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dimanche 19 janvier 2020

stat du 19 janvier



Cedric Fab 
Meteo  0- 2 °

terrain debut gelé puis en fin de sortie boue colante 

dist 36km

moyenne 13 K/mH

denivelee 345M+

evenement: chute Fab 
Creuvaison Ced 
remonté de chaine et  desserrage de plateau et un démontage de dérailleur pour fab





lundi 5 août 2019

Les Gardin's à Châtel Jour 2

Deuxième sortie Val Cedric Fab Gauthier Martin 
E VTT 
meteo ensoleille
terrain sec  et Montagne 
distance  80,37 avec télèsiege 

moyenne 16,1km/h Merci VAE

denivelée 3942 m+ avec télèsiege

Cedric a  roulé sur Lapierre !!!!

Chute Martin sur gravillons à Morgins  Casse de patte dérailleur  retour Pré la joux pour réparation 

chute Gauthier Bike Park dans virage relevé 


crevaison Val à Avoriaz 










Les Gardin's à Chàtel Jour 1

Première sortie Val Cedric Fab
meteo ensoleille
terrain sec  et Montagne 
distance  18,43

moyenne 8,8 km/h
denivelée 656 m+









dimanche 18 novembre 2018

la Beaujolaise 2018



participants :Nico, Val, Fab 

météo ensoleillé mais pas Chaud  

Terrain : sol gelé en début  de sortie et pas trop humide avec le dégel 

distance: 39,00 kms

moyenne: 15,8 km/h  , Pour moi 

dénivelée : 463 m+

événement : Nico et valentin sont vite partis ,  regroupement au Ravito  ils ont a nouveau bien roulé puis j'ai rattrapé Val sur la dernière difficulté ou il a calé. le beaujolais cette Année été pas trop mauvais accompagné de toasts au pâté et saucions sec .toujours une rando bien conviviale





   

lundi 24 septembre 2018

lundi VTT



au vu du beau ciel bleu je me suis mis un bon coup de pied au cul et suis parti rouler
au final 31 KM mais les jambes très lourde

lundi 3 septembre 2018

Stat Raid Parmentier 2sept 2018

participants:Val et Fab 

meteo ensoleille et chaud

distance 45  kms

moyenne  16.8KM/H

denivelées  642  m+

evenement: bonnes jambes je reprend de l'endurance mais tout doux pour Valentin tout va bien il m'a laché   apres le ravito 

nous viendrons vous faire un petit coucou rapidement 

j'ai l’impression que le site pour visualiser les traces GPS ne fonctionne plus ? qui a une info  
Fab

dimanche 21 août 2016

Moyvillers avec Seb et Lolo


Voila une petite découverte de de la région de moyvillers, aprés un départ tranquille sur les bords de la voie verte,  nous avons trouvé quelques petite grimpettes. le parcours doit être amélioré mais je pense pouvoir faire 35km 40km avec des passages techniques et single. je vais me mettre en recheche de la trace !!!

mardi 30 septembre 2014

OTHIS- RIDING

Les sorties au delà de 50 kilomètres s'enchainent les unes derrière les autres. Du jamais vu en 2014 !!!

Cette fois c'est la ville d'Othis, que je ne connaissais pas du tout avant cette rando, qui fut notre hote.

L'accueil s'est fait dans une salle d polyvalente. Il y avait déjà pas mal de monde au rendez-vous. Normal, nous sommes en région "presque" parisienne. Et qui dit Paris, dit pouvoir d'achat donc il y avait beaucoup de beaux vélos également.



Pour cette occasion, Nico était là parmi nous. Enchanté tout comme nous de découvrir cette sortie. L'autre Niko a eu le bon réflexe et a su nous dénicher ce bon plan sinon, nous aurions roulé sur nos terres neuvilloises.

Comme prévu, le départ se fit sur route à travers la zone résidentielle. Il fallait bien sortir de cette ville qui est à quelques kilomètres de la forêt d'Ermenonville. Nous avions ensuite à peine 2 kilomètres de chemins dans les champs. Puis, nous entrâmes dans la forêt.

Comme la semaine passée, pas mal de single tracks au début. Nous suivions quelques vététistes et nous étions roue dans roue. Il fallait être également très vigilent au changement de direction car nous l'avons constaté plusieurs fois, ce n'était pas toujours évident de suivre la bonne trace.

Heureusement, les erreurs commises furent rattrapées juste derrière notre forfaiture. A signaler tout de même que le fléchage était un peu moins bon que celui de La Chapelle en Serval. A titre comparatif, on peut également signaler que nous nous sommes engagés sur la même distance, à savoir le cinquante cinq kilomètres.

Dur-dur pour Christophe qui grimaçait un petit peu et se posait quelques questions par rapport à cette distance. Un peu comme moi la semaine dernière mais sur le dénivelé positif cumulé...

De single en single nous abordions à présent quelques sentiers un peu plus techniques. Dans les fougères se dessinait une trace. Nous reconnaissions là le biotope particulier de cette forêt. Géologiquement parlant aussi car nous trouvions sous nos pneus de plus en plus de sable et au fil des kilomètres se fut au tour des rochers. Ces fameux blocs qui font ressembler Ermenonville à Fontainebleau.



Côté sport, nous subissions le profil distinctif des lieux. Les coups de cul se succédaient. Il n'y avait pas de montée bien longue mais simplement quelques petits raidillards avec du sable et des racines pour accentuer la difficulté. La relance était de mise.

Pour avoir roulé quelques temps à Ermenonville, nous nous attendions à connaitre une bonne partie du parcours. Et bien non ! Ce fut tout le contraire. A part vers la seconde moitié de sortie, les sentiers étaient quasiment tous nouveaux pour nous.
Nous pensions aussi retrouver les tronçons empruntés la semaine passée. Et là, même constat, rien en commun ou presque rien.

Là encore, les organisateurs avaient sélectionné les meilleurs spots pour rider.  Seul petit bémol, nous avons évité les descentes les plus techniques avec les marches les plus hautes certainement pour éviter les accidents donc pour éviter les problèmes...Néanmoins, nous étions comblés par le terrain.

Pris au jeu, je me suis vu trop artiste en voulant passer sous un arbre, je me laissais glisser derrière la selle pour être le plus bas possible. Sauf que l'arbre aussi était bas... je pris le doute et ma roue avant glissa dans le sable. C'est ainsi que je glissais moi aussi avec le spad. Pas de bobos, nous étions au ralenti.
Un autre vététeux fit une chute dans le sable...le champion du monde de la chute...je ne le nommerai pas. Mais il est indétrônable.

Plus la sortie avançait, et plus nous perdions notre Chris. Les efforts additionnés commençaient à peser. Mais il n'était pas le seul... Nico eu également son coup de moins bien. Il faut dire qu'il n'a pas beaucoup roulé ces derniers temps.

C'est au courage que ces deux compères allaient poursuivre leur combat sans rien relâcher. Pourtant, il y eu encore des difficultés même après être sortir de la forêt d'Ermenonville. Nous devions regagner Othis par l'ouest presqu'en longeant l'autoroute. En parlant de combattants, nous étions juste à côté du parc Astérix. A notre passage, les gens hurlaient d'encouragement...heu non, pardon, c'était de peur....dans les manèges. Ils sont quand même fous ces romains.
Nono eu aussi son heure de gloire car nous avons arpenté du petit pont, que dis-je, trois petits ponts !!! Festival ! Les mêmes qu'à La Neuville, avec de l'eau en dessous.

En parlant de Nono, petite anecdote....alors qu'il s'était arrêté pour faire pi....piou, Chris qui était derrière, passa à son insu devant (Ben oui, Nono il nous tourne le dos quand il fait...). Je repartais avec Nono...en fait, sans Nono. Je pensais l'avoir dans ma roue mais il était encore au carrefour. Et il attendait Chris...alors qu'il était bien entendu devant. Et dire que j'ai parlé à un gars et que ce n'était pas Nono....Et je ne m'en suis pas rendu compte.

Il m'en a voulu le bougre...Je parle de Nono là...

Bon, il est tellement en forme qu'il nous rattrapa facilement alors que nous étions en train de monter descendre entre des rochers, dans les fougères....tiens, tiens, ça ne vous dit rien les fous gèrent ???
Bref, on faisait du toboggan dans le sable ...



Question organisation, ce fut pas mal. 3 ravitos si je me souviens bien avec sandwich à l'arrivée et boisson. + notre petit lot surprise, au tirage au sort. Magnifique casquette....pour être très chouette !



D'autres on gagné un stylo, un t shirt,....

Cette fois-ci nul espion à l'arrivée. Vivien n'a pas dû voir venir cette rando qui n'était pas sur notre calendrier de sorties..Hé, hé ^^

Au final, nous étions tous contents de cette rando qui était du même tonneau que celle de la semaine passée. Ravis, nous étions donc !
Nous avons pu apprécier la qualité du tracé qui une nouvelle fois transpirait l'esprit VTT.

La moyenne fut bonne car au delà de 16 km/h. Tu vois Chris, tu n'as ralenti personne... Et finalement, nous avions tous un peu les jambes lourdes en rentrant...sauf peut-être Nono.

Pour le dénivelé j'ai enregistré 750 mètres...ça diffère un peu de tes données.

Voici la carte avec les différents parcours :

Ermenonville...que de souvenirs, et il y a longtemps...Dédicace à Cédric, notre druide


La semaine prochaine nous serons encore sur une rando organisée. En revanche, celle là nous l'avons déjà faite plus d'une fois puisque c'est à Verneuil. Good Week !

lundi 22 septembre 2014

RANDO DES TROIS FORETS 21 septembre 2014

55 km et 900 mètres de dénivelés, voilà ce qui était au menu du jour selon les organisateurs de cette rando.
Bon pour les 55 kms, j'étais ok mais pour le dénivelé, un certain scepticisme me trottait dans la tête.

Donc, pour en avoir le coeur net, nous avons décidé de le découvrir par nous même.

Tout d'abord, signalons qu'il s'agit là d'une jeune rando car elle fêtait sa deuxième édition (dans sa version automnale).

Après les pluies du samedi, et du vendredi (je crois), la question était de savoir si beaucoup de vététistes courageux allaient braver le terrain qui les attendait ?? Connaissant un peu ces forêts, on pouvait néanmoins s'attendre à ne pas avoir autant de boue que cela.

Parmi les vététeux présents, nous pouvions compter sur Clément. Il s'est levé à l'aube le bougre pour arrivée à 8 H 30 à la Chapelle en Serval.
Niko était également fidèle et m'a même emmené jusqu'à destination. Pourtant devant chez moi, je pensais retrouver Nono uniquement mais ce dernier après avoir travailler comme un forçat le samedi déclara forfait car trop cassé par les efforts de la veille.

Je décidais donc de mettre le spad dans le Berlingo et hop, partir pour être dans les temps. Mais au moment d'ouvrir le portail, j'entendais un voiture se garer et c'était Niko. Donc, déchargement du Berllingot et embarquement sur le porte-spad.

Nous étions finalement trois vététeux sur cette sortie. Un par forêt )).

En arrivant à la salle des sports, nous apercevions Clément, affairé à dépanner un pauvre malheureux qui venait de briser sa chaine et son dérailleur. C'était mal barré pour lui. Clément en bon Saint Bernard remis en place le matos et transformait ce merveilleux 27 vitesses en single speed.

Il y avait un peu de monde finalement, moins que prévu bien entendu mais pas loin de 200 personnes.

Première surprise, nous devions mettre un plaque de cadre. Bien, ça met dans l'ambiance. On peut dire aussi que ça sent l'ambition côté de l'organisation. Ils tiennent à faire les choses correctement pour attirer du monde. Bravo !



Remarquez, l'astuce bien utile du n° de téléphone en cas de pépins...




Il y avait même un petit café si on le voulait.

Nous partions donc et à peine 150 mètres d'asphalte plus loin, nous tournions sur la droite pour aborder un single track. Génial ! Deuxième bonne surprise. Car, une bonne majorité du circuit était en single. Ça c'est du tout bon !

Les 25 premiers kilomètres étaient ainsi faits. Le circuit a été tracé méticuleusement pour prendre les meilleurs sentiers. Esprit VTT à 100 % !

Il fallait être d'ailleurs très vigilent car un coup ça tournait à droite, l'autre coup à gauche et ça n'arrêtait pas. Les changements directionnels étaient constants. On savourait !

Et dans ce même esprit, on retrouvait de belles montées techniques et des descentes du même calibre.
Wahooo ! Rudes les montées. Pour quelqu'un qui n'a pas un mois de vtt dans les guiboles, fichtre ! Que diable ! Mais ça se monte ça ? Finalement, oui ça montait et une fois en haut, on était content d'avoir maitrisé la bête !!! C'était une autre bonne surprise.
Tels les single tracks qui s'enchainaient les un derrières les autres, tel les montées descentes se succédaient également. Un festival !

Ces difficultés venaient contrarier ma gestion des efforts pour terminer la sortie. 55 bornes il faut tout de même les avaler. Même si nous avions bien roulé ces deux derniers dimanche, l'accumulation des efforts et du dénivelé me faisaient repenser à ces 900 mètres de positif !!!! Et bien, je me disais que finalement, ils allaient y être.

Et ce ne sont pas mes deux coéquipiers qui allaient me réconforter. Enfin, surtout Clément !
Ce fut un vrai diable ! Il est parti pied au plancher dès les premiers tours de roues. Il fallait s'accrocher derrière. Frais c'était plus facile mais vers les secteurs sableux nous menant en forêt d'Ermenonville, c'était un peu plus dur. Je n'ai pas encore la force et la vélocité pour rivaliser avec les autres vététeux.
 Et vas y que je te double les autres vététistes, et allez, on accélère et puis on monte plein badin, pffff !!!
Bon, après coup je me dis que je n'ai pas si mal résisté même si on m'a attendu sur certains secteurs. Et puis c'est positif pour la suite. Les efforts de maintenant seront ceux que j'économiserai plus tard. Octobre sera profitable si le temps le permet...
Tiens, en parlant de temps, nous avons eu un peu de bruine dans les premiers kilomètres et une bonne averse vers la fin du parcours au retour vers Senlis. Heureusement le tracé exclusivement en forêt nous protégeait beaucoup. Oui, vous avez bien lu "exclusivement en forêt". Çà c'est top !

un peu de projections néanmoins mais c'est inévitable...



Parmi les endroits connus, il y avait la succession de bosses et descentes techniques en forêt d'Ermenonville le long du golf. Il y a néanmoins certains secteurs que nous découvrions dans cette forêt. La première montée par exemple où il y avait une pierre qui faisait office de petite marche. "Prenez votre élan" lançait Clément, "Çà passe". Et effectivement, ça passait.

Il y eu aussi les étangs de la Dame Blanche ou plutôt le tour des étangs par le single tout en relance et pif-paf et creux-bosses. Il y avait longtemps que nous n'y étions pas passés. Il est vrai qu'un certain Cédric qui eut habité Chantilly et Senlis (pas en même temps ^^) nous faisait profiter de ce circuit.

Vous voyez, il n'y avait que le meilleur des parcours...

Niveau organisation, il y avait trois ravitaillements + un sandwich boisson à l'arrivée. Enfin, pour Clément ce fut 2 sandwiches. Gourmand ou besoin de récupérer ?

Je penche pour la deuxième version car cette somme d'efforts l'a mis en appétit. Il faut aussi dire qu'il a connu une fringale vers le 45 ème kilomètre. Un rude coup d'arrêt pour notre animateur maison. Nous le récupérions Niko et moi alors qu'il ne restait plus que deux kilomètres. Et il eu un regain de forme pour terminer sur un bon rythme.
Trois jets d'eau étaient aussi à notre disposition pour redonner de l'éclat à nos chères montures.








Tout allait par trois finalement.

A l'arrivée nous retrouvions certaines connaissances (hein Vivien !). Pour les autres je vous rassure tout de suite. Non, Vivien n'était pas là ! Mais....

Conclusion du jour : Sortie Géniale ! A refaire l'année prochaine dans le cadre d'un entrainement ROC ???. Les organisateurs sont dans l'esprit VTT. Même si nous avons payé 6 euros, cela en valait la peine. On sait pourquoi on les a dépensé.

Vu la difficulté du terrain on savait déjà que nous en avions pour notre argent ))) Et l'organisation était tip-top. Ravitos de qualité et bénévoles sympas. Les organisateurs ont même recueilli nos avis en fin de rando. Le parcours était bien fléché avec des pancartes directionnelles de couleur et des ru-balises de couleurs (trois par changement de direction, voire plus, couleur différente selon la distance). Pas  de danger de se perdre mais il fallait être vigilent.



Pour finir, les 900 mètres de dénivelé étaient bien là. Sur mes données GPS, j'avais entre 922 mètres de + et 901 mètres de -. 55 kilomètres pile poil (ou 56 selon les compteurs). Donc la dernière surprise n'en est pas une mauvaise; les informations sont fiables.

Rendez-vous semaine prochaine sur les terres Neuvilloises.


mercredi 25 juin 2014

Sortie du 22 juin....bis

Allez, juste un peu de complément d'information sur la sortie de dimanche dernier. Je fais vite car il y a match ce soir !!!

Sur les premiers tours de roues j'étais en tête avec Christophe car à priori Niko, Nono et Clément n'avaient pas l'air décidés de rouler. A tel point qu'au bout de 500 mètres, nous étions obligés de faire demi-tour car nous ne voyions personne arriver.

Dingue ! Je suis si en forme que ça ?

Et bien non car après coup, ce fut un récital pour le grand plateau.

Nous sommes partis vite. Nous avons continué vite. Et nous avons terminés vite.

Et oui, "vitesse" est le maitre mot pour cette sortie. C'est tout du moins ce que j'ai ressenti.
Difficile de s'accrocher au train lancé à pleine vitesse. J'ai eu beaucoup de mal à suivre la cadence.

Comme vous pouvez le constater sur le parcours transmis par Christophe, je me suis accroché jusque Lorteil. Après, j'ai perdu pied ))).

Enfin, c'est surtout après Bulles que ça a coincé. Je n'étais pas au niveau..... (niveau - bulles ho, ho, j'ai mangé du clown).

Côté anecdote, Je pourrai dire aussi que nous nous sommes retrouvés bloqués sur un chemin se terminant en quenouille, dans un champ.... Pas d'autres moyens que de faire machine arrière pour traverser la nationale 31 et rejoindre Bresles.

Mes compagnons de sortie m'ont épargné le Mont César pensant que ma santé était trop fragile. Et c'est tant mieux car j'avais des impératifs horaires et je pense qu'avec cette difficulté nous aurions fait un détour et perdu beaucoup de temps.

Dans les derniers kilomètres, Christophe ressentait aussi de la fatigue et lachait prise. Cependant, il avait 6 bornes de plus que moi à l'affichage.

Niko a fait l'exploit de venir et repartir en spad depuis Ars. Il a donc fait son RIC (Raid Impérial du Cambronnais). Les 3 autres larrons étaient bien en forme.

Événement incontournable en ce 22 juin, nous avons fêté dès le départ l'anniversaire du Nono National. Un kinder lui fut remis en guise de gâteau. Nono nous montra quel souffle il a. Le Nono  pour éteindre les bougies est magique !



Juste avant cela il nous expliquait comment il a décollé pour atterrir dans les orties lors de sa sortie de Lundi en solo. Dimanche prochain nous devrions aller sur les lieux de ses exploits...



A sa décharge, avec la grève des contrôleurs aériens, pas facile d'atterrir......................

mardi 10 juin 2014

Les Vététeux débarquent au Mesnil En Thelle


The vététeux Day...

C'est en ce début juin que les francos américains des vététeux débarquent sur les plaines de cette rando avec leur artillerie, leurs missiles, leurs bombes.

Équipés de spads Cannondale, ils sont là frais et dispos. Mais où sont les Allemands ??

Pas un seul sur la ligne de démarcation...nous avons fouillé partout, dans les taillis, dans les fossés, dans les blocos,  Rien. Silence radio...

Auraient-ils fuit à notre arrivée ? Ça sentait la poudre....d'escampette.

Nous étions donc trois ce jour là... il ne fut cependant pas le plus long. Nous avons échappé aux coups de canons du weekend provoqués par les nombreux orages. Le terrain cependant était encore marqué par les pluies qui s'étaient abattues durant les jours précédents.

 Il y avait un peu de monde sur le parking. Pas autant qu'à Amiens certes, mais pour une petite rando, ce fut raisonnable.

Dés les premiers kilomètres on a pu se rendre compte que le parcours était correctement fléché. Nono au début et par moments oubliait de tourner mais ce n'était qu'un problème de radar. Il fallait un temps de chauffe pour voir toutes les flèches.

Par la suite il n'en loupait plus une. En revanche à un certain moment, c'est moi qui n'y voyais plus rien.

Ceci dit, je le répète, l'organisation fut tip-top. Un coups, il y avait un marquage au plâtre, l'autre coups c'était des flèches directionnelles en plastiques ou bien alors de la ru-balise. A un endroit litigieux, il y eut même un gars pour nous orienter. Good Guy's !

Le parcours fut majoritairement sur des chemins de plaine. Mais il y avait toujours quelques parties boisée pour changer la typologie.

Le terrain était par moments accrocheur, par moments roulant et par moments technique. Ce fut notamment le cas dans des parties boueuses où il ne fallait pas se louper sur les dévers ou sur la faible bande "roulable" et praticable avec à sa gauche ou à sa droite une bonne mare de boue.

Techniques aussi furent 3 montées. Magnifiques ! Je ne savais pas qu'il y avait ce genre de côtes dans le coin. Elles ont bien été sélectionnées. Bravo aux organisateurs.

Pour notre confort nous avons eu 2 ravitaillements avec fruits frais, fruits secs, pain d'épice, chocolat et du sirop de menthe ou grenadine pour nous désaltérer.
C'est lors d'un de ces arrêts que nous avons vu un Scott aux couleurs de Nico, en semi-rigide avec une lefty. Dédicace pour Nico...

A l'arrivée, ce fut sandwich et coca... plusieurs verres car il fallait bien ça pour des américains.

Après avoir fait 40 bornes dimanche dernier, la mission était cette fois-ci de faire un peu plus, c'est à dire 45 km. Cependant, à la bifurcation entre les deux parcours, après une bonne montée nous nous sommes arrêtés pour savoir si mon état de fraicheur allait me permettre d'en faire d'avantage.
Malgré une bonne hésitation, je me lançait sur ce défi de prolonger le plaisir sur le 52 km.

Et finalement, nous l'avons fait. Il restait même un zest de forme. En revanche, en début d'après midi, le bonhomme luttait contra la fatigue...

La moyenne fut de 17,7 km/h et le dénivelé + selon les organisateurs fut de 536 m.



A voir les vélos en fin de parcours, on pouvait constater qu'il y avait quand même pas mal de boue..



Pour la semaine prochaine, la burysienne semble être un bon compromis. Ce sera notre troisième sortie organisée consécutive. Incroyable !!!





vendredi 27 septembre 2013

Les oiseaux de nuit en images

Comme le demande Chris, je poste les photos de la spéciale semi-nocturne.

Voici donc les oiseaux rares qui se sont posés l'instant d'une prise de clichets.

Nous avons donc parcouru ce bois au départ dans le jour, puis dans la pénombre pour enfin finir complètement dans le noir.

Si nous étions des oiseaux, peut-être aurait-on pu être des chouettes ou des hiboux. Je préfère toutefois rester un mamifère et m'aparenter à la chauve-souris.

Ainsi, deux batmen survolaient les sentiers en quête de perfectionnement en vue du ROC. Tels des vampires, nous souhaitons grignoter des minutes à l'aide de sang frais, bien oxygéné.

Attention, dimanche, les chiroptères seront parmi vous...



samedi 24 août 2013

Un circuit à difficultés



Un parcours digne des montagnes russes. C’est  d’un sens à cause de son dénivelé et de ses nombreuses descentes et montées en zieutant son profil que nous pouvons l’appeler ainsi. Mais c’est aussi dans le sens où nous avons des difficultés à en venir à bout. Les sorties de nos précédents week-end en témoignent. (Bref résumé condensé de ces 3 dernières semaines). Si on regarde la courbe du kilométrage, on peut parler de creux et de bosse aussi.

C’est derniers temps nous avons donc voulu pratiquer un tracé avec plus de 1000 mètres de dénivelé à La Neuville. Sur les deux premiers dimanche nous avions Chris, Niko et moi-même comme bikers présents. La semaine passée nous enlevions Chris et nous avions la même équipe.



Première sortie :

Nous avons essayé de boucler le circuit. Le terrain était sec donc pas de souci concernant les conditions météo. Le seul bémol qui aurait pu nous empêcher de le faire c’est peut-être la condition physique après le retour des vacances.

Nous nous sommes donc élancés en enchainant les montées et les descentes. Tout allait bien. Mais Patatra ! Au vingt cinquième kilomètre Niko sentit qu’il avait du mal à passer ses vitesses. Et pour cause. La patte d’amortisseur avait lâchée. Au passage, l’amortisseur en a pris un coup, une petite bosse vers le bas qui pourrait dans les prochaines sorties provoquer des fuites si la course de ce dernier est suffisamment importante pour descendre sur cet endroit cabossé.

Autre point détérioré, la biellette au niveau du pas de vis. L’axe en sortant de son logement en forçant a endommagé la matière (carbone ?).  A voir l’étendue des dégâts, nous savions que nous ne pouvions plus rouler. Avec Chris nous sommes rentrés au magasin pour aller chercher ma voiture pour raccompagner Niko. Je devais le rejoindre sur la route de l’escargot.

Au passage devant chez moi, je sortais le Cannondale du coffre pour y remettre le Lapierre. Ne sachant pas la durée d’immobilisation du Titus, cela pourrait dépanner.

Pour l’anecdote, je manquais de carburant pour effectuer ce périple. J’étais dans la réserve et l’aiguille se rapprochait inexorablement du néant. Mais tout rentra dans l’ordre. Ouf !

Au finish nous avions 28 km au compteur. Pour le profil, vous l’avez déjà vu lors du Cr de Chris.

Deuxième sortie : 

Nous étions avec Chris en train d’attendre sur le parking et ne voyant pas venir Niko, nous nous demandions s'il serait là ce matin. Peut-être avait-il eu des difficultés avec le Lapierre ? Une purge de frein était nécessaire et un changement de gaine arrière aussi car la chaine avait une fâcheuse tendance à dérailler lors des soubresauts et tressaillements de la machine.

Finalement, c’est avec le Titus que nous avons vu arriver Niko. Mais comment as-t-il eu les pièces aussi rapidement au mois d’août alors qu’en temps normal il faut compter presqu’un mois ? Et bien, ce Niko est un génie ….du bricolage. Avec de l’epoxy, il a remodelé la partie abimée de la biellette, refait un axe renforcé et le tout fut remis en place d’une façon magistrale. Je ne dirai qu’un mot : Bravo ! 

Ce fut donc le premier fait marquant de la journée. Le second c’est que nous avons terminé le parcours. Incroyable ! Mais vrai !



Nous avons repris les sentiers du dernier dimanche en modifiant certains passages sur des secteurs où  se croisait le parcours. Bon job de notre part. Nous sommes arrivés à notre but.



Le terrain était une nouvelle fois sec et il n’y a pas eu de problème mécanique.

Troisième sortie :

En l’absence de Chris nous sommes partis de chez moi pour reprendre ce fameux tracé. Quand on aime on ne compte pas, n’est-ce pas ? 

Malheureusement, ce matin là, le temps était maussade. Une fine pluie venait tout juste de tombée et au moment de notre départ, elle remettait cela.

Pour assurer le coup, nous avons décidé de rouler autour de notre lieu de départ au cas où les conditions météo se détérioreraient davantage. Nous avons donc monté tout ce qui pouvait l’être dans les environs. Niko me fit découvrir de nouveaux chemins dont j’ignorais l’existence,  tout juste à portée de roues de chez moi. 

Cette fois-ci, Niko était aux commandes du X-control evo 2. Il avait purgé le frein arrière, remis la gaine du câble de dérailleur arrière pour un passage sans encombre. Seules ombres au tableau, la selle faisait du bruit et le frein avant aurait mérité une purge car il manquait cruellement de mordant.

Au fil des kilomètres, il pleuvait davantage. Mais c’était supportable. Nous avions pris tous les sentiers proches et nous dirigions vers la forêt de Hez pour agrandir notre cercle d’activité. 

C’est au moment où nous étions le plus à découvert, sur le plateau, en plein champs, que la pluie s’est intensifiée ! Misère, nous étions cette fois-ci trempés comme des soupes.

Pas grave, de toute façon on ne peut pas être plus pourris donc on continue.  Dans la première montée à Fay, patatra ! Chaine cassée sur le Lapierre ! Zut ! Décidément, nous ne sommes pas épargnés par les soucis matériels. Obligés de réparer sous la flotte. En plus, nous eûmes des difficultés à remettre l’attache rapide. Incroyable ! Le maillon était un peut tordu probablement. Nous avons pu tout de même repartir. Et hop, on avale cette belle côte et on s’élance dans la descente pour reprendre la prochaine. C’est parti à toute balle. J’entends Niko derrière moi qui fait un gros clac. Il devait avoir cassé une branche sur son passage.

Au moment de tourner pour rejoindre la partie single track, je ne voyais pas Niko arriver. Étrange ! Puis finalement, au bout de vingt secondes il pointa le bout de son nez. Mais je n’eus même pas le temps de me remettre en selle…enfin moi j’aurais pu le faire mais Niko ….non.

Le gros crac que j’avais entendu, ce n’était pas celui d’une branche brisée mais….celui d’une tige de selle.
Et bien ! Ça sent encore le retour maison. On répare comme on peut. Niko qui devient le champion du monde de casse de tige de selle (à croire qu’il aime ça ^^) avait pris soin de mettre dans sa trousse à outils un collier de serrage en alu. Bonne idée car sans cela, il aurait fallu toute une batterie de  rislans pour effectuer notre réparation de fortune.

La sortie fut donc une nouvelle fois écourtée et nous reprenions sagement la route pour éviter d’avoir trop de chocs afin de maintenir le système de réparation en place.

Proche de l’arrivée, nous nous rendions compte que nous avions fait le bon choix car l’assemblage commençait à bouger. Il faut dire que malgré tout, nous n’avons pas fait semblant de rouler sur la partie bitumeuse…Tout à gauche !

Bref, encore une sortie amputée de nombreuses côtes et de kilomètres. Pas grave, on se refera la prochaine fois.

Pour combler un peu le vide, pour rentrer chez moi, je suis allé chercher deux difficultés supplémentaires pour dépasser les 500 mètres de dénivelé + et une distance de 28 km.

La semaine prochaine nous tenterons une nouvelle fois le périple avec davantage de bons hommes dans notre effectif.