jeudi 30 octobre 2008

Nouvelle etiquette pour le Pommard

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je change un peu le style...
des commentaires ?

Nouveau placement pour épargnants : le PEL !

Si à l'ouverture d'Eurotunnel vous aviez pris 1000 Euros d'actions, aujourd'hui vous seriez très déçu ! (Aujourd’hui 0.22 EUR l'action)

Si l'an passé, vous aviez acheté pour 1000 Euros d'actions Vivendi, aujourd'hui, vous n'auriez plus que 70 Euros.

Si l'an passé, vous aviez acheté pour 1000 Euros d'actions France Télécom, aujourd'hui, il vous resterait 159 Euros.

Si l'an passé, vous aviez acheté pour 1000 Euros d'actions Alcatel, il vous resterait 170 Euros.

Par contre, si l'an passé, vous aviez acheté pour 1000 Euros de caisses de Leffe,
vous auriez tout bu et aujourd'hui, il vous resterait encore 380 Euros de consigne (soit le plus haut rendement !).

Le P.E.L. (Plan Epargne Leffe)
L'épargne qu'il vous faut !


mardi 28 octobre 2008

Voyage ... voyage !!

Avec les vacances de noël qui arrive, voici une proposition de site qui pourrez vous donner des idées.

A proposer avec délicatesse à vos femmes, ........Isa est bien évidemment partente .........pfffffffffff

http://www.cap-liberte.fr/cap-liberte.php


A bientôt.

dimanche 26 octobre 2008

Des aventures et mésaventures

Les trois mousquetaires ce matin étaient encore présents, à la différence que Chris fut remplacé par Clément. Nono fidèle au poste est toujours présent.
Cédric devait être présent mais il a déclaré forfait à la dernière minute. Une bonne crève et un nez bien pris le clouèrent à son domicile. Enfin, c’est dommage car je crois, nous croyons avec Clément, qu’une bonne purge t’aurait fait du bien. De l’air frais dans les naseaux pour déboucher les trous et favoriser l’écoulement tout en tuant les gros crobes. Bon, allez, je ne m’enliserai pas plus longtemps.
Clément nous a dit tout de même qu’il aurait préféré que tu sois là car il devait se satisfaire uniquement de Nono en hors d’œuvre et moi en désert. Un trou dans le menu…

Le départ était donc donné avec comme mot d’ordre « pas trop de côtes et doucement ».
La ligne droite en cailloux au carrefour du magasin fut alors empruntée pour redescendre vers Boulincourt. Nono justement dans cette portion descendante, pourtant bien connue, nous fit du free style en partant galvauder sur le talus quittant le chemin principal. Peut-être pour admirer le paysage ou prendre de la hauteur car il nous surplombait à cet instant.

Je rebondirais là-dessus pour dire qu’il nous domina du début jusque presque la fin…. Vous comprendrez plus tard. Le Nono avait du se doper ardûment car nous ne le retenions plus. Notre rôle à Clément et moi était juste de suivre sans jamais pouvoir prendre le relais. Il était encore plus fort que la semaine passée. Un avion !
Du grand plateau vous en voulez, du grand plateau en voilà. Pour nous autres, le moyen suffisait amplement. Il faut le traîner le 44 ou 42, surtout que le terrain collait un peu en cette matinée.

Clément malgré ce rythme endiablé tenait bien la distance et suivait à merveille. J’vous l’dis qu’il va vite se remettre en forme. Moi je reste fidèle à moi-même depuis quelques dimanche, c'est-à-dire dans l’impossibilité de forcer la sortie, de piquer une attaque, de rivaliser tout simplement. Enfin, j’ai tout de même tenté d’accélérer sur la partie en single track nous menant du bois d’Etouy jusqu’au stade de la Neuville. Un coup d’éclat qui de toute façon n’aurait pas duré longtemps.

Dans ce bois nous avons voulu varier les plaisirs et prendre des chemins pas coutumiers. C’est justement en prenant ces portions inhabituelles que nous avons découvert un petit sentier que nous ne connaissions pas. Nous décidâmes de l’emprunter pour casser un peu le rythme et partir à l’aventure. Cette trace aurait très bien pu être un passage à chevreuils ou un sentier de randonneurs pédestres. Je pense que c’était entre les deux. Du moins cela devait être un sentier mais à l’abandon. C’est remplis de conviction que nous foncions courageusement à travers les ronces pour dégager la route et pour poursuivre notre aventure.
Enfin, nous débouchions à la sortie du bois juste aux abords du stade. Pas de crevaison au tableau, ni d’épine dans les membres, nous l’avons échappé belle.

Nous allions maintenant prendre la direction de Bresles et du Mont César. L’allure ne fléchissait pas. Au bout d’une heure de pratique nous en étions à 21,4 km/h. Rien que ça ! Le profil de ce parcours plutôt plat nous a encouragé dans cette performance. Nous avons croisé beaucoup de chasseurs. Beaucoup d’entre eux avaient sortis leur chien. Il y a du record dans l’air. Peu avant la montée du Mont César nous laissions à Clément prendre un relais. Un effort qui allait annoncer peut-être sa fin ? Nono se contentait de se mettre dans sa roue.

Vint enfin, cette ascension. Nono fut facile. Clément décrocha. Moi j’en ai bavé incapable de rivaliser avec le diablotin. Je restais sur le moyen tout de même du bas jusqu’en haut.














La pause arriva à point nommé. Pas de barre de céréale, j’avais encore oublié mon casse croûte. Nono, généreux, m’en céda une. De là, nous admirions le paysage s’offrant à nous. Nous le connaissons par cœur mais c’est agréable de dominer ainsi. On savoure les efforts accomplis pour en arriver jusqu’à ce point culminant. Ils n’étaient pas fous ces romains pour installer un campement ici. La vue est imparable.

Nous négocions le chemin à prendre pour amorcer notre descente. Ayant mal au dos, Nono ne voulait pas me faire prendre les marches.

A peine avions nous dévalés les quelques talus qui se présentaient devant nous que CRAC…. Une casse matériel arriva. La poisse !
La patte du dérailleur lâcha sous les coups de jarrets répétés de la matinée. Vous avez devinez de quel spad il s’agit. Une seule personne pouvait se permettre cet exploit. Trop de puissance d’un coup. Le spad n’en avait pas l’habitude. Il céda.

Nono devant la situation passa du rose clair au blanc cassé ! Sa monture venait de le laisser tombé alors qu’il vivait ces plus belles gloires. El imperator enfila une couronne d’épines. Nous l’aidions en lui offrant la solution de démonter la chaîne pour qu’il puisse se débarrasser du dérailleur pour rentrer jusqu’à son domicile. Pas d’attache rapide ! Il a fallu jouer du dérive chaîne. Par contre une fois remonté, Nous nous apercevions que nous n’avions pas enlevé assez de maillons. Mais si nous en retirions davantage, cette chaîne ne serait plus utilisable. Le single speed se présenta donc de cette manière.


Devinez le développement ?















Ce n’est pas de chance tout de même. Nono fin commercial commençait à calculer le coup de la réparation. Ho que ça fait mal ! En plus, il y a le pédalier qui fait du bruit. On non, voyons cela plus tard.
Pourtant de la chance, il aurait pu en avoir. Lors de notre ravitaillement de fortune, Nous nous étions assis sur une marche naturelle en herbe surplombant le sable à nos pieds. Juste à côté du postérieur de Nono, gisait une merde de chien. Il a dégusté sa barre de céréale alors qu’au moindre mouvement il aurait pu profiter de cette sécrétion canine qui lui aurait offert le bonheur et la chance.
Au lieu de cela, Clément l’a prévenu, et voilà, on connaît la suite…

Dans son malheur, il a quand même eu la chance d’être au moment de la sortie, au plus près de chez lui puisque de Bailleul à St Felix, il n’y a qu’un pas.

Un pas, certes, mais quel pas. La difficulté résidait à tirer un braquet plutôt du genre musclé. Nono en forme mais à ce point… Nous compatissions et nous mirent sur le même développement. Nous ne sommes pas bien, non. La moindre côtelette prenait donc des proportions hallucinantes. Dur-dur ! Mais les vététeux n’ont pas peur ! Ils ont de la moelle.

Le développement employé m’allais plutôt bien. Je retrouvais une jeunesse. Nono s’en trouvait distancé. Juste un petit ajustage de vitesse et voilà, nous nous retrouvions tous ensembles. La délivrance arriva quand nous nous trouvions face au portail blanc.

Le café nous était généreusement offert par Nono. Pour accompagnement, pas de gingembre comme la dernière fois mais du chocolat milka. Le gingembre, Nono a du en abuser ce matin. Il a tout pris. Résultat il était trop puissant et a tout emporté.

Sérieusement, Je compatis. J’espère que tu trouveras facilement la patte de dérailleur et éventuellement un jeu de roulements pour ton pédalier. Grosso modo pour 30 euros ce la devrait suffire. Il y aura aussi une chaîne. Ca, ce n’est pas difficile à trouver.

Profitant de l'invitation, nous découvrions la bête d'ordinateur sur lequel Nono adressera ses prochains mails. J'avoue, ce n'est pas gagné !

Pour Clément et moi il fallait donc repartir et rejoindre nos véhicules respectifs. Le chemin le plus court, la première grimpette ! Ho que ça fait mal après avoir tiré la plaque et s’être assis. Les muscles des jambes étaient plutôt tendus. Dans la difficulté, autre événement, un coup de téléphone qui retenti. C’était ma chère et tendre qui m’appelait. Encore une halte dans l’effort sur un terrain incliné.

Allez, c’est parti, cette fois-ci on regagne les voitures. Clément n’a pas bien digéré l’arrêt. Cette fois, les carottes semblaient avoir pris un coup de chaud. Pas cuites, mais presque.
Le pédalage n’était plus le même et le jus commençait à manquer. Courage, allons y.

Nous déposions nos montures en enregistrant 42 km au compteur. Pas si mal. De plus la moyenne n’a pas chuté tant que cela puisque nous restons à 20 km/h. Le profil est plutôt plat dans son ensemble mais le dénivelé positif est de 419 mètres.




Notre record de chiens est aujourd’hui battu à plate couture. 23 molosses dentés nous sont apparus, soit dix de plus que le précédent. Le nombre parait bien haut et je crois que nous ne sommes pas prêts de le battre, à moins de partir à la chasse à cours.

La semaine prochaine, nous serons encore tous les trois présents, certainement à la Neuville. Chris et Cédric devraient venir nous rejoindre. Avant cela, il y aura la mise en bouteille, nous aurons certainement pris des globules rouges de la nouvelle cuvée pour notre plus grand bien.

coucou

bonjour,

C'est maxandre qui vous demande si le vélo se passe bien ?

a bientôt
bisous
maxandre

j'y suis arrivé ......... ouf enfin!!!!!!!

Merci au cousin et à Cédric.

En attendant mon retour sur les chemins boueux, me voilà sur le blog des vététeux. Bin oui faut bien un début à tout.


Roulez bien et à bientôt.

samedi 25 octobre 2008

Mon Coeur balance

J'ai pas encore pris ma décision pour ma fourche ...

2 choix presque au même prix !!!

Fox F120 RLC 120mm sur Ebay US
ou
Magura Laurin FCR 130 chez Auvelo

je vous demande donc votre avis.
Vous trouverez un sondage sur la page du blog.
J'ai aussi mis un sondage pour Vivien .... venez vite voter !!!






et demain ?

Salut à tous,

Où est le rdv de demain ?

Bon WE à tous

vendredi 24 octobre 2008

Le Blog bouge !!!

Bonjour,

le blog prend un coup de jeune et trouve de nouveau outils.
  1. il est plus adapté à une lecture sur un écran 1024x768, fini la bande ridicule pour lire les romans de Lolo.
  2. La météo fait sont apparition sur le blog pour l'instant seul Clermont est disponible, mais les autres régions d'adoption des veteteux pourront venir compléter le blog.
  3. en bas de page, vous avez accès aux éléments laisser sur le disc virtuel steekr
  4. une petite fantaisie de ma part (très discrète) est apparue sur les pages du blog, je vous laisse la trouver, elle est présente sur toute les pages et même plusieurs fois.
Sinon pour information, les point gpx de laurent sont lisible sur google earth, et c'est déja pas mal de voir le parcours vu du ciel.

Enfin je vous signal que même avec une année pas trop roulante, nous avons dépassés le nombre de message 2007 sur le blog.

bienvenue

bienvenue a nono sur le blog

il ne lui reste plus qu'a ecrire un petit message pour s'entrainer !!

petit rappel:
- faire connexion en haut a droite ( il avoir un compte ouvert et un mot de passe )
- faire nouveau message
- l'ecrire ( c'est ca le plus dur pous vous ;-))
-publier le message et c'est tout

pour ajouter un commentaire:
- sur le site appuyer sur commentaire
-ecrire le commentaire ou la reponse
- publier le message

si avec ca vous n'y arrive pas !!!!!!!

et vivien tu n'arrive tjs pas a te connecter ou c'est trop dur de mettre quelque mots....d'ailleur un seul suffira la " marque "

bon week end a ts , moi c'est repos car j'ai tjs la sciatique ds ma jambe droite par contre je vait faire marcher le coude ;-)

mardi 21 octobre 2008

convacation pommard

Le rdv est fixé chez Christophe le 01/11/08 vers 16h30 pour la mise en bouteille.

Marie Pierre et Christophe propose ensuite de diner ensemble (vers 19h00).
La famille DARDARD se charge de la viande et de l'entrée
la famille Neveux du dessert.
MP propose que la famille Gardin s'occupe du fromage et la famille Malvoision des légumes.

Merci à tous de confirmer

Ironman " impressionnant"

A voir absolument pour l'amour, le courage ...

Un jour, un fils dit à son père 'Papa, tu veux courir un marathon avec moi?' et le père dit « oui ».
Ils courent ensemble leur premier marathon.

Une autre fois, le fils redemande « Papa, tu veux courir encore un marathon avec moi ? » et le père dit « oui, mon fils »
Un jour, le fils demande à son père : « Papa, tu veux courir avec moi le Ironman ? »

Le Ironman est le thriatlon le plus difficile qui existe (nager 4km, faire du vélo pdt 180 km et courir 42 km)
Et le papa dit "oui"

Le récit semble simple. jusqu'à ce qu'on regarde ces images fantastiques!!!!


http://www.youtube.com/watch?v=VJMbk9dtpdY

lundi 20 octobre 2008

La Croix Saint Ouen : Les Brumes d'Automne

Magique ! Et terrible !


Voilà les mots qui pourraient qualifier cette sortie de La Croix St Ouen. Mes jambes en sont encore toutes engourdies ! Non, je plaisante, un peu de tension ce matin, de lourdeur mais cela s’est dissipé durant la journée.

Cette randonnée nous aura donné entièrement satisfaction avec des aventures et mésaventures diverses. Mais dans l’ensemble cela nous laissera un très bon souvenir.

Tout a commencé à la fraîche. En premier lieu, j’ai eu très chaud. En effet, après avoir éteint la sonnerie de mon réveil, fait dont je n’ai aucune souvenance, je me suis endormi. Réveil donc à 7 H 35 au lieu de 6 H 50. Bon sang, j’étais fatigué ! Il faut dire que je me réveille tôt en ce moment, un mal de dos m’empêchant de rester dans les bras de Morphée, donc au bout d’un moment on fini par accumuler de la fatigue et se rendormir.

Vite fait je prépare ce qui doit être préparé. J’ai le temps de pratiquement tout faire. Vient le moment d’accrocher le vélo au porte vélo quand j’entends un moteur ronronnant derrière le portail. Nono restait bien au chaud dans sa voiture, ne pointant pas le bout du museau de crainte de s’enrhumer. Je suis allé le saluer puis me suis mis à gonfler énergiquement mes pneus.

J’attendais Nico pour installer le spad. D’un coup, un moteur vrombissant se fit entendre. Une voiture qui dépassa le numéro 525 avant de freiner puis reculer. Dans son élan, Nico n’a pu s’arrêter. Nous installâmes nos montures puis partîmes en direction de La Croix St Ouen.

Nico dans la voiture me dit que le copain qu’il devait retrouver sur le parcours était déjà arrivé et qu’il allait bientôt partir. Pour nous, le départ ne s’annonçait pas avant 20 bonnes minutes et encore…

Pas grave, une fois au but, nous nous dirigions vers le parking habituel. A l’entrée de celui-ci, Clément tentait de sortir entre les barrières. Mais trop tard car nous nous y étions engagés. Devant la puissance et le poids de ma 307, il renonça et fit demi-tour. De là, il nous annonçait que Chris était parti aux inscriptions. 3 € 50 la place pour le tour de manège ! Cher me dites vous ? Non pas du tout ! Un tour de manège sur une fête foraine, d’habitude ça dure 5 minutes. Là nous étions partis pour 3 ou 4 heurs. C’est donc une bonne attraction.

Bref, au passage, Nono avance de l’argent (ho que ça sent bon) à Nico. Je suis désigné d’office pour aller chercher notre bon de participation. Sur place, je tairais le Nom de Nono que j’ai donné à la Nana qui tenait le stylo. Une bonne consonance d’Afrique du Nord.

J’vous l’dis, c’est un immigré ce Nono.

Au passage, je récupère la monnaie, 3 euros. Et je l’ai toujours. Après tout, un service ça se rémunère, non ? ((((lol N’est pas banquier qui veut ! S’il n’y avait que moi, il n’y aurait pas eu de crise financière. Que des profits !

En compagnie d’une multitude de vtt tous plus jolis les uns que les autres, nous observions ces merveilles de technologie. Il y avait même des Cube, des Canyon, des KTM (carbone), Lapierre (of course) mais pas de Trek. Décidément, ces randos à forte affluence, ce sont de véritables salons du deux roues. On se régale.

Nous étions plus de 400 participants ce dimanche matin dont la plupart étaient inscrits sur le 50 kilomètres. Encore une rando à succès ! Et ceci malgré le froid. Le thermomètre affichait 0 °c. Cependant, nous étions deux téméraires à nous présenter les gambettes à l’air. Clément et moi. Les premiers tours de roue furent ravigotants. De la fraîcheur à tous les étages ! Le vrai froid quant à lui se faisait vraiment sentir au bout des doigts, mitaines oblige ! Nos pouces étaient littéralement saisis. Avec les efforts plus intenses, ces mauvaises sensations disparurent assez rapidement.

Nous redécouvrions les chemins tant parcourus durant nos belles années de vtt. Le départ et le retour faits de longues lignes droites avec ici ou là quelques tronçons de boue plus ou moins dense, plus ou moins profonde et plus ou moins larges. Ceci nous obligeant à zigzaguer sur des chemins pourtant rectilignes. A cela il faut ajouter quelques les petits défauts du sentier parsemé de branches ou cailloux, des racines mettant un peu de relief, des creux, des bosses et des portions un peu plus relevées. C’est du vrai vtt !

Au fil des kilomètres on sentait bien que ce parcours ne serait pas une partie de plaisir au sens ou les efforts ne seraient pas à mettre de côté. Les portions boueuses étaient quand même assez fréquentes. Mais s’il n’y avait que cela ! Le sable venait interférer entre les différents secteurs de mélasse. Autant dire que les cuissots étaient mis à rude épreuve. Toujours une petite tension du muscle à donner pour se sortir de telle ou telle difficulté offerte au menu. A la longue c’est toujours un peu de fatigue qui s’accumule et au bout d’un moment ce sont les jambes dans leur ensemble qui deviennent lourdes.

Une preuve bien fidèle pour démontrer cela, c’est qu’au départ, nous étions bien fanfaronnant. Nous n’hésitions pas à rigoler, chanter, chambrer les autres vététtistes tout en faisant les marioles. Le paysage défilant, le son est devenu de plus en plus rare. On pouvait entendre le chant des oiseaux.

L’autre attrait de ce parcours, si vous vous souvenez bien, ce sont les bosses. Les bonnes grimpettes ! On les avait presque oubliées. Je me disais bien : « cette randonnée me semblait pourtant assez difficile autrefois ». Chose vite confirmée lors des deux premières mémères. Nico disant : « il y a au moins cent mètres de dénivelé là ! ».


Oulala quelle étaient belles ! Il a fallu slalomer entre les piétons, vététistes moins virulents pour arriver au sommet. C’est de la bombe de balle ! Tout la haut, nous avions un super panorama qui s’ouvrait devant nous. Là où nous étions, c’est sûrement l’un des point culminent des environs.










Ceci dit, dès la première ascension, je me suis surpris à mettre le petit plateau. Je ne sentais pas trop le physique

en cette matinée. Allait-il me laisser tomber ? La deuxième, re-belote ! Petit plateau ! Et Nico qui partait devant ! Nono semblait moins à son aise mais il avait de bonnes réserves. Un vaillant combattant !

Dorénavant, le relief était bien présent. Les petites bosses entrecoupaient les plus grosses. Le mal de dos commençait à se réveiller. Mince ! « On n’a pas encore fait la moitié », « il arrive quand ce ravitaillement ? ».

En silence, progressivement, Clément semblait perdre de la vigueur au pédalage. Il avoua vers 25 ou 26 bornes, qu’il était mort. Et toujours pas de ravito ! Avant de partir, je m’étais dit « Clément, il est fada. Il vient à La Croix sans avoir beaucoup roulé, aille, aille, aille ! ». Sans surprise, il jeta l’éponge.

Et bien, cela prouve sa bravoure et sa témérité mais aussi qu’il est assez fou. Il fallait quand même le faire.

A 28 kilomètres, Ravitaillement ! Ouf ! Vite posons les vélos et allons manger ! Je me suis empiffré de raisins secs, pain d’épice, chocolat avec pour arroser le tout un petit verre de boisson citronnée. Miam ! Gros miam !

Nico rencontra son pote qui me semble t-il est arrivé après nous. Ce fut encore l’occasion d’admirer certaines montures exposées bon gré, mal gré autour de nous.

Un gars de l’organisation nous annonçait qu’il y a 900 mètres de dénivelé positif. Pas mal ! Après une rapide comparaison et une concordance des données entre le gps et carto exploreur il y a réellement 1080 m de dénivelé.

Admirez-les jolies courbes.



Clément abdiqua ! Il n’en pouvait plus et se voyait mal encore faire autant de kilomètres que ceux déjà parcourus. (Il a bien fait !).

Chris dans un élan de générosité en fit autant ! Non, Chris avait en fait un mal de dos lui aussi. Mais plus sensible que le moins. D’ailleurs, le miens avait disparu depuis. Cela le travaille un peu depuis la semaine passée. Ca ne semble pas s’arranger. Nous lui souhaitons un bon rétablissement. La semaine prochaine c’est du repos qui t’attend.

Allez, il est l’heure de remonter en selle. Et Nico qui n’en fini plus de discuter ! Nono a déjà pris les devants. Nous le rattraperons quelques hectomètres plus loin. Il n’aime pas être seul Nono. On est sa famille. Pas Vrai ?

Pour cette seconde étape, le physique semblait accuser le coup. Je sentait bien mes autres camarades bien plus à l’aise que moi. Vinrent maintenant les cervicales qui me titillèrent ! J’vous jure je ne fait pas semblant, j’suis pas hypocondriaque ! C’est cette saleté de maladie qui me grignote sans cesse. Parfois elle me laisse tranquille, et parfois elle revient.

Des cervicales, cela remonte un peu et cela se transforme en mal de crâne. C’est dans ces conditions que l’on maudit les chemins avec des cailloux. On les sent vraiment bien comme s’ils s’enfonçaient comme des pointes dans votre cerveau. Les trous aussi c’est terrible. Il a fallu faire avec durant quelques kilomètres. Puis ça a disparu.

Il n’y a pas que cela qui a disparu. Mon énergie disparaissait aussi progressivement. Les côtes étaient moins évidentes à arpenter. Cependant, avec un mois de reprise dans les mollets, on peut gérer. Je savais que j’avais de la réserve et de la hargne à revendre.

Le parcours ne se prêtait donc pas à des défaillances. Il les favorisait. Le profil du terrain était très plaisant. Les descentes étaient techniques, rapides. Les montées à l’inverse, ne donnaient pas l’honneur au rendement. Elles étaient rudement pentues, avec un terrain meuble sous nos roues. Du vrai parcours de guerriers. Eprouvant et en demandant toujours plus à notre carcasse. Les portions de sables et de boues se mêlaient toujours joyeusement. Cette diversité fait que l’on ne s’ennuie jamais. On se demande tout de même au bout d’un moment s’il y a encore du pourcentage à gravir et on se dit : « la prochaine ça va être la bonne, elle va nous exploser ».

Non, non, non, rien de tout cela ! Certes, on a posé pied à certains moments. Tiens, ouais, je n’étais pas le seul ! Il y avait toujours un gars devant nous pour s’arrêter alors que nous étions dans sa roue. C’est surtout vrai pour Nono ! Hé Nono, je pense que je suis resté plus souvent en selle que toi ! Je sais, tu lis cela et ça t’énerve. Mais c’est si bon ! ((lol

Nico lui a voulu grimper sur un talus et finalement a continué à pied. Il s’est transformé en bon samaritain en poussant un gamin dans une sacrée belle ascension divine. C’est avec ce même gamin que je me suis vu batailler. Je l’ai dépassé dans un virage et en relevant la tête j’ai aperçu le bout du sommet qui me paraissait bien loin, une belle surprise. Là, c’est le psychique qui a flanché. Il faut dire que le premier tronçon était assez compliqué, on n’aurait pas imaginé avoir un deuxième tronçon, encore plus pentu et tout aussi long.

Dans la grimpette suivante qui est venue tout de suite après la descente, le môme a explosé. Fini, capout !

A 49 kms, un deuxième ravitaillement nous attendait. Allons y gaiement. Mangeons et buvons pour étancher notre soif. Toujours du raisin sec. Toujours du pain d’épice. Par contre, c’est assez bizarre d’avoir positionné un stand à cet endroit là. Il y avait aussi une assistance réparation. Il aurait été plus judicieux de mettre le ravito à 40 kms. Le premier à 20.

49 kms, en théorie, si nous savons compter, et je suppose qu’on le sait tous, il nous reste donc 1 kilomètre à parcourir. Pff ! De la rigolade ! Il n’y a pas 50 bornes ! C’est La Croix St Ouen tout de même ! 55 c’est le bon nombre. Allez encore 6.

Durant ces 6 kilomètres, j’ai senti Mon Nico un peu moins entreprenant. J’étais souvent devant en train de mener la manœuvre. Nono sur les deux dernières bornes, prenait quelques décamètres d’avance pour finir à 15 mètres de nous en sortie de forêt. Il est super endurant le diablotin. Nous avons donc vaincu ce parcours qui fut très difficile. Nous avons pu comme d’habitude profiter du sandwich rillettes, cornichons de la fin. Quel bonheur ! En plus, on s’est partagé comme des vautours Nico et moi celui de Nono qui est reparti illico à ch’maison.

Comme d’hab, il y a un séjour à gagner ! « Vous avez le numéro 58 « « qui avait le 58 , » Je réponds « moi ». « Oui mais en code couleur jaune donc c’est perdu, on voulait le violet ! » Dommage, ce sera pour la prochaine fois.

En regagnant le parking, ho surprise, Clément et Chris étaient là. Finalement leur raccourci n’en n’était pas un puisque l’on était lors de notre halte au point le plus éloigné du tracé. Résultat, ils terminent avec 52 kilomètres au compteur. Bravo tout de même à Clément car malgré l’asphalte du retour, il a quand même engrangé quelques bornes supplémentaires alors qu’il n’était pas au mieux. Les deux bougres ont parait-il failli chuté. Les guidons s’étant entre croisés et bloqués à cause des embouts de cintres.

Ceci dit, sa décision de ne pas continuer le parcours fut la bonne car vin de Diou que c’était dur la suite !

Notre moyenne au compteur est de 16,40.

En tout cas, malgré mes péripéties, j’ai bien géré l’effort. Pas mécontent. Le point négatif, c’est de ne pas pouvoir lâcher les watts. Ca commence à me manquer ! Voir des guss nous dépasser dans les grimpettes, ça laisse un goût amer. Nous leur donnons rendez-vous l’année prochaine. C’est promis !

Nico comme nous le pensions, est bien préparé. Il a manqué un peu de jus sur la fin du parcours mais a répondu présent sur la majeure partie. Nono est surprenant. Il est resté fidèle dans l’effort. (Tu ne te serais pas entraîné cette semaine petit cachottier ?). En tout cas il est à l’honneur.

Chris a sérieusement été pénalisé par ses pépins physiques. C’est la galère pour lui. C’est frustrant de ne pas répondre présent quand l’envie est là à vous pousser sur les sentiers.

Clément, le renard des neiges qui se remet à sortir à l’approche de l’hiver, n’a pas démérité. Il fallait tout de même oser se présenter un 19 octobre à La Croix. Moi je n’aurais pas trouvé la volonté.

Il y a trois tandems qui nous ont dépassés. C’est sympa d’en croiser sur ces randos. Il y en a souvent un mais là trois, c’est une surprise.

Un gros bravo aux organisateurs tout de même car le fléchage était impeccable. Les ravitos étaient bien fournis et la convivialité planait tout autour de nous. Le parcours dans son ensemble était bien diversifié. Franchement, cela nous laisse un bon souvenir.







3 Malheureux clébards ce matin, dont un en voiture. C’est la misère dans le coin. Les gens préfèrent avoir des chevaux. Parce que vraiment, nous en avons vu une ribambelle. Pas de lama ! Pas de moumoute pour Nono ! Pas de chute (et tant mieux). Le classement de la pointe d’or commencé il y a un mois et demi n’a pas progressé. Incroyable ! Toujours une suture pour Nono et Chris et rien pour les autres.

Le rendez-vous de la semaine prochaine est pour l’instant donné à La Neuville. Chris sera absent. Nico participera à un raid.

samedi 18 octobre 2008

Rando des brumes d'autonne

Salut a tous

Je serais la pour la rando.
Pouvez etre la bas pour 8h30 ?
Il faut que je sois a clermont entre 12h30 et 13h00.

mardi 14 octobre 2008

grand jeu concours (suite)

Voici mon vote en image

1) CUBE AMS PRO 125 R1 MAG BLACK/RED


2) CUBE HPC K18 (carbone)



3) TREK TOP FUEL 9


pour le fun il y avait aussi le Scott carbone (pour faire plaisir à Nico)

dicton du jour

vos mieux des bourses en actions que des actions en bourse

chose promise !

Après avoir laissé passer un dimanche sous la pluie et être restés dans notre lit, nous nous sommes remis en selle en ce dimanche main.

On aurait pu parier, après les pluies qui sont tombées durant la semaine, que les chemins seraient gorgés d’eau. Et bien, telle ne fut pas notre surprise après avoir parcouru quelques kilomètres. Le sol était relativement sec, avec par moment quelques flaques d’eau mais bien éparses, et des traces de terre humide sans excès. Un terrain idéal donc après cet intermède du week-end dernier.

Le brouillard en ce début de matinée était présent, par moment assez épais. Le parcours allait être mené par Nono car l’objectif était cette fois de gagner le terrain de modèles réduits tout terrain à Cousnicourt. Autant vous dire que l’objectif était ambitieux car en plus Chris devait regagner domicile vers 11 H 30, repas oblige. Le tracé se devait d’être précis en plus d’être réduit par rapport aux fois précédentes où nous avions essayé de réaliser ce projet. La peur de faire trop de parcours champêtre aurait pu être présente. Cela, c’est méconnaître notre Nono car il nous a sorti des sentiers que nous n’avions pas encore pris jusqu’à présent. Pas mal ! Il faudra le montrer aux autres la prochaine fois. En plus, cela peut être modulable et des modifications peuvent être faites assez facilement.
Ouais, félicitations donc à Nono notre guide à tous. Pour rejoindre Mouy et gravir la première côte, il nous fallait auparavant faire de grosses parties de routes. Celles-ci ont été supprimées pour laisser place aux chemins. Ce n’est pas pour nous déplaire. Les transitions enrobé/terre furent sympas.
Sur les parties planes « routières » de la sortie d’Angy jusque celle de Mouy Chris et Nono ont assuré les relais. Bravo les gars ! Pour ma part, je ne me sentais pas encore en jambes pour passer en tête. Il faut dire aussi que vous étiez déjà chauds puisque vous venez de chez vous sur vos montures. Moi c’est le lion de la 307 qui m’emmène. De toute façon l’allure était déjà vive, il ne fallait pas en ajouter.

Tiens, tout à l’heure, j’ai parlé d’une première côte. En fait, il s’agit de la deuxième puisque nous en avons déjà monté une à Thury sous Clermont.
Enfin, ce n’est q’un détail… La seconde m’a plus marqué car c’est dans celle-ci que Nono s’est mis à accélérer. Sans doute en avait-il marre que je soit dans sa roue. ((lol. Et bien, j’y suis resté ! En tout cas, j’apprécie l’initiative. Il aime la bagarre ce Nono !!
Chris avec tout cela a perdu quelques plumes mais à sa décharge, il est venu avec un bon mal de dos, alors… Et puis c’est mieux que de prendre de la touffe de poils ! Chris va comprendre, pour les autres je vous expliquerai un peu plus tard. Dommage que l’on n’ait pas l’appareil photo en permanence ou bien la vidéo.

La partie ascendante vaincue, nous avons continué dans le bois. En lisière de forêt on apercevait une nappe blanche. On s’en approchait inexorablement. Puis nous rentions à l’intérieur. Un épais brouillard nous enveloppait. Une purée de pois.
Une petite partie de plaine allait maintenant venir. Au passage nous y croisions quelques chasseurs. Tous sympas. Ce fut l’occasion d’engranger quelques points pour notre grand prix du chien. Au total 12 chiens de dénombré. Pas de record pour aujourd’hui. Dommage !

Nous avions goûté au hors d’œuvre. Voici venu la partie du plaisir digeste. Un vrai festin ! De la côte ! Une succession de bosses devait arriver avant de mériter notre arrêt au circuit de modèle réduits radiocommandés. Une première mémère vint à nous.
Nono se mis devant. Je le soupçonnais de préparer un démarrage comme précédemment. Pas question de le lâcher d’un pneu. Soudain, je le vis se lever pour amorcer un départ en danseuse. Je me suis dit alors : « Si Nono embraie, je le suis ». A peine avait-il levé son postérieur de sa selle que je me mis à appuyer plus fermement sur les pédales. Le coup de jarret fut fatal…… pour Nono. Ma roue avant vint cogner sur son pneu arrière, ce qui a eu pour effet de remettre tout de suite la partie charnue de Nono sur son siège.
Il n’était alors plus question de démarrage car cet épisode nous a fait rigoler pour le restant de la montée.

Deuxième étape de montagne et pas des moindre, Nono nous a dit : « attention cette côte, elle est dure ! ». Il mit le petit plateau dès les premiers mètres d’ascension. Surpris je lui demandais pourquoi il faisait cela, était-ce vraiment difficile ? Et bien oui ! Moi aussi je mis ce petit plateau. Et franchement, ce n’est pas mon habitude. Cette petite grimpette dont on ne voyait pas la fin à cause du brouillard, fut une rude épreuve. Toute en herbe, pour nous ralentir, elle nous offrait un beau pourcentage de dénivelé. Un régal !
Il y avait longtemps que je n’en avais pas connu de semblable. En ce jour de Roc il fallait bien une difficulté tout de même ! Non ?

La troisième ascension fut également très intéressante. Moins belle que la précédente mais belle quand même avec des cailloux pour ralentir notre progression. Arrivé en son milieu, on pouvait entendre le son des bolides qui participaient au concours. Un peu plus haut, c’est une forte odeur de gaz de carburant qui allait nous confirmer que la course était bien lancée.

Chris découvrait le circuit. C’était assez impressionnant car les pilotes touchaient sérieusement de la manette. La précision des gestes pour accompagner leur voiture nous laissait pantois. Ceci nous mis en appétit et nous plongeâmes volontiers notre main dans le camelbak pour en sortir les barres chocolatées. Ho que ça fait du bien !

Un petit quart d’heure d’arrêt, puis nous reprîmes les sentiers. Le but était cette fois de montrer l’autre attrait touristique à Chris. Mieux qu’un chien nous allions chercher le Lama. Le grand Lama !
En quête de spiritualité, nous roulions à vive allure en libérant nos chakras. Ce fut l’occasion de remettre le grand plateau pour dérouiller nos gambettes. Malheureusement, la grande rencontre devait être retardée. Nono un peu dans la brume lui aussi nous fit prendre une mauvaise direction, toute en descente. Descente, que nous avons du remonter. Mais quand on aime…

Bref, on se remit sur le bon chemin. Et soudain,….nous l’aperçûmes. L’animal dans toute sa splendeur était à nos côtés. Il ne prit pas la peine de nous cracher dessus pour nus souhaiter la bienvenue. Nous le laissions donc pour continuer notre route.

Nous étions donc de retour à Mouy. Nous avons longé l’aérodrome où un ulm était tout de même en piste malgré la visibilité.

Entrés dans Mouy « centre ville », nous prenions un sens interdit. Mais il y avait de travaux. Donc pas de circulation. On joue vraiment les petits joueurs ! Pas de risque de se faire écraser. Du moins pour nous ! Car…

Nono semblait avoir percuté quelque chose. Souvenez vous de la touffe de poils. L’occasion encore de rigoler. Le té de sa fourche était recouvert d’une épaisse moumoute qui déguisait son spad en père noël. Une touffe de poils blancs ! Qu’avait-il pu croiser ? Et pourquoi sur le té de sa fourche ? La scène était folklorique ! Pas de grand-mère à l’horizon, pas de pauvre bête dépeucée ! Mystère !

Plus loin, nous nous sommes aperçus que son amortisseur arrière avait profité aussi de cet habillage chaleureux. Une customisation digne des années folks.

Plus loin encore nous eûmes une grosse frayeur. Chris en voulant contourner une barrière chuta. Une crampe le pris de plein fouet. Il n’eu qu’autre choix de tomber pris par la douleur. En contre bas il y avait un fossé bordé d’orties. Chris échappa au fossé mais pas aux orties. Sur le coup, on a eu peur. Cet effet passé, c’est plutôt en rigolant que nous sommes repartis.

Une bonne portion de grand plateau allait être absorbée avant de reprendre les chemins pour retourner dans la forêt de Hez-Froidmont. Chris accusait cette fois-ci le coup. Le mal de dos puis l’absence de pratique de la semaine passée devaient y être pour quelque chose. La dernière montée se fit par la route. Nous en étions à 38 kms quand Nono nous a quitté au carrefour du lieutenant. Du moins à mon compteur. Pour sa part il avait 6 ou 7 kms en plus. Il a certainement du finir avec 52 ou 53 kms au total.

Je considérais que 38 kms, ce n’était pas assez. Je décidais de raccompagner Chris jusque chez lui. Cela nous amena à 41,5 kms devant son domicile (46 ou 47 pour Chris). Au plus court, il y a 3,5 kms pour rentrer. Au départ, on s’était dit que nous devions faire entre 45 et 50 bornes pour préparer la sortie de la semaine prochaine à la Croix St Ouen, une sortie réputée difficile. Le plus court chemin n’était donc pas de circonstance. Au final j’avais 48 kms. Ce n’est pas si mal.

Je retiendrais quand même qu’heureusement nous ne sommes pas allés au Roc cette année. Franchement, nous n’avons pas le niveau. Dur, dur, il va falloir encore travailler. Il nous manque de l’endurance pour parcourir de plus longues distances. Il nous manque aussi de la puissance. Les gros braquets ne s’entraînent plus aussi facilement que l’année dernière. Le constat est terrible. Les cuissots ne sont plus ce qu’ils étaient.

Le dénivelé de la sortie est de 772 mètres.




La semaine ne s’annonce pas trop pluvieuse. C’est de bon augure. Pourvu que cela dure.

lundi 13 octobre 2008

dimanche 12 octobre 2008

pommard suite

oups, je devais être en manque.

Pour les dates je propose le 19/10 am ou le 25/10 am ou ?????

samedi 11 octobre 2008

dans un an ?



salut a ts

afin de vous faire patienter voici quelque photo de reves


et
et

Oups !! et oui c'est ca aussi le roc , il ne faut jamais l'oublie !!.
ne pleurer pas dans 362 jour on y sera nous aussi.
Bonne nuit et a demain pour l'entrainement.

pommard

salut,

La livraison est confirmée pour le 15/10.
A vos agendas pour la mise en bouteille.
Je vous propose le 16/10 AM ou le 17/10 AM ou ?

Votre caviste !!!

Nota: Cédric, pense à m'envoyer les étiquettes pour impression.

jeudi 9 octobre 2008

tous dehors !! il va faire beau

salut a ts

apres un dimanche passe au lit , ca va changer ts sur notre spad dimanche matin !

mais.................ou , à la neuville ? oui moi je propose la neuville pour convenance personnel le midi.

Qui sera la ? lolo ? vivien ; je te rapelle que j'ai un vtt ts neuf , vu que tu n'en a plus ;-) si ca te dit ?
nono ? les gardins ? nico ? clement ?

mardi 7 octobre 2008

grand jeu concours

Bingo !

Rappelez-vous du jeu qui a animé l'après Roc avec l'élection du vtt de l'année.

Dans le même style mais encore plus fou voici le nouveau jeu de la française des....vététeux.

Rien à gagner mais tout à perdre ! Mais quel est ce nouveau jeu ? Une folie ! Une pure et réelle folie !

Et quelles vont être les règles ? ET bien ... Il va encore falloir voter mais cette fois-ci sans liste de spads ni photo. Bizarre comme règle, ça va partir dans tous les sens ! Peut-être mais cela mènera au but ultime ....trouver !

Allez, un peu d'explications.



J'ai appris de source sure, si, si je vous l'assure que Maître Vivien aurait passé commande d'un magnifique vélo. Mais que dis-je "vélo" ! Non, il s'agit d'un vrai, d'un dur, d'un sublimissime vtt. Un tout mou comme on les aime.

A trente ans passés, il fallait bien franchir le pas.

Le jeu vous tente, alors c'est bien simple. Il faut nommer trois vtt par ordre de préférence. Dans ce trio doit se détacher l'élu. Celui qui trouve le trésor a gagné. Si deux vététeux trouvent le trésor, alors, il n’y aura pas de partage. C’est l’ordre de préférence qui tranchera. De toute façon, le but de la manœuvre, ce n’est pas de gagner ! C’est de ne pas perdre !

Celui qui ne trouvera pas et qui sera le plus éloigné des choix de Vivien (car il a du hésiter entre plusieurs modèles le bougre) se verra sanctionné ! Et quelle punition peut alors être affligée ?

Le malheureux devra se plier aux exigences. Cela va être très difficile à supporter mais bon…le pire du pire, c’est vrai je le conçois.

Chez les vététeux, la règle, ché s’te règle. Faut l’respecter !

La peine sera donc ….allez-y tremblez. Elle sera……., les jambes doivent flageller maintenant, et les dents ? Ca claque ? …………..Allez encore un peu de patience….mais pas trop !

LA SANCTION …….

Faire trente baisers sur ce nouveau spad ! Et intérêt d’el respecter s’te règle ! Vivien aura le choix de l’endroit où seront déposés délicatement les roupoutoux soyeux. Pas de bave ! NON !

J’imagine que vous êtes comme moi ? Affligés. En état de liquéfaction aggravée ! Si ça sent le faisan…. Enfin, nous allons devoir nous y plier. Le seul moyen d’y échapper, c’est de trouver le précieux.

Je ne vais pas faire le gros méchant. Je vais partager des infos que j’ai pu extirper à droite et à gauche. Il faut bien un peu d’indices car le choix est vaste.

Voici donc une liste rouge d’informations qui pourra vous aider, et moi aussi d’ailleurs. Je ne garderai aucune info primordiale ! (Je vous le jure Madame, je n’ai jamais…).

1) le spad sera explosé sur le ROC 2008….(oups lapsus) exposé bien sûr ! Ha ! Ha ! Ça commence fort ! Non, c’est une blague, quoiqu’il sera sûrement sur le salon du Roc ou du moins sa marque.

2) le spad est d’une valeur de 27..,.. euros (j’ai les deux premiers chiffres, maintenant il faut chercher.)

3) le spad n’est ni acheté dans une boutique de Picardie, ni en Ile de France ! Wahou, mais où diable peut-il l’avoir trouvé ?

4) Il est en commande car c’est un modèle 2009. (hé, hé)

5) Il a deux roues. Ha, je sais vous pensez que je me moque de vous mais si vous vous souvenez bien, le précédent n’en avait plus qu’une.

6) Je ne connais pas la couleur

7) Il est sur un site internet.

8) GROSSE INFO ! Il y a une réduction pour le lancement de la nouvelle gamme.

9) De poule.

10) Pensez aux marques fétiches de Mister Vivien.



Voilà tout.

Alors tous à vos claviers et faites vibrer les mulots à la recherche de nouveautés répondant à ces critères. J’en connais un qui doit se dire : « S’ils ne viennent pas m’installer Internet rapidement, c’est l’apocalypse ! Il va y avoir un drame.»

Dernière info, l’ancien spad n’est plus du cheptel des vététeux. Il a été vendu.

Voici ce que le nouveau propriétaire en a fait !






Sinon, C’est une Grande Nouvelle car cela démontre que la volonté de remonter en selle est bien réelle.

Ca sent bon le RETOUR.

Damned ! !

mercredi 1 octobre 2008