mercredi 28 janvier 2009

pommard

L'heure du pommard nouveau pointe son nez.

La cuvée nouvelle est sur la rampe de lancement.
Le ticket est à 130 € pour un cubi.
La réservation doit se faire avant le 05/02/09.
Alors qui en sera ?

Bonne nuit à tous et à bientôt

samedi 24 janvier 2009

Pas de message !!!

Je dois en conclure que personne ne va rouler demain.

Manque de courage ? Ou de communication ?

mercredi 14 janvier 2009

dimanche 11 janvier 2009

pneu pour l'hiver

salut à tous,

Je suis à la recherche de pneus hiver pour remplacer mes pneus été (le temps sec touche à sa fin !!!!).
Alors que me conseillez vous ?

@+

2009 Ter

A notre tour...

vendredi 9 janvier 2009

2009, l'année du euf !








2009 !

Ca y est, nous y sommes ! Une année pleine de sport, signe de nombreux kilométrages enregistrés pour atteindre un but ultime : Le ROC !

Bien entendu, les vététeux n’iront pas seulement au ROC mais ils afficheront leurs couleurs sur de nombreuses randonnées, la première pointant à l’horizon puisqu’elle aura lieu début février, je crois. Ensuite s’en suivra La Neuvilloise, et puis, et puis…

Le calendrier se remplira durant les prochaines semaines et au fil du temps.

Pour cette première sortie de l’année, la nature ne nous a pas rendu la tâche facile. Plutôt hostile. Le thermomètre était bloqué en ce premier dimanche à – 9°c. C’est un record pour ainsi dire cet hiver. D’ailleurs nous n’avons rarement roulé sous des températures aussi basses. Cela en dit long sur le facteur courage et motivation des troupes.

Pourtant, ce matin, aux abonnés absents, nous retrouvons deux compères qui pourtant la veille étaient les plus actifs pour recruter dans l’effectif. Je nommerai Chris et Cédric. Ce dernier avait bravement affronté les -6 degrés de la semaine passée. Il va falloir se reprendre messieurs. On compte sur vous dimanche prochain.

Et pour les participants, comment s’est donc appréciée cette froidure ? Et puis qui étaient-ils donc ? Moi, c’est sûr ! Ensuite, nous pouvons présumer que Nono était là. Gagné !


Et le troisième ? Et bien c’est lui !


Il en est tout auréolé sur la photo. On dirait un ange.

Pourtant, ce matin, Clément a cru qu’il était tombé dans un trac nard. Voyant l’heure passée, les minutes s’écouler, de nombreuses interrogations ont dû lui traverser l’esprit. « Mais qu’est ce que je fais là ? » « Suis-je fou ? »

Non, Non, Non, Clément. Finalement, Nono qui d’habitude est toujours à l’heure, arriva expressément avec un chouillat de retard.

Moi, à la suite et à la bourre…je ne retrouvais pas ma pompe qui était dans la voiture !

Les premières sensations furent…comment dirai-je…étranges. Une certitude, le froid était bien là. J’avais prévu en conséquence un accoutrement plus approprié. A ma veste thermique et mon maillot du même effet, j’ai ajouté la veste manches longues du costume des vététeux. Mais grosse différence, et pas des moindres, par rapport à la semaine passée j’ai laissé tomber la polaire. C’est incroyable mais c’est Vrai !

Bon sang, nous sommes des Picard, non ? Jadis, les hordes de sauvages qui venaient du froid ont envahi notre contrée. Nous en sommes quelque part les dignes descendants ! Ouais, ben notre côté sauvage ne nous a pas quitté. ((Lol.

Néanmoins, j’ai mis deux paires de gants, deux « fines » paires de chaussettes. Pas fou non plus ! Il ne faut pas oublier qu’autrefois, nos aïeux portaient des peaux de bêtes. Nous, nous n’avons rien. On ne porte même pas un slip en coton sous notre cuissard ! L’expression « se geler les… » Vient peut-être de là.

Gonflages de pneus, et hop, nous partons. Clément avait dans l’esprit d’aller se faire offrir un café chez l’un de nos démissionnaires du jour. Nous prenions donc la direction de Boulincourt.

Chemin faisant, nous pouvions nous rendre compte qu’il restait par section assez importante une fine couche de neige sur les sentiers. Sur la route du carrefour du lieutenant, nous pouvions rouler sur une belle épaisseur de glace et de neige tassée. C’était assez dangereux en voiture. En vélo nous prîmes pourtant le risque de rouler dessus. C’est trop fun de prendre des risques. Certes c’est modéré ! On ne va pas faire du 30 kms/heure non plus.

Cette route, je l’avais déjà prise la veille, de nuit, pour aller rejoindre Nono chez lui. Nous devions démonter la crossmax arrière pour lui offrir une petite révision et pour anéantir le bruit que je traînais depuis deux week-ends.

Cool, de rouler dans la neige. Moi j’adore ça ! Un vrai gosse !

Et puis c’est magnifique de voir le paysage qui se métamorphose de la sorte. Les arbres se parent de givre et de neige. Les herbes en font tout autant. Les chemins prennent un aspect différent. La conduite du spad est elle aussi adaptée aux circonstances. Il faut en profiter car cela reste plutôt rare et cela ne dure généralement pas très longtemps.

Pourtant, cette neige, date du milieu de semaine puisque je crois qu’elle est tombée mercredi. Les températures qui n’ont pas dépassé le seuil du 0 degré ont donc favorisé cette persistance. Cool !

Nous prenions soin de ne pas partir dans un excès de vitesse pour éviter tout vent glacial. Nono savait me le rappeler quand mon coup de pédale devenait trop lourd ou trop virulent.

Nous sommes donc descendus jusque l’étang de Boulincourt. Là encore, le spectacle que nous offrait la nature était magnifique !

Cette vaste étendue d’eau était devenue toute blanche, sa surface ayant gelé et la fine couche de neige s’étant déposée dessus. Pas un canard à l’horizon ! Ils ont peut-être migré ?

L’épaisseur de glace devait être assez conséquente. J’entrepris d’aller vérifier par moi-même. Je fis la proposition d’en faire de même à Nono mais il daigna la recevoir. Il est trop frileux Nono ! ((lol. Et Clément aussi ! ((lol

C’est comme dans les films ! Sous la glace, il y a des poches d’air qui se forment. Nous les voyons par transparence. Dans les films, souvent on y voit des cadavres dessous car une bataille comme dans « patchfinder » ou «Alexandre » venait de se passer et les méchants sont tombés dans les eaux glacées après la rupture de la surface sous le poids cumulées de toute leur armée. Ils tombèrent dans le piège.

Pour ma part, je n’y ai pas retrouvé mes canards ! Eux, ils n’ont pas dû se faire avoir ! (lol

A hauteur de l’ancien monastère, Nono nous dit qu’il devait être crevé. Pour le moment, c’est à peine perfectible mais il semble que le pneu ait pris de la souplesse.

Sur la ligne droite, j’accélérais un peu pour connaître la sensation de vitesse dans le froid. Jusqu’à présent nous n’avions pas trop souffert sauf par moments où un bout de doigt se mettait à geler. Je crois que c’était plus intense la semaine passée.

Abordant la portion de route, nous eûmes la confirmation que le pneu se dégonflait. Ca tombe plutôt bien, nous ne sommes plus très loin de chez Chris. Nous allons pouvoir réparer. Devant l’habitat de la famille Dardard, Clément cherchait à trouver un contact. Sa mission fut couronnée de succès. Nous nous regroupâmes dans le sous sol pour réparer. Chris était encore en tenue de couchage. Nous venions de le sortir du lit.

Nous ne sommes pas restés finalement pour faire un tarot. Nous reprîmes la direction des chemins car pour le moment, notre compteur n’enregistrait que 4 malheureux kilomètres.

Au passage, Nono totalise 2 crevaisons au classement de la pointe d’or.

Nous recherchions quelle serait la montée que nous pourrions gravir pour repartir sur le plateau. Celle tout en cailloux sur son début fut esquivée par nono. Il nous proposa d’en prendre une qui en temps normal est trop humide pour être pratiquée. Nous l’avons cherchée cette montée mais nous ne l’avons pas trouvée.

Nous avons donc entrepris de passer par celle qui est juste en face de la porte du monastère. Là, nous eûmes la surprise Nono et moi de voir notre Clément mener un bon train. Ho ! Le diable retrouve t’il des sensations ? Déjà ! Non, ce n’est pas possible ? Mais comment fait-il ?

En tout cas, jusqu’au virage il y est allé de bon cœur. Ca promet pour la suite. Il va être inarrêtable. Bravo ! Moi, quand je reviens d’une longue période d’inactivité, j’en suis totalement incapable.

Nous avons repris les commandes après le virage. Je me suis détaché et en haut j’ai marqué une pause pour attendre mes compagnons. Nono arriva mais continua son chemin. Ca lui a fait mal ! Nous sommes repartis en direction du carrefour du magasin. Sur la crête, le chemin herbeux était recouvert de neige. La fraîcheur se faisait alors davantage ressentir. Nous y avons croisé un groupe de vététistes composé d’une dizaine d’éléments.

Clément qui dans un premier temps voulait abdiquer, se laissa finalement convaincre de continuer un peu. Il ne pouvait pas s’arrêter avec 8 ou 9 kilomètres. Il trouva du courage pour poursuivre encore un peu.

A l’orée d’un chemin menant jusqu’aux voitures, j’ai eu peur qu’il veuille ne plus poursuivre mais par bonheur, il continua, empruntant un parcours encore plus excentré par rapport au lieu final. Nous en avons profité pour faire une descente, remontée pour pigmenter notre sortie et mettre un peu de dénivelé. Dans le secteur ascendant, Nono et Clément mirent pied à terre. La neige rendait glissante la pente.

Comme la semaine passée, le carrefour du soleil fut sur notre lieu de passage. Nous avons bifurqué sur la gauche en prenant le chemin sur lequel il y a quelques creux à descendre et remonter. Ce chemin aboutissant sur une large allée, nous y avons croisé encore un groupe de vététistes. Ils devaient être 7. Malgré ces conditions extrêmes, il y a du monde qui ose braver le temps. Nous ne sommes pas les seuls courageux ! Mince ! On verra la semaine prochaine s’ils feront les malins quand il y aura – 15°c. ((lol

Sur la grande allée, Nous en avons profité pour prendre une photo souvenir.


Nous avons pris au niveau du carrefour sur la droite, une descente sur la gauche. Celle-ci achevée, nous pouvions grimper une dernière fois avant de raccompagner Clément.

Pour lui, l’aventure s’achève avec 18 kilomètres au compteur. C’est bien pour une reprise pas évidente du tout. On espère que cela marque un retour sur nos pistes du grimpeur du peloton. On verra la semaine prochaine…

Nous avons continué avec Nono. Nous avons pris la route jusqu’au carrefour du lieutenant puis nous sommes allés sur le chemin longeant la voie. Le train était plutôt sénatorial. Ma décision était d’appuyer sur l’accélérateur pour nous faire violence et garder notre capacité à rouler un ton au dessus dans certaines circonstances. Je fis la ligne cette portion tout seul. Nono décrocha.

Il était victime d’un problème au niveau de sa roue arrière. Peut-être était-ce dû au changement récent des plaquettes. En tout cas, sa roue se bloquait assez rapidement après avoir été lancée à la main. Les pistons ne seraient-ils pas grippés ? Après avoir trifouillé un peu, desserré puis resserré la roue, le problème semblait être résolu. Nous nous sommes alors dirigés vers cette fameuse descente (ou montée, ça dépend du sens) que nous recherchions tout à l’heure à Boulincourt. Il s’avère que nous n’aurions pas pu la trouver lorsque nous la recherchions car elle débouche finalement à Agnetz. La descente fut belle car très enneigée. Quelques petits travers ici ou là pour nous apporter des sensations de conduite, ce n’est pas pour nous déplaire.

Ces plaisirs passés, nous allions connaître ceux de la remontée. (Côte qui arrive sur le chemin de la cabane du chien – Chris comprendra -). La roue arrière du X-Race semblait encore poser problèmes. Nono mit pied à terre. Je l’encourageais puis parti au devant pour pouvoir prendre une photo plus haut.

Trop galère ces problème de spad ! Nous continuions notre chemin pour rejoindre la maison du lieutenant. Au passage nous avons croisé 3 beaux chevreuils. Ca fait un moment que nous n’en avions pas vus.

Arrivés à point nommé, nous avons traversé la route puis nous avons poursuivi jusque l’autre route provenant de Thury sous Clermont. Il y a toujours une grosse marre d’eau poisseuse au milieu d’un des chemins sur ce secteur. Cette fois-ci, elle était gelée. Nous nous lançâmes le pari de la traversée. Ce fut chose faite. Non mais ! Depuis le temps où elle nous nargue celle là ! Nous l’avons eue !

Nous sommes redescendus par la côte super raide replongeant au carrefour des verrières. Nono s’y ait fait peur sur un coup de frein trop appuyé de l’avant. Il faut dire aussi que nous l’avons dévalée cette côte. Avec la neige, cela gomme un peu le relief et hop…une surprise, on décolle.

Pour mettre fin à notre périple, nous avons choisi de faire une ultime montée. De toute façon, nous n’avions plus le choix. Nous étions en bas. Nous reprenions le même chemin que lorsque nous avions raccompagné Clément sauf que dans le virage, au pied de la côte principale, nous avons pris tout droit. Je ne sais pas pourquoi, mais je l’aime bien cette côte. Pour corser la difficulté et par solidarité avec Nono, je n’ai pas changé la chaîne de niveau ; A l’arrière, au milieu et à l’avant moyen plateau.

Le résultat fut éloquent. Nono avait encore décroché. Il connaît vraiment des soucis. Habituellement il aurait bataillé. Il m’en aurait fait voir le bougre. Et je l’aurais peut-être maudit. Mais là…. J’espère que tu vas réussir à résoudre cela pour dimanche prochain. A l’heure où j’écris c’est sûrement déjà fait.

En haut, nous nous sommes séparés. Nono rentrant chez lui et moi regagnant mon véhicule.

Belle première sortie ! L’année 2009 commence fort. Pourvu que cela dure ! Nom d’un petit bonhomme. J’en termine avec 31 kms et 482 mètres de dénivelé +.

Prochainement les 500 mètres de positif devront être un minimum. En attendant encore plus….


Message de Coco : les gars, je vous admire vraiment ….

Lolo souhaitait me faire lire sa … comment appelle-t-il cela ?… synthèse !!! Nous n’avons pas la même définition de ce terme !!! J’ai vu les pages se dérouler interminablement mais j’avoue qu’il écrit très bien, compliment de prof de français, cela vaut ce que cela vaut !!!

Il pense publier tout cela un jour. Qu’en pensez-vous ? Cela s’intitulera Mémoires d’un GRAND vététeux, le plus grand paraît-il !!!

Réponse de Lolo : N’importe Nawaque ! Ma pauvre épouse boit !!!!!!!!!!!! Et pas de l’eau !

Réponse de COCO : bon cela, tout le monde le sait …

En revanche, prétendre la modestie alors qu’on ne cesse de me répéter « je suis le meilleur, ce que je leur ai mis dans le nez !!! » je ne suis pas d’accord …il faut être honnête avec les amis …

Réponse de Lolo : Mais ce n’est qu’affabulation et bouffonneries ! La modestie, c’est l’une de mes qualités !

Réponse de coco : les gars, on vous laisse, on a des choses à régler… A la prochaine !!!!!

PS : je n’ai plus le droit de lire ses « synthèses », je ne comprends vraiment pas pourquoi !!! Citation : « c’est mon compte-rendu !!!! »

dommage, cela commençait à m’amuser !!!

jeudi 8 janvier 2009

Petit sondage

Pensez-vous qu'il y aura encore de la neige dimanche en forêt ???

Aujourd'hui le beau tapis blanc en a pris un sérieux coups.

Samedi s'annonce plutôt plus chaud l'après midi avec 0°c (mais ça peut ê +1)!


En tout cas, s'il en reste, je fais de la vidéo ! Bien entendu, il me faudra des acteurs. Qui sera partant dimanche prochain ?

Température prévue : - 6°c.

La dernière de l'année

Et oui, c’est la dernière de l’année et c’est aussi l’occasion de rincer le cochon après les fêtes de Noël car la bête a certainement du faire dans l’excès… Enfin, à vue de nez. Pas question d’utiliser une balance sous peine de tomber d’évanouissement à cause du choc.

Bref, cette sortie est donc plus que nécessaire. Pourtant le facteur froid s’est mis comme une barrière sur notre route. Ce dimanche matin s’annonce avec des températures de – 6°c. De quoi en refroidir plus d’un.
Comble de malchance, ce matin là, j’étais encore à la bourre, mes affaires pas préparées. De quoi arrivée en retard en fait… Le gps a été rechargé à la hâte, ce qui fait qu’il n’avait pas toute son autonomie. Il ne tiendra pas toute la sortie.
Autre méfait, mais pas trop grave, je n’ai pas pris la peine de regarder ma roue arrière pour la démonter afin de supprimer le bruit en décélération. Ca fait beaucoup…

Mais, que né ni, la motivation l’a emportée.

A mon arrivée au magasin, personne n’était en vue. J’aperçu quand même Cédric au fin fonds de son véhicule moteur allumé, profitant de ses derniers instants au chaud ou bien prêt à repartir ne voyant rien poindre à l’horizon.

Il a fallu que je me prépare vite fait avant de montée sur le spad tout gelé. Cela se révéla dans les premiers kilomètres puisque les vitesses ne voulaient plus passées, sans doute lié au froid plus intense avec la vitesse du transport. Assez rapidement, tout rentra dans l’ordre.
Question adaptation aux températures, dans l’ensemble, nous avons bien su résister. Il faut aussi dire que j’avais mis ma polaire au dessus de la veste thermique, l’inquiétude du départ m’y m’en a fait sentir le besoin. J’eu très vite assez chaud. Il me semble que Cédric avait de nouveaux gants, je en me rappelle plus très bien…

Revenons quand même sur la très faible participation de la matinée. Seuls deux valeureux vététeux étaient donc présents. Chris étant dans le Loir et Cher, Nono, peut-être au chaud ?, Le reste de l’équipe c’est plutôt habituel. Clément a encore du boulot. Nico a peut-être roulé. Vivien n’a pas de spad. Fab ne peut pas venir toutes les semaines.

Nous nous jetés dans le grand bain, si j’ose dire, et nous avons su garder notre sang froid !!!

Cédric avait plutôt du mal ce matin. Le froid gênait sûrement sa respiration. Pour le réchauffer, rapidement je l’emmenais vers la direction des côtes.

Le sol facilitait notre progression. Disparue la boue de la semaine passée. Les flaques d’eau furent cristallisées. Le sol était donc très dur. Les ornières pouvaient être franchies sans la crainte de se voir surpris pas un dérapage incontrôlé. Il fallait néanmoins faire attention à ne pas se confronter aux blocs de terres rendus durs comme de la pierre au risque de les heurter et de perdre l’équilibre.
La vitesse allait être réduite à cause du froid car plus nous allons vite et plus nous accentuons son effet de gel sur le bout des doigts.

Après avoir pris un départ assez classique par le chemin de gauche, nous nous sommes dirigés vers le carrefour du soleil. Et oui, c’est pourtant bien son nom. D’ailleurs à partir de cet instant, nous nous sommes réchauffés. Allez savoir pourquoi ?
Le parcours qui allait venir allait changer un peu. Ce que nous avions fait précédemment était sur la même platitude. Après cela s’en suit donc un terrain un peu plus accidenté avant d’aborder la descente, celle qui nous amène vers le gr 124 non loin de l’abbaye de Froidmont.
Nous ne l’avons pas prise jusqu’en bas. Au niveau du palier, nous prîmes à droite pour aller rechercher la série de bosses.
Cette série, fut contourner en fait, dans un premier temps. Au pied de la première difficulté, je braquais sur la droite, certainement à la grande surprise de Cédric, et peut-être à son désespoir ???
Cette première mémère est une des plus difficile de La Neuville je pense. Tout du moins, elle doit être dans le top 5. On pourrait faire un classement des plus jolies pentes du secteur, histoire de se remuer un peu les méninges. (Et peut-être de toutes les grimper sur une seule sortie…un top 10 serait sympas…lol)
Une fois en haut, je m’assois sur un tronc d’arbre pour attendre cédric. J’en profite pour prendre une première photo. Cédric arrive. Il en a bavé !


En tout cas, il ne semble pas avoir froid. Confirmation immédiate, puisqu’il se mit sur le côté pour y faire un besoin naturel. S’il était transi de froid, il n’aurait pas eu cette sensation. La bête dans des conditions extrêmes sait se faire oublier. Et quand on la cherche… on la cherche !

Nous pouvions donc reprendre notre route encore en direction du carrefour du soleil. Mais nous n’irons pas le rejoindre puisque nous tournâmes au deuxième chemin à droite. J’aurais bien aimé prendre le premier mais des coupes de bois avaient entravé son passage. C’est donc encore une descente qui d’offrait à nos pneus. Nous nous y engagions mais sans en profiter pleinement puisque nous allions reprendre un chemin sur notre gauche. Ce chemin restait d’ailleurs inconnu jusqu’à ce jour. Tout du moins, nous n’y étions jamais allé. Le but de la manœuvre était d’aller rechercher l’autre descente, plus technique et forcément plus fun.

Mais, encore un « mais », juste avant, nous vîmes un autre chemin, dans la continuité de celui que nous venions de prendre. Notre curiosité nous poussa à le pratiquer. Malheureusement, nous revenions sur nos pas puisque nous débouchions pour finir sur le haut de notre première montée. Cette fois-ci, nous l’avons descendu. Une fois en bas, braquage immédiat sur la droite pour reprendre la première bosse de la série que nous avions évitée. Nous avons poursuivis jusqu’au carrefour du gr 124 (qui est le chemin forestier de Froidmont), puis nous avons commencé à le remonter.

Ce fut agréable de trouver un sol gelé sur ce tronçon. D’habitude, il y a toujours des parties chargées de boue. Là, ça roule.

Dés les premiers contreforts, partie au pourcentage plus prononcé, nous avons bifurqué à gauche pour reprendre une autre montée qui allait nous hausser le taux d’adrénaline plus rapidement. Il s’en suivi la descente sableuse.

Au carrefour de la fontaine, à droite, pour nous diriger vers une autre mémère difficile. Nous ne l’avons pas prise. Préférant un décor de sapin plutôt que de forts pourcentages, nous nous sommes introduits dans la pinède sur la droite en remontant le petit single bien sympathique.

Voici Cédric dans l’effort.

Ce qui est bon c’est qu’après la partie de résineux, nous débouchons sur un chemin plus large pour continuer notre ascension. Une montée en deux temps, c’est plutôt original.

Au carrefour de la croix grand Jean, marquant le sommet, nous reprenions une portion un peu plus plate avant de redescendre vers la fontaine St Louis. Quand soudain, mon portable se mit à sonner. Ha, qui nous appel en plein effort ? Mais…je ne rêve pas ? C’est…c’est… Nono ! Non, pas possible !

Si, si, c’était lui. Il était au magasin près de nos voitures, et il était 10 H 30. Et dire que nous nous apprêtions à faire le bois d’Etouy. Nous nous donnons rendez-vous pour nous rejoindre à mi-chemin, c'est-à-dire une nouvelle fois au carrefour de la croix grand Jean. Nous sommes arrivés les premiers sur le lieu du rancard. Nous avons bien attendus 3 minutes, sans rien faire, dans le froid. Merci Nono ! Et t’as combien de vitesses sur ton vtt ? (((lol

Curieusement dés que Nono est arrivé, mon gps a rendu l’âme. Plus de batterie ! Nous avions alors parcourus Cédric et moi un peu plus de 16 kilomètres pour un dénivelé positif de 307 m ! Nono de son côté en avait fait tout autant.
Nous sommes repartis sur le parcours d’Etouy. Après la passe aux animaux, nous avons voulu tester un autre chemin, profitant du terrain dur pour partir en exploration. On ne sait jamais, s’il y a un moyen de contourner la partie la plus boueuse cela pourrait être sympa.
Finalement, pas de bol ! Ce sentier doit être encore pire que celui que nous prenons habituellement. En tout cas, c’est bon de le savoir. On ne passera jamais plus par ici ! ((lol

La fin du parcours fut identique à celle de la semaine passée puisque nous avons regagné le carrefour du magasin par la même et ultime difficulté.

Au global, nous avons réalisé une bonne sortie de 30 bornes. Nous avons terminé avec un relatif bon état de fraîcheur. ((lol












C’était la dernière sortie de l’année. Ne pas la faire aurait été dommage. Nous accumulons un bon capital santé cet hiver. En continuant sur ce rythme nous pourrons entrer sans crainte et avec un super état de forme dans la saison printanière. Il faut persévérer.

Le rendez-vous de la semaine suivante se fera à La Neuville une nouvelle fois et pour la première de l’année 2009.

mercredi 7 janvier 2009

Retour aux sources

Et quand nous disons « retour aux sources », il s’agit plutôt du retour à la source puisque c’est notre âme de fitz-jamois endurcis qui cause. Nous avons donc fait découvrir pour l’occasion nos anciens sentiers qui au temps jadis était arpentés par nos vieux d’antiquaire.

La venue de Fab et Nico était donc une belle occasion pour servir de guides, Chris et moi, dans cette croisade du Saint Graal. Nous avions déjà donné un petit aperçu à Nono, il y a quelques temps de ce que pouvait être une belle sortie °o°.
Nous n’étions alors que de simples éclaireurs en reconnaissance, fouillant dans les lointains souvenirs enfouis pour retrouver les voies oubliées.
Nono était une nouvelle fois parmi nous. Le sixième larron se prénomme Cédric. Il ne pouvait pas en ce week-end de Noël (avant l’heure) ne pas accompagner son fréro de toujours.

Compte tenu des chemins qui étaient en piteux états, souillés par la boue, l’option « nacote » fut la bonne. Et puis, il est vrai que cela change un peu du parcours habituels avec en plat de résistance ou bien dessert, le bois d’Etouy.

Néanmoins, le début de la sortie ne laissait pas présager que nous allions prendre pareille option.

Nous étions partis du carrefour du magasin en passant par la barrière puis en prenant le premier sentier sur la gauche. Quelques hectomètres plus loin Chris mis le fessier à terre glissant sur une racine et de la boue, cachées sous le tapis de feuille.

C’est un premier tour de chauffe que nous pratiquons régulièrement avant d’attaquer les hostilités. Ce fut le cas encore cette fois-ci puisque nous étions partis en direction du carrefour de l’homme mort pour ensuite prolonger notre destination vers le fond grignard. Cet endroit n’est autre que le début de la série de montées, descentes.

La meute allait donc pouvoir se lâcher. La première côte donna l’occasion à Nono de s’exprimer en premier. Je ne lâchais pas le morceau et Nico nous collait aux basques également. Le haut de la côte me permis de m’extirper avec une légère encolure d’avance. Néanmoins, j’eu connu bien des effort, anormalement produits pour gravir cette ascension. Après réflexion, je m’aperçu que j’avais oublié d’enlever le grand plateau… No comment. Enfin, ce fut mon seul coup d’éclat puisque par la suite je devais fléchir avec un mal de dos qui n’allait pas me quitter. Nono, Fab et Nico allaient se livrer seuls la grande bagarre de tête.

Nono allait donc être le guide sur cette première partie de parcours. Il était plus ou moins sur ces terres puisque nous prenions route vers la partie sud-ouest de la forêt. C’est un secteur qu’il devait connaître par cœur au temps où il était mouysard. Ceci allait donc nous amener vers Thury sous Clermont. Les troupes se regroupèrent devant une maison qui allait piquer notre curiosité. Un fada d’illumination de Noël avait fabriqué des machines de toutes sortes pour se faire plaisir et faire partager sa joie aux autres habitant.
Fier de sa réussite et de ses créations, le brave homme sorti de son antre pour venir tailler causette avec nous. Il avait omis que nous n’étions pas la pour faire du tourisme et encore moins pour nous arrêter ¾ d’heure à discuter. C’est un peu à la hâte que nous allions le quitter pour regrimper sur le plateau de Hez par la route en passant à proximité du terrain de basquet local. Nico pris les devants, Nono contourna le sentier par la route pour faire moins d’effort afin de s’économiser un petit peu. Qu’il est malin !

Après avoir traversé la partie de plaine, nous allions de nouveau entrer dans le bois. Là, inévitablement, se dressai devant nous un chemin englué de boue. C’est une vraie cata pour le matos. Notre conduite de cintre devait donc s’en tenir au centimètre près pour placer notre roue avant sur la trajectoire la plus adaptée ou du moins la moins compliquée pour ne pas se retrouver à mettre pied à terre dans cette purée marâtre.

Toujours dans l’esprit de traverser le bois dans sa longueur, nous empruntions les sentiers qui sont quasi parallèles à la route du Lieutenant, côté droit, pour rallier le haut de Fay. De la boue nous en avons eu jusqu’au point d’arrêt pour casser une petite graine.

Chris au passage allait accuser un peu le coup. Son « arrêt maladie » l’a quelque peu affaibli et la pratique de ses dernières semaines fut réduite à néant. Dur-dur de reprendre dans de telles conditions.

Le ravitaillement allait nous le remettre sur pied.

C’est à la croisée des chemins remontant de Fay, au coin du mur que nous nous sommes installés, un peu protégés du vent. Notre repas allait être perturbé par des Ac-Clermontois qui remontaient l’une de ses trachées. Ce n’est pas moins qu’une dizaine de gars qui allaient nous passer devant. Au passage nous lancions un « mais où il est Clément ? ». Comme le hasard fait bien les choses, une voie nous dit « Clément neveu ? » Et oui, quelqu’un le connaissait et pour cause, il avait déjà roulé avec nous ou plutôt avec Chris et Nono. Je crois que c’est quelqu’un de ta faille ???
La discussion était donc engagée entre nos deux groupes. Mais ne dit-on pas « jamais deux sans trois ». Le dicton fut respecté. Un autre groupe de vététistes encore plus nombreux remontait de l’autre chemin, longeant le mur. Ouf, qu’est-ce qu’il y a comme peuple. Impressionnant ! Cela n’en finissait pas. Une gente dame exerçait parmi eux. Respect !

Cette collation achevée, et nos compagnons repartis, nous devions donc descendre par les jardins de Fay. Et là, Chris eu l’idée géniale de reprendre un chemin, que nous n’avions peut-être jamais pris d’ailleurs ??? Un bon petit single, en devers et racines et en tronçons montants. Du bonheur !

J’entendais derrière moi Cédric et Nono qui luttaient sur ces parties « difficiles » et glissantes. Ils se marraient.

Nous étions maintenant dans Clermont. Nous devions rejoindre le centre ville pour montrer à Cédric le côté historique de la ville et ses pavés, histoire de rivaliser un petit peu avec ceux de Senlis. Mais, j’avoue, c’est relativement difficile.

Pour remonter jusqu’en ville nous prenions une série de chemins serpentants, jalonnés de poteaux en bois. C’est assez exclusif et original. C’est également fun à franchir…lol.

Nous sommes donc remontés par le secteur pavé du centre-ville jusque l’église St Sanson. De là nous devions descendre 3 belles marches (trop facile) pour griller un sens unique (il faut faire plaisir à Cédric). Il faut faire attention car la voie est fréquentée. Nono pensant que j’étais derrière lui, interpella un pauvre gars en vélo de ville, guidon relevé à la « one again ». Le type n’a rien du comprendre… enfin, ce fut une autre occaz pour rigoler. Tous les dimanche ont leur lot de poilades.

Le Châtellier nous tendait les bras. Nous n’allions pas le décevoir en allant y faire notre petit tour. Nono nous pris la tête (mais pour rire) en faisant du sur place dans une entrée de chemin pour nous obliger à mettre pied à terre. Petit Canaillou, va ! Enfin, ça c’était avant qu’il ne mette lui ses parties charnues sur les pavés du châtellier…tout en glissade. (Et pourquoi je n’avais pas la caméra…non, non et non !)


Nous sommes passés par le vignoble pour redescendre vers Giencourt et longer la voie ferrée par le single. Pas mal avec ses petits coups de cul à franchir. Ce plaisir passé, un autre nous attendait avec le franchissement de la passerelle SNCF se terminant par une autre série de marches à dévaler. (Vraiment trop facile).
Enfin, nous pénétrions sur les terres Fitz-jamoises. Ce rayon de soleil fut voilé par la crevaison de Christophe, dans notre fief ! Non loin de la place du village, nous allions nous y arrêter pour effectuer la réparation sur le boulodrome. Ben, quand j’étais plus jeune, je n’y réparais pas mon vélo ici…que de souvenirs…

Chris en profitait pour prendre la tête du classement de la pointe d’or avec trois crevaisons au compteur. Bravo !

Le temps passant, nous ne pouvions pas montrer cette fois-ci la partie « vignobles » fitz-jamoise et le voisinage d’enfance à Vivien. Il faut dire que Céd et Fab étaient attendus le midi pour reprendre de plus belle le chemin de la table. Il ne fallait donc pas traîner. Nous prenions donc une longue portion de route pour rejoindre La Neuville en passant par le Haras de Fitz-James et par Ronquerolles. Nous rejoignions le passage aux animaux sur notre parcours d’Etouy. Finalement, c’est vrai, on ne peut pas s’en passer.

Dans ce secteur, Nono connu une cruelle défaillance. Le mal de dos qui l’avait fait souffrir durant la semaine, s’était réveillé. Malheureusement, quand on a mal au dos en vélo, c’est tout le physique qui fout le camp. Il devait concéder une bonne centaine de mètres de retard. Finalement, sur cette sortie, nous sommes trois à avoir connus des ennuis dorsaux ; Chris, Nono et moi.
Alors que Nono trépassait, moi je regagnais des ailes. Mais ce fut tard, bien trop tard. C’est vraiment trop frustrant !

Je voulais encore grimper à travers chemins. Mais la troupe ne voulait pas suivre. On fit au plus court. J’eu quand même l’occasion de mettre la plaque sur la grande ligne droite allant jusqu’au carrefour du ruisseau de la garde à hauteur de Boulincourt. Que c’est bon de faire parler la poudre. A peine arrivé, Nico et Fab enchaînaient en prenant direction de la remontée vers le carrefour du magasin où étaient garés nos véhicules. Ce fut une montée de oufs ! Nous allions progressivement prendre un rythme de croisière, soutenu. Le premier à lâcher prise fut Fab. La bataille fit rage. Les pourcentages devenant plus sévères et la difficulté s’allongeant, nous devions redoubler d’efforts pour garder le rythme. Je voyais Nico qui moulinait à donf et qui pédalait encore plus vite pour relancer. Grosse différence de style par rapport à moi qui sur le moyen tirait davantage en force. Et bien à la fin, personne n’avait abdiqué. Nous passions le sommet côte à côte. Nous n’avions plus que la large ligne droite en cailloux pour en terminer. Ce fut comme sur une rampe de lancement. Nous y sommes allés créchendo pour terminer en fanfare à vive allure. Nono arriva après un long moment. C’est courageusement qu’il reparti chez lui en spad.
Belle matinée malgré les conditions difficiles. La distance parcourue est de 40 kms. Pas si mal ! Mais encore mieux, le dénivelé positif que j’avais annoncé comme « pas primordial » aujourd’hui, allait tout de même être de 604 mètres. Beaucoup de chemin en creux, bosses par succession ont permis de réaliser cette performance.

Voici donc un premier résumé en retard de rattraper. Il en reste encore un, sans compter celui de ce dernier dimanche. Alors advienne que pourra ! Je m’y efforcerais.

(petit plus, Céd dans toute sa splendeur. J'ai filtré un peu la photo car je sais que Cédric est très pudique..lol)

mardi 6 janvier 2009

Attention ........ j'arrive !!!!!!

Enfin j'espère, en ce début d'année je me suis permis de me renseigner sur l'arrivée de mon spad. Au dire du fournisseur le spad sortira de production semaine 6 donc arrivé à la maison semaine 7 dans le pire des cas.
En cette période de crise doit on les croire ??????
Espérons, félicitation au courageux pour dimanche ......... -9°C, je connais certaine partie de votre anatomie qui devait bien être au chaud dans leur coquille.

Allez roulez bien et à bientot.

lundi 5 janvier 2009

2009 bis


C'est à notre tour.

dimanche 4 janvier 2009

fou du guidon

voyez ce que j'ai trouve completement congele sur le pas de ma porte ce matin !!!


on irai meme a se demander si nono ne l'a pas fait expres pour se rechauffer ;-)
petite precision il fait encore -9°

vendredi 2 janvier 2009

2009


et pour ce dimanche ?

salut a ts

y a t il des courageux pour dimanche ?

la meteo annonce du soleil mais avec une temperature assez basse -6°

il va falloir du monde pour me motiver ;-))

a+

Bonne et Heureuse année 2009

A tous les vététeux et à vos familles, Isabelle et moi nous vous souhaitons une bonne et heureuse année 2009. En espérant que votre santé soit bonne et que vos projets puissent se réaliser avec succès.

Pour l'équipe des vététeux cette année est marquée par une nouvelle participation au Roc, cette sortie puisse resté un moment fort qui permet au groupe d'être ensemble dans la bonne humeur et le plaisir de rouler. (ce qui est plutôt rare par rapport au planning et obligation de chacun.)
J'espére être parmi vous courant Janvier afin de préparer au mieux ma 2ème participation au ROC.
Car le ROC s'est une ambiance, un salon, des randos, une course ou l'essentiel est de participer et de "TERMINER".

A bientot à tous et encore bonne année.