lundi 29 septembre 2008

un dimanche coloré

Après avoir fait la fête toute la journée du samedi, autant vous dire que le simple fait de se lever un dimanche matin revêt d’un effort incommensurable. Pensez ensuite que ce lever servira à vous mettre en jambes pour aller faire du sport. En réalité, la mise en jambe ne se fait pas !

C’est comme ça qu’il a fallu enfourcher sa monture en cette matinée très fraîche. Pour mieux se réveiller, cuissard court et haut court formaient la panoplie. Un parfait habit pour retrouver de bonnes sensations rapidement.
Que né ni !
Pas de réveil tonitruant, pas de légèreté dans les mouvements, pas non plus et surtout d’esprit clair, vif, prêt à anticiper le moindre virage ou le moindre obstacle. Le pilote était dans du formole. Il a fallu attendre une bonne quinzaine de bornes avant de retrouver de l’élasticité, de la tonicité. Avant cela, c’est comme si vous aviez une roue droite et une tête en biais. On a l’impression d’avancer comme un crabe. Une fois cette hallucination passée, on retrouve le sens de la trajectoire, la dextérité de choisir un tracer plutôt qu’un autre, de devoir poser sa roue à tel endroit et pas ailleurs.

Heureusement, si je puis dire, mes deux compagnons de route qui sont Chris et Cédric, étaient dans le même état que moi. Une bande de soiffards en cure de réhabilitation. Nos premiers tour de roues prirent toute la largeur de la route et sur enrobé s’il vous plait. Je tiens tout de même à vous rassurer. Nous roulions droit !

Enfin, c’est cela l’esprit sportif ; Etre présent quelques soit les circonstances. On s’endort avec des couleurs. On se réveille blême. Puis on fait du sport pour retrouver de la couleur. C’est l’effet Bonnux ! Enfin non je crois que c’est Mir Couleur. Oui, c’est cela ! Avoir une bonne mire et retrouver de la couleur.

Allez, parlons un peu du parcours. Heu oui, quoi ? Le parcours…. Heu, ben ..on est passé par où ? J’n’ai pas bien vu et puis…comment dire… ha oui, mon esprit était un peu embrouillé ! Alors ?
Petite séance d’hypnose… Ca y est je crois que j’ai des souvenirs. Je me rappelle que nous n’avons pas vu grand monde avant un bon moment. Les sentiers étaient déserts. Il faut dire que nous avions la mouyasarde qui non loin de là a du mobiliser du monde.
Les randonnées semblent avoir du succès. Enfin, si on tient compte de la semaine passée et de la Bresloise, on peut s’en convaincre.
Nous n’avons pas vu beaucoup de chasseurs. Juste aux abords du mont César et dans les marais de Bresles mais pas énormément. A croire que les hommes en vert sont comme le gibier, en voix de disparition. Clément pourra nous aiguiller sur la question.

Donc si vous avez bien suivi, j’ai parlé du mont César. Nous l’avons donc grimpé. Admirez Cédric en plein effort.

Je n’ai encore rien dit sur le sujet mais pour lui aussi c’était un retour. Décidément, ces dernières semaines, nous enregistrons vraiment un regain de participation sur nos circuits. Il faut raffermir les cuissots et s’oxygéner les bronches pour retrouver de la vitalité. C’est vrai que faire du sport, c’est bon pour la santé.

Ensuite, j’ai parlé de Bresles. C’est parce que c’est l’un des seuls endroits où nous pouvons trouver des tables et des bancs pour pouvoir nous poser pour casser une petite croûte. Barre de céréales, j’ai vu que Cédric avait des Grany ! Moi j’avais encore des Ballistos. Et toi Chris ? Qu’est ce que tu as pris ? lol. Je n’ai pas vu !



C’est durant cet arrêt que nous avons vu le plus de vtt. Un bon groupe d’une dizaine d’éléments et quelques jeunes en apprentissage de cette discipline divine sont passés près de nous. Nous en avons profité pour faire une petite photo.
De mémoire, nous étions à une vingtaine de bornes quand nous nous sommes arrêtés.

Nous sommes repartis en direction de la forêt, et nous en avons fait son contour pour rejoindre le bois d’Etouy. Un parcours incontournable pour faire des kilomètres sans trop rencontrer de relief. Nous devions penser avant tout à ménager les gambettes de Cédric. Ces mêmes gambettes qui maintenant accusaient le coups des que le parcours prenait du degré d’inclinaison. Mais elles ont tenu encore suffisamment pour enregistrer un nombre de kilomètres honorables.
Avant de parcourir le bois d’Etouy, nous sommes allez en direction de l’étang de La Neuville. Nous sommes montés pour le fun sur la butte où domine la statue St Louis, puis nous avons pris le single qui repart dans le bois pour nous amener jusqu’à l’étang. Pour ceux qui connaissent, ce tronçon est assez sinueux, avec quelques enchaînements de creux puis de coups de cul. C’est dans l’un de ces creux que Cédric a eu une hésitation, juste un court instant mais suffisant pour ne pas voir que nous avions tourné à droite. Nous nous sommes alors perdus. Et heureusement car le secteur où nous sommes allés avec Chris montait correctement.
Après un petit coups de Bigo.. nous nous sommes rejoints sur la stèle, enfin je veux dire sur la passerelle. Ce fameux et célèbre petit pont de bois si cher à Nono. Nous avons donc eu une pensée pour l’absent du jour. Un petit clicher pour le souvenir…

Dans la première partie du bois d’Etouy avant d’arriver sur le pont de la RN31, Chris eu un coup de folie. Un taon devait l’avoir piqué aux fesses car il se mit à rouler comme un sauvage enquillant les pif-paf à vive allure, absorbant les aspérité du terrain et jouant de la technique requise pour contrôler les passages enracinés. Ce bruit sourd de pétard assomma notre Cédric. Un peu comme les démarrage grand plateaux de la semaine passée où Clément avait senti ses cuisses roussir sans toutefois pouvoir réagir. Je tiens à vous rassurer tout de suite, ces pétarades ne sont qu’éphémères car nous avons avant tout l’esprit vététeux. Quand nous savons que l’un des nôtres n’a pas pratiqué pendant un certain temps, on compatit et nous l’accompagnons jusqu’au bout. C’est ce qui c’est passé la semaine passée avec Clément. C’est ce qu’il s’est passé il y a quatre semaines avec Moi.
La limite des trente bornes s’est une nouvelle fois vérifiée. C’est le début de la fin lorsque l’on revient. Les cuisses sont plus lourdes et lorsqu’il y a des efforts plus conséquents, cela ne suit plus. Ensuite, cela va très vite. En quatre ou cinq kilomètres on peu changé de statut et être totalement oxy.
Contrairement au chemin du retour pour Clément, celui de Cédric devait inévitablement se terminer par une bosse. Et là…Ca fait Mal !
C’est avec nos encouragements que nous l’avons accompagné. Victime d’une cruelle défaillance, il a trouvé la volonté pour remonter sur son spad et parcourir un bout de chemin en selle.
Chacun a donc connu son moment de galère. Le plus dur est passé. Maintenant, il ne reste qu’à confirmer. C’est ce que va faire Cédric en vacances en Sologne avec Fabrice. Profitez en bien ! Pour toi Clément, je ne sais pas si tu vas pouvoir mettre à profit cette sortie. J’espère que oui. Je sais que tes prochains week-ends seront bien chargés.

Mais il reste un retour que l’on attend de pied ferme. Celui que l’on ne cite plus depuis un bon moment et pour cause… une spad en état de somnolence. Celui de notre brave Vivien. Je crois savoir de source sûr que Monsieur el monster chercherait un nouveau spad durant ce mois d’octobre. Un retour peut semble-t-il être programmé pour début novembre. (Saint Thomas, priez pour nous !) Une période certes délicate au niveau des températures mais moins alimentée en randonnées organisées. Le choix du parcours peut être plus cool et le kilométrage aussi. Et puis, de toute façon, il faut être en course pour préparer un retour printanier dans les meilleures conditions. Alors, cqfd…

Au terme de cette sortie nous avons au total 37,4 kms parcourus à une moyenne de 17,42.
The world dog record a été battu. Le nombre s’élève maintenant à 12 ¾.

La semaine prochaine se profile à l’horizon une sortie à Verneuil. A confirmer mais ce serait tout de même sympa de montrer nos couleurs.

1 er Raid multisport

Tout d'abord bravo à clément pour avoir retrouvé la troupe des Vététeux et à lolo pour ses résumés toujours aussi chargé en rebondissement !.

Je vais essayer de vous expliquez le week-end de ouf que j'ai passé.
Tous d'abord le rendez était fixé à ailly sur noye à 11h30 le samedi matin.
Mon beau frère Wilfried, un des ses collègues Nicolas et moi Nicolas bis étions sur le point de retirer nos dossards
pour les épreuves suivantes :
Samedi :
- 40 Km de VTT
- 7 Km de courses à pieds
- 1 km de canoë
- tir à la carabine.
Ps : toutes les épreuves s’enchainer
Dimanche :
-Epreuve de force
- 13 Km de run & bike

Départ du VTT à 13h00 pour une petite boucle ( 5 km ) dans la ville.
Une fois le tour de chauffe effectué le départ fut donné dans un chemin
de terre assez étroit ou une centaine de vététistes s’élancèrent.
Wilfried qui n’avait pas fait de VTT depuis plusieurs années me coller
au train, j’avais fixé la moyenne à 20Km/h .
Mais dés les premières difficultés il a fallu réduire l’allure car le règlement était très clair il fallait rester à 3 tous le long du parcours.
Nous commencions à enchainer les côtes sur un terrain que je connaissais en effet c’est la que j’avais fais ma première compet de VTT .
Mes 2 compagnons d’aventure suivait bien le rythme mais mon objectif des 20Km/h à plutôt passé à 18km/h au final nous avons fait 38,5 Km sans compter les 5 premiers pour 739m de dénivelés.
Et c’est la que le plus dur arriva pour moi les 7 km de trail.
Et la comme vous pouvez le voir sur le graphique 2km de côtes une petite descente et encore 1km de côte.
Et c’est au milieu d’une côte qu’un signaleur nous à donner le classement , à ce moment la nous étions 8éme sur 45.
Bien-sur ca nous a booster , il a fallu tenir l’allure.
J’étais mort !!!!!!!!!!!! Heureusement ma petite femme ma soutenue sur le dernier km.
Aussi sec nous avons enchainés le canoë, bien-sur la seule équipe qui c’est retouvé sous le canoë au depart c’était nous.
Faut avouer, après 40 bornes de VTT et 7 km de courses sous le soleil , la petite baignade éta
it bien venu.
Nous sommes remontés illoco dans le canoë, de la wilfried à pris les choses en mains et nous avons dépassé l’équipe devant nous .
Une fois acoster il a fallu remonter le canoë, ranger tous le matos et repartir sur 200m en courant jusqu'à la
ligne d’arrivée.


Résultat à l’issue de ces épreuves nous étions 7éme.
Nous sommes passés au tir à la carabine, ou il fallait marquer le maximum de point pour pouvoir gagner encore du temps sur le chrono.
Résultat will 23 points Nico 10 et Moi 26 points ( le meilleur cartons de toutes les équipes ).
A l’issue des résultats nous sommes passés en 6éme position.
Après 4h de sport la douche fut la bienvenue.
La pasta party et la soirée rock suivir.
Nous n’avons pas fait de vieux os à 20h45 tous le monde dormés dans la tente.
Dimanche matin le réveil fut glaciale le thermomètre dépassé à peine le zéro .
L’épreuve de force débuta à 9h00 .
Chaque équipes devaient rouler un ballot de paille le plus rapidement possible sur 100m.
Le chrono effectué était rajouter au temps de la veille.
Nous avons mis 51secondes et les meilleurs 43s.
Les équipes pour le Run & Bike, s’élancèrent dans l’ordre inverse de l’arrivé de la veille pour une boucle de 9km.
J’avais une lourde tâche sur mes épaules, a savoir maintenir l’écart avec l’équipe qui nous suivait.
La tactique était simple , je devais prendre le vélo le plus souvent possible.
Le premier kilomètre fut avaler à une allure folle à une moyenne de 16km/h.
Jamais je n’aller pourvoir courir à cette vitesse !!!!!!!!!
J’effectuer le premier relais au bout de 2km avec nico.
La je regarder ma montre qui m’indiquer 14km/h j’étais au maximun.
Les relais se poursuivir jusqu’au 8éme kilomètre.
La Wilfried et Nico devaient courir le dernier kilomètre.
Et d’un seule coup sur le bas côté un gars nous dit : « C’est bon les gars il reste 5 bornes ».
Putain 5 bornes au lieu de 1. L’horreur il a fallu puiser dans nos dernières réserves pour tenir jusqu’au bout.
Résultat : 13km200 en 54mm soit 14,4 Km/h de moyenne
Nous avons finis en 5éme position.
Ce fut un super Week-end et un beau raid.

lundi 22 septembre 2008

De la Bresloise et du retour.


Enfin, c’est le retour des vététeux sur des sorties organisées dans notre département.

Le rendez-vous était donné à 8 H 45 à Bresles où le Guidon Breslois organisait une randonnée de 45 kms. C’est le plus grand nombre de kilomètres qui nous était proposé sinon il y avait 25 kms.

Cet évènement en cachait un autre plus exceptionnel encore. Dans la série des retours, nous enregistrons celui de Clément. El moulinator avait laissé un message de confirmation, de dernière minute, sur le blog comme quoi il nous confirmait sa présence sur la sortie.

Le lendemain, ce fut chose faite car nous trouvions belle et bien notre Clément national, un peu perdu certes, car en manque de repaires, mais là, physiquement présent, en chair et en os.

Il nous cherchait donc sur la place du village qui servait de point de ralliement pour tous les vététistes présents ce dimanche matin. Et des vététistes, il y en avait. Cette randonnée a rencontré un franc succès. Avant de partir, j’ai demandé combien nous étions. On m’a alors répondu qu’il y avait 475 engagés. Cela fait du monde.

On se serait cru au Roc. Le départ était donné à 9 H00, groupé. Le peloton s’en allait en enfilade. Comme au Roc, espace large, poussières, quad qui suivait, et enfin un bouchon au contournement d’une barrière avant de pénétrer dans la forêt de La Neuville.

Beaucoup de régions étaient représentée. Il y avait même des gars de Montdidier. Nous avons salué nos amis Cyclopes au passage. Ils se sont mis tout de suite en tête. Nous en avons rattrapé trois.

Nono et moi nous sommes chargés d’escorter Clément. Nous sommes partis sur un bon rythme. Clément a de beaux restes. Il tient l’allure. Allait-il tenir sur l’ensemble de ces 45 kms ? Il parait bien en jambes et surtout s’alimente beaucoup. C’est une bonne méthode pour prévenir les défaillances. De plus la veille, le plat de pâtes fut avalé, la mise au pieu ne fut pas trop tardive.

C’est tout le contraire pour moi ! Pas de pâtes, pas de coucher tôt. Comme je le disais à Nono, hier j’ai fais un tour de France à table. Je suis allé faire un tour à Marseille avec un ch’tit Ricard. Ensuite, la remontée s’est faite vers l’Alsace avec un petit blanc dont je vous laisserais trouvé le nom. La première lettre est un « G ». La question est difficile mais il y a des spécialistes parmi nos lecteurs. Qui a dit des pochtrons ? Non, Non, que des personnes sensées, prenant soin de leur bien être.

Ce passage à l’Est fut suivi par un de l’autre côté de l’hexagone. Bienvenue chez les bordelais.

Un bon petit rouge à bonne température, vieux d’une bonne dizaine d’années et voilà qui redonne du baume au cœur. Je précise, le petit rouge…ce n’est pas un vieux poisson ! C’est juste un liquide mis dans un bocal adapté pour la circonstance. Hou, là, j’suis encore fatigué. vl’à que j’divague.

Finissons en avec le Bordeaux, et allons faire un tour en bourgogne. Un excellent Chassagne Montrachet, franchement, je vous conseille ce vin. Un régal !

Tout cela pour dire que mon hygiène de vie fut soigné mais quand même mis à rude épreuve. Hic !

C’est au petit matin que je me suis couché, à 3 H 45. Le lever : 7 H 15. Ca fait court ! Pour me réveiller, j’ai enfilé ma tenue estivale, manches courtes, cuissard court. Il m’a fallu un certain temps sur le spad avant de trouver de bonnes sensations. Les premiers tours de roues se sont fait au juger. La température était fraîche, environ 5 °c. Ca aide à se réveiller.

Sur mes conseils Nono parti également avec une tenue « légère ». Une heure plus tard, et quelques degrés supplémentaires, nous étions super à l’aise alors que d’autres partaient en surchauffe.

Le ravitaillement arriva vers 22 kilomètres avec carrés de chocolat, pain d’épices, coca, jus d’orange. Miam !

































La première partie fut assez pentue ou du moins plus que la seconde. Vous pourrez vous faire votre propre avis avec le graphique. Le dénivelé positif de fin de parcours est de 830 mètres.

L’ambiance de façon générale était super cool. Nous plaisantions avec des compères vététistes. Nous avons bien chambré les Gaulois du pays de Thelle. C’est certainement un nouveau club car je n’en avais jamais vu sur nos sentiers. Avec leur adresse internet on en saura un peu plus sur eux.


http://www.lesgauloisduthelle.com

Aux alentours de l’étang de Boulincourt, des gars nous ont dépassés comme des balles. Clément, fin analyste nous dit : « on va bientôt les revoir ». Et oui, effectivement, c’est dans une côte que nous les dépassions un par un. Nono et moi nous avons foutu le barrouf dans l’ascension. Tantôt hurlant comme des chacals, tantôt n’arrêtant pas de parler, nous avons certainement du écoeurer nos joyeux vététistes d’un jour. On s’est bien marré !

Clément, s’était fixé pour objectif de dépasser un maillot jaune. Au bout de l’effort, dans les derniers mètres de la montée, il sorti vainqueur. Bravo Clément !

Il a retrouvé ses marques de temps à autres. Il fut plus hardi dans certaines descentes que d’autres.

La fin du parcours fut plus calme. Nous enchaînions beaucoup de portions plates et en enrobé.

Heureusement car les gambettes de Clément depuis le trentième kilomètre avaient tiré le signal d’alarme. Toujours en escorte, nous regagnons la place de Bresles en file indienne, emmenant dans nos roues notre dernier arrivant.

La sortie n’a pas tenue ses 45 kms. Au compteur, nous en avions seulement 39. L’explication vient du fait que les organisateur on décidé de supprimer une partie car un gars, mal embouché, avait râlé en prétextant qu’un chemin privé était traversé alors qu’il n’en était rien.

La moyenne pas trop mauvaise avec 18,66.


Nous passâmes encore un bon ¾ d’heure sur place car une tombola devait avoir lieu. Super tombola, amusante, avec un super animateur de ch’Picardie. Résultat : nous n’avons rien gagné. Il y avait pourtant deux vtt ! Si Chris était présent ce jour là, il serait certainement reparti avec. Le veinard !!!

6 chiens aujourd’hui, pas mal !

Le classement de la pointe d’or n’a pas évolué.

La semaine prochaine, il y a la randonnée de Mouy avec 55 ou 70 kms. Ca vous tente ? Nono ne sera pas là. Il va nous manquer.


Un lien pour le parcours : http://www.steekr.com/n/15-2/folder/1915852/

vendredi 19 septembre 2008

Sortie de dimanche prochain

Pour la sortie de dimanche prochain le rendez-vous est fixé à Bresles car une sortie organisée aura lieu.

Le programme sera copieux avec 45 kms annoncés.

Pour ceux à qui cela ferait peur, ne vous inquiétez pas, on connais suffisamment cette forêt pour couper s'il y a des difficultés. Mais je ne doute pas de vos forces.

Chris notre leader à tous dans l'Oise ne sera pas là. On peut dors et déjà compter sur Nono et moi même. J'ai une sortie sur Paris samedi soir mais je serai là. Clément a dit qu'il viendrait, à confirmer.
Y-a-t-il d'autres volontaires ? Cédric, pourquoi pas Nico.

Le départ est donné à 9 H 00 en une seule vague. Notre heure d'arrivée sera donc 8 H 45.

Alors, tous à vos bulletins réponse.

Il n'y a pas d'excuse car la météo sera au beau fixe.

mercredi 17 septembre 2008

pommard suite

j'ai pris bonne note des commandes de christophe, cédric, lolo et fabrice.
je dois donner les € pour début octobre alors merci de ma faire passer votre participation.

A dimanche !!!!

mardi 16 septembre 2008

Un, deux, trois,...

Les trois mousquetaires

Et oui une fois n’est pas coutume. Nous devions être le club des cinq (tiens, il nous manque un chien ?) et bien finalement nous sommes restés à trois. Cédric nous avait lâché la veille ou l’avant-veille. Clément jusqu’au bout du suspens n’a pas pu honorer son retour. Le matin même, il avoua son impuissance à faire tourner ses roues sur les sentiers picards. Mais ce n’est que partie remise !!! Le grand jour viendra ! C’est annoncé, Nostradamus devait même l’avoir annoncé.

En attendant, pour ma part c’était ma deuxième sortie. La première fut laborieuse. Qu’allait-il advenir de ma personne ? Une maigre paillasse agonisante, une carcasse mise à la disposition des charognards, un âne cagneux, ou bien serait-ce l’heure de la résurrection ?

Non, ni l’un, ni l’autre. Voilà donc comment s’est déroulée cette sortie.

Chris et Nono étaient donc au point de rendez-vous. Ils gardaient la boutique… oui, oui la boutique au carrefour du magasin. Ha, ha, que c’est drôle, franchement je me lâche. Je crois que je suis à fond. Attention à ne pas me fatiguer !

Contrairement à la semaine passée, je crois que j’étais à l’heure. 9 H 00 et non pas 8 h 45 !

Je sentais les deux renards assez affamés, avec des dents bien acérées, prêts à m’en faire baver. Alors que non, je me suis trompé, Chris proposa de varier les plaisirs en changeant de parcours. Le but du jeu était de rouler plus ou moins tranquillement pour faire découvrir à Nono d’autres horizons. Nous nous élançâmes vers le chemin derrière le parking pour ensuite traverser la route allant vers Thury, puis pour longer celle retournant vers Clermont – Angy. Ce long chemin bordant le macadam, habituel mais tellement fun, souvent propice jadis à de fulgurantes attaques.

A sa sortie, nous plongions vers Fay pour remonter aussi sec (mais en sens inverse de l’accoutumé). La manoeuvre effectuée nous n’avions plus qu’à nous laisser descendre vers Clermont.

C’est là que Chris et moi faisions appel à nos lointains souvenirs. Imaginez, quinze à vingt années en arrière, quand la suspension n’existait pas encore. Pas de freins à disques non plus ! Ca nous met une bonne claque, hein ? A cette époque, la Clermontoise existait bel et bien. Lors de sa première édition, nous avions empruntés des chemins, ruelles que nous parcourions déjà sur nos Leuleu et compagnie. Autant dire que de l’eau a coulé sous les ponts. Le paysage a changé avec de nouvelles constructions. Mais les petits sentiers sont toujours présents. C’est par leur intermédiaire que nous nous rapprochions du cœur du clermontois. Le centre ville dans toute sa splendeur ! Au programme des réjouissances, passage dans une rue piétonne, parcours sur les pavés historiques, cela nous rappel Senlis. Pour aller jusqu’au bout de nos pensées, nous avons également pris un sens interdit. Tout cela pour aboutir jusqu’au point culminant de la citadelle…. Le Châtellier. Clermont ou le mont clair que l’on voit de loin.

Les premiers coups de pédales se donnèrent aux abords du jeu de paume. Sans mauvais jeu de mots, il aurait été facile de paumer Nono. Il était en terre inconnue. Mais pour Chris et moi, c’était notre jardin (d’enfants). Un petit tour sur la piste de danse de la kermesse, et voilà que nous partîmes pour descendre dans le vignoble pour gagner les terres de Giencourt.

Nous nous sommes arrêtés un moment car nous avions un doute sur l’existence actuelle d’un chemin. Là une âme charitable nous renseigna. Un quinquagénaire pratiquant le vtt (au soleil à cause des rhumatismes) nous conforta dans notre décision. Chemin retrouvé, nous en découvrîmes un autre longeant la voie ferrée en surplomb. Notre but était de faire passer Nono sur la passerelle, LA passerelle du Pont de Pierre ! De qui ? DE Pierre ! Nono passa sans tomber.

Vous l’avez peut-être deviné ? Nous avancions à pas de géant, avec des roues à aubes, vers le plus beau village de France. Hein Chris c’est vrai ? Clément ? Le sublimissime et gigantissime FITZ-JAMES. Admiration, respect et grande prière car n’entre pas en pays de nacots qui veut.

La visite fut pittoresque. Nono en pris plein les yeux. Le moulin, la boulangerie du centre, que de lieux familiers ! Gnarf, même pas un sac de farine à vendre !

Les passages auprès de la maison d’enfance de Clément, de Vivien, furent des moments forts ! Mais encore plus fort, la traversée des vignobles ! Ouais, encore des vignobles ! Dingue ! Et comment qu’on aurait pu éviter de boire du vin ? Si on n’aime ça, ché pas d’not’faute. Ché de l’faute de chés anciens ! Qui n’avaient qu’à pas planter d’eul vigne ! Tout le monde connaît l’histoire d’Obélix. Enfin, bref, tout ceci n’est qu’anecdotique.

Nous avons croisé et partagé les parcours de la randonnée organisée (inscrite au calendrier). On a aussi vu les bons hommes et leurs montures. L’un d’eux avait un équipement véloroc du sud de la France … Cavaillon…(ha le Roc….). Seulement, 32 kms maxi au programme ce n’est guère alléchant pour cette rando.

Tiens en parlant de kilométrage et de tentations, c’est à 24 bornes que nous avons fait la pause. Barres de céréales, Balistos au menu. Nous nous sommes arrêtés en plein territoire de chasse, sur un chemin privé, appartenant à Monsieur Corbière qui était président de la chasse pour le département je crois. Heureusement, la rentrée des chasseurs n’a pas encore eu lieu. Sinon, c’est en gibier de potence que nous aurions terminés. Il faut dire que nous n’avons pas choisi notre lieu d’arrêt. C’est Nono qui l’a choisi. Nono rejoint Chris dans le classement de la pointe en or. La compétition s’annonce rude. En voici quelques preuves :







Après nous être bien reposés, nous avons regagnés la forêt de Hez par Etouy. Nous y avons croisé une bonne troupe de vététistes. Je crois qu’il y avait des mouysards. Ce retour sur les traces habituelles allait nous permettre de trouver un peu de relief qui jusqu’à présent n’avait pas trop été au rendez-vous. Une côte, puis deux, puis trois furent gravies. Le retour au carrefour du magasin se fit sur le grand braquet. Nono s’en tira vainqueur d’une petite longueur.


Au global, 36 kms au compteur. Chris avec le retour en aura 44. 36 kilomètres c’est pas mal, mais la semaine dernière j’en avais fait 42. Puis cette fois-ci, j’avais encore de bonnes jambes alors… Sur insistance de Nono, je décidais de l’accompagner sur un bout de chemin. Mais ce bout de chemin dura, dura et dura encore. Si bien que je fini par arriver chez lui. Un tel effort valait bien du réconfort. Je le sollicitais pour un petit verre de jus d’orange. En guise de jus d’orange ce fut un jus aux dix vitamines qui fut offert. Je découvrais à quoi tourne Nono.

Il ne peut rien lui arriver. L’homme est médicalement bien préparé. Mais je ne fus pas au bout de mes surprises. Sur la table, se présentait une petite assiette avec à l’intérieur,… le GRAL ! La friandise des Dieux ! La source vitaminique ultime qui vous met en appétence. Le truc qui vous fait grimper les plus hauts sommets vertigineux avec une aisance déconcertante. Ce truc que nous autres vététeux nous n’avons pas. Je vous le donne en mille. Après les bananes séchées de Nico, voici venir le gingembre confit de Nono ! Une arme redoutable ! C’est l’apothéose ! J’en tremble encore.

Ainsi tout le monde sait maintenant !

Une interrogation ? A quoi tournent les autres ? Clément on connaît déjà sa faiblesse pour le pommard ! Mais quoi d’autre ?

Et Vivien ?

C’est donc ravigoté que je suis reparti vers mon véhicule. Au passage, je me suis mangé deux côtes supplémentaires. Au total, 49 kms ont été parcourus, tout comme Nono. J’avoue que pour les trois derniers kilomètres, les cuissots ont commencé à chauffer en ayant cette raideur toxique qui vous empêche de mettre davantage de rythme. Mais, il n’y a rien de comparable par rapport à ma rentrée de la semaine passée. L’acclimatation s’est donc faite plus vite que prévue. Et puis le kilométrage devient correct. Cela me permettra de faire face la semaine prochaine au 45 kilomètres de la sortie organisée de Bresles. (Le village ?!?).

La moyenne est de 17,70. Un peu faiblard mais il y a eux cinq côtes sur la fin de parcours, des moments d’hésitation pour retrouver le bon chemin, et de la découverte. On n’a pas voulu non plus mettre les watts. Le vite et le moins vite se sont alternés.

Le premier record mondial de rencontre de chiens de dimanche dernier est battu. Le nombre se porte désormais à 10 ½. Allons nous faire mieux la semaine prochaine ? C’est ce que nous irons découvrir.

jeudi 11 septembre 2008

dimanche

avis aux veteteux courageux, si si je sais que ca existe ;-)

si quelqu'un avait encore le doute, la sortie des veteteux aura lieux à la neuville pour faciliter le retour de certain ?

oui ca serait tres mal venu de leur imposer une sortie à gouvieux !!!

a dimanche

ps: je rapelle l'heuredu rdv : 9h sauf lolo 8h45 ;-)

lundi 8 septembre 2008

C'est la rentrée.

Cartable ou bien Camelbak sur le dos, trousse (à outil) à l’intérieur, le quatre heures indispensable sous forme de barre chocolatées, c’est la rentrée.

Du moins, c’était la mienne car après un mois et demi sans rouler, et un dimanche sur deux ou trois avant cette période inactive, on peut dire que c’est une vraie rentrée.

Les camarades sont toujours les même, très indisciplinés. Nono et Chris pour ne pas les citer étaient là eux aussi. Ils attendaient au carrefour du magasin, notre grande école.

Ils attendaient mais très sournoisement. Cachés dans les fourets (on se demande bien ce qu’ils y faisaient ?), ils franchirent le pas ou plutôt la jante pour venir me rejoindre.

Chris immaculé de terre fraîche avait du croiser un chevreuil et se jeter à terre pour éviter de l’écraser !!! Pas mal cette version, non ? Tu ne trouves pas ?

Son bel habit de vététeux avait donc déjà subit les revers du terrain.

Je prévenais l’assemblée que 35 kms allaient certainement suffire pour me mettre en vrac. Je me connais bien. Une léthargie de cette envergure ça laisse des traces. C’est donc sur cette note très enthousiaste que nous sommes partis pour une bonne balade.

Chris mène les débats, il emmène le trio sur un rythme modéré mais pas trop relaxe si vous voyez ce que je veux dire. Si vous ne voyez pas, c’est plutôt du genre soutenu mais modéré !!!

Le début du parcours fut emprunté sur des parties plates.

La première ascension arriva vers 15 kms (je pense) à Thury sous Clermont. Gros tronçon en enrobé puis chemin. Inévitablement, il a fallu que j’énerve les copains. Un démarrage pour tester Nono. Il n’a pas réagi tout de suite. Il pris quand même la chasse. Au moment où il revenait dans ma roue j’allumai un second pétard (assez mouillé…la poudre n’est plus de bonne qualité !). Cela a suffit pour que je ne me fasse pas dépasser.

Alors là, je pouvais les chambrer les deux loustics surentraînés ! Ouais je sais, Chris tu ne l’es pas tant que cela, c’est plutôt Nono. ((lol

En même temps, je savais que mes fantaisies allaient finir en eau de boudin. Alors, j’en profitais un petit peu. De plus, j’avoue que la forme de Nono est du genre correcte pour ne pas dire… bref je ne l’ai pas dis.

… oui enfin, c’est bon ! Sa forme est … Ha je n’y arrive vraiment pas.

Il est en forme. Voilà ! Partant de là, je savais que je pouvais l’énerver mais qu’il pouvait lancer une fusée sans que j’en vois le décollage.

Le deuxième côté pentu fut la côte du cimetière de Hermes. Lieu mythique tout en sable et cailloux sur sa partie haute et sinueuse. Dommage que cela ne dure pas assez longtemps.





La halte casse croûte allait se présenter à quelques hectomètres du sommet. Barre chocolatée pour moi et Chris, petit pipi pour nono. Vraiment, on ne le retient plus !! D’ailleurs j’ai les preuves. Je remplace notre photographe Cédric pour immortaliser Nono qui remplace Clément dans tout son art.

Ce petit spectacle achevé, la route continua. Et elle continua encore. Et encore. Encore.

Encore que, il fallait bien que cela s’arrête. Je pressentais quand même ma fin assez proche.

Pour Nono et Chris, pas de panique, tout baigne.

Tiens, je vais vous raconter une petite anecdote. La semaine passée, alors que nos deux larrons étaient en foire, seuls, Nono et Chris passèrent du côté de l’étang de La Neuville.

Petit single venant du lavoir municipal, puis passage devant le lavoir de l’étang, (Nono ne vois-tu rien venir ?), single le long de la route accédant à l’étang, jusqu'au petit étang plus proche du village ; Nono, tu te rappelles ?

La semaine précédente, ce chemin s’est fait mais en sens inverse. C'est-à-dire que Chris et Nono ont contourné le petit étang alors qu’il y avait un concours de pêche. Voyant les coupes du vainqueur, Les lascars chambraient nos amis pêcheurs en les questionnant si c’était pour eux. Seulement, pour sortir de ce secteur et repasser sur le petit single (le long de la route, vous suivez ?), il faut emprunter un petit pont de bois.

Le spad de Nono y est passé mais pas Nono. Désarçonner par sa monture, il sauta dans le ruisseau en contrebas car la glissade devait être belle. Je m’en doute car je l’ai déjà vu à l’œuvre sur ce même petit pont. Inoubliable. Il glissait sur le bois verdi et se rapprochait immanquablement du bord au ralenti. Enfin…. Je ne m’en lasse pas.

Parait-il que ces mêmes pêcheurs, chambrés juste une minute avant sont venus à sa rescousse. Celui qui l’aurait repêché aurait sûrement empoché le trophée. Une belle prise tout de même ! Une carpe ? Un poison chat ? On ne sait pas.

Et dire que nous sommes une majorité à ne pas avoir vu cela. Il faut vraiment que l’on revienne sur ces pistes pierreuses, boueuses, sableuses ou bien terreuses pour assister à un tel spectacle. Quand on se rappelle des Clémentades, des marres tant affectionnées par Cédric, et des chutes d’untel ou untel, voir même des os brisés sur les bords de ces chemins. C’est vraiment du bonheur à l’état nature.

Revenons, à cette sortie qui en fait était une rentrée, car comme je le disais ma fin était proche. Heureusement dans un élan de générosité Chris accepta de crever pour que je puisse recharger pendant quelques instants mes accus et retarder l'échéance finale.

Un challenge de la pointe d'or va débuter et se prolongera jusqu'au Roc 2009. Le vainqueur sera celui qui aura le plus grand nombre de crevaisons à son actif. Chris entre dans le classement.

Vers 29 kms, mes jambes déjà étaient plus rigides. Les muscles un peu tétanisés ne respiraient plus le bien être. A 35 kms, comme prévu, je lâchais tout. C’est chris et Nono qui m’ont lâchés. Le wagon de queue ne suivait plus. Le charbon n’était plus à l’avant de la locomotive car le boulet était derrière ! A la ressource, j’acceptais de raccompagner Chris à son domicile. La suite, épouvantable. Et dire qu’il y avait inévitablement une ultime montée.

La montée de la muerta. A que calor !

Il y a longtemps que je n’ai pas terminé aussi lessivé. Un vrai lavage machine avec essorage !

Sec !

Remontant de l’étang, nous avons pris le côté se terminant par un petit coup de « cul ». Cela n’a jamais porté aussi bien son nom. J’en avais ras le … Cette dernière partie plus accentuée m’a tuée …les mollets. Des petits mollets rachitiques, flageolant et fébriles. Même à pied, c’était l’enfer. La boule au ventre, je l’avais déjà depuis deux bornes !

Enfin, oui enfin, cela se termina. Le premier épisode du premier chapitre s’achevait.

Pour lire la suite il va falloir repartir sur les sentiers pour écrire une autre page de cette histoire. Cette page qui additionnée à une autre fera un livre. Puis les livres raconteront nos aventures et mésaventures. J’en ai souffert mais j’en suis fier. Je le savais. Il n’y a que ce sport qui puisse nous faire aller jusque dans nos derniers retranchements. Bravo à mes collègues de sortie. Cela ira de mieux en mieux et de plus en plus vite. La roue s'est remise à tourner, les compteurs vont de nouveau s'affoler.

Infos gps : Nono 55 kms, Chris et moi 42. 17,00 de moyenne pour Nono et 19,00 pour moi. A préciser que mon compteur était mal étalonné car monté à la va vite la semaine passée.

Pour suivre votre chemin, suivez la flèche.

Sinon, à part cela, ce fut une rentrée de chiens. Nous en avons compté 9 1/2 au total. Record à battre.



dimanche 7 septembre 2008

pommard

bonsoir à tous,

Le pommard est de retour au prix de 122€ le cubi.
Si vous voulez passer commande il faut le faire avant le 14/09/08.

Moi je pense être de retour sur les chemins dimanche prochain, qie sera là ?

mercredi 3 septembre 2008

Du Roc, du Roc mais du 2007.

Quelqu'un pourrait m'adresser des photos du Roc (édition précédente) svp.
Nostalgie, nostalgie...

A propos du roc suivez ce lien et faites la pause à 3'02 et 3'27. Vous allez reconnaitre quelqu'un...
http://www.dailymotion.com/search/roc%2Bazur/video/x3v1y4_le-corpe-au-roc-2007_sport

Sur ces deux autres liens on y voit le reportage qu'il y a eu sur Eurosport :
http://www.dailymotion.com/search/roc%2Bazur/video/x65hxx_roc-dazur-2007-1_sport
http://www.dailymotion.com/search/roc%2Bazur/video/x65l6c_roc-dazur-2007-2_sport

des photos de ce WE

c'est parti pour une belle grimpette
ravito 2
de retour a colembert
merci les ecureuils-vtt pour cette belle rando

mardi 2 septembre 2008

sortie de dimanche


salut les vététeux
pour moi c'est parti pour l'entrainement donc dimanche je suis allé représenter les couleurs des vététeux dans le boulonnais
c'est la rando de colembert la forest'opale ( http://www.ecureuils-vtt.com/ )






et bon vtt a +

lundi 1 septembre 2008

Les randos

salut a ts

comme nous l'avons evoque ensemble il y a quelque jours devant un verre, l'année 2009 sera sportive.
je fait allusion au roc bien entendu .

pour cela j'ai mis quelque randos de cette fin d'année sur le site ( pour les peu habitué ) auquel il serait bon de participer afin de ne pas perdre encore plus qu'aujourd'hui ;-)

rdv des dimanche au magasin pour un decrassage facon nono !!!

christophe
Salut cedric

Voici le numéro de l'objet sur EBAY : 180282296963
Il en reste encore 3 de dispo