retrouve un parcour ds le bois des cotes de 50 km avec 1225 m, il tourne dans l'autre sens cad les cotes vers la fin. je vais plutot regarder une variante de l'autre avec + de cotes !!! on en reparle


pourquoi pas l'essayer dimanche 16 ?


a+

1781

mercredi 5 septembre 2007

Une belle compétition

Exclusif !!!

Cette année il n'y aura pas 4000 participants au Roc, ni 4400 mais 4700 !

C'est tout bonnement incroyable. Notre classement aura plus que jamais une valeur inestimable ((lol.

Nous, on vise dans le 1000. Nom d'un vététeux !

Voici l'info sur le site du Roc d'azur :


Exclusif : 300 places supplémentaires
300 dossards sont remis en circulation sur la course du Roc d'Azur avec inscription uniquement sur Activeeurope.com... Dépéchez-vous ! Après, il ne restera plus rien...

1 vététeux sur la côte d'opale


salut les veteteux
première sortie aux couleurs du team

pour cette sortie je suis parti dans les monts d'etaples " entraînement roc oblige" avec une succession de petites cotes et du vent !!!
au compteur 56 Km a 22.25 de moyenne
bonne semaine a tous

1771

mardi 4 septembre 2007

compte rendu 2-09

bon allez vu l'impatience de lolo, je vais faire un bref resume car le vrai c'est nono qui devais le faire. ;-))



le programme decide durant pendant la semaine ne fut pointrespecter à la lettre.

- tout d'abord nono alla à la brocante de cauffry car son " gps " avais decide de rester avec les moules frites de la veille ;-))

- ensuite cedric mis du temps a arriver car il y avait du brouillard...... dans ses yeux seulement , he oui encore une soiree !!!

- enfin demarrage de la sortie mais on devait rentrer pour 11h30 ce qui nous amena a faire une coupe dans la partie du cote de rosie ( -3 km et 50 m ) ensuite au abord de catenoy , c'est a dire apres 35 kms et 800 m nous primes la route pour renter via nointel, breuil le sec et baiileval soit un total de 43 kms , 840 m dedenivelé et 17.2 de moyenne

- bon allez je vais en dire plus, nono la prochaine tu la fera ;-)),

chaque montée fut l'objet d'une bagare entre clement et nono mais pour savoir qui a gagner je ne peut vous le dire car j'y etais pas ;-))))

- le parcour fut mené a bon rythme malgre quelques faiblesse de cedric vers la bruyere
- on se fit trois belles descente avec virage releve et zone technique, un regal..... tous le monde aprecia

- la route se fit " tous dans la roue de christophe " , pas un pour me relayer ou si peu , deux tentatives de nono et une de clement ce qui me permit de leur placer une acceleration dans le dernier raidillon avant bailleval et mettre 200 m a nono à l'arrivée.;-)) j'etais content de mon coup .



bon sinon dimanche on va toujours chez nico ?

et le marié il sera la ?

lundi 3 septembre 2007

ROC AGAIN

Et oui encore des infos sur le parcours du roc cette année.

ROC D'AZUR 2007 55 Km
DIMANCHE 14 OCTOBRE


Distance: 55 Kms
Dénivelé positif : 1450 m
Dénivelé négatif : 1450 m

Temps estimé pour le 1er: 2h15
Pour le dernier : 7h. c'est à dire Nono, Vivien, les p'tits jeunes de la compétition

Le tracé sera encore changé cette année pour 1/3, et moins exigeant que l’année dernière.(oh non ce n'est pas une bonne nouvelle !)
Les coureurs emprunteront le même tracé que l’année dernière jusqu’au km16 (sommet de La Flûte).(il y en a qui vont déjà jouer de la clarinette)
A partir de là, ils effectueront une descente de 5,5 kms pour se retrouver au bas de la Bastide Neuve au km 21,7 puis monteront jusqu’à la Bastide Neuve (enfin) pour redescendre sur le carrefour de Pegros.
Ils prendront ensuite une descente mono-trace dans le vallon des Bernards pour se retrouver au km 28,8 où une montée de 1km (très difficile) (ouf, j'ai bien cru que l'on allait s'ennuyer) les attendent pour accéder à la piste Cabasse.
Au km 30,8, ils emprunteront une nouvelle descente inédite suer le Roc pour se retrouver au Car Brûlé.
Même retour que les années précédentes.


Lieux dits empruntés :


Le chemin des douaniers

Départ Base Nature
Fournel
La Flûte coté sud
La Flûte coté nord
Domaine des Planes
La Vernède
Les Clapiers
Pas de l’Eouve
Bastide Neuve
Car Brulé
Bougnon
Chemin des douaniers
Arrivée Base Nature.

Ha le chemin des douaniers...Admirez petits nouveaux ce qui va vous attendre au bord de mer aprés 50kms d'effort !

Ravitos :

1er ravito : Fournel 11km du départ
2ème ravito : La Vernède 21,5km du départ
3ème ravito : Car Brulé 37km du départ
4ème ravito : St Aygulf 48,5km du départ
5ème ravito : Galiote 53km du départ
6ème ravito : Arrivée


Le chemin des douaniers



Ha des petits ravitos, il faut bien s'alimenter. Attention au gel coup de fouet, ça tue !