vendredi 28 novembre 2008

Avis de recherche

Salut a tous

Je suis a la recherche de ma clé pour demonter les cuvettes de pedalier hollowtechII ?
Quelqu'un l'a t'il en sa possession ?

jeudi 27 novembre 2008

et ce dimanche ?

salut a ts

eh oui c'est moi, non ne croyez pas que je suis a nouveau en pleine forme, mais ca me gave !!

alors je vais peut etre venir rouler dimanche ;-) suivant le temps

ou avez vous prevu de rouler ? a la neuville ?

et qui sera la ? car s'il n'y a que les deux fous ;-(( ca serait dur dur

christophe

ps :j'aime bien ta nouvelle tete nono sur ton profil

un petit site pour l'entrainement

salut
j'ai trouvé un site pour noter les sorties et entrainement avec détail
temps- Km- altitude- le tracé gps- meteo -bio-metrie :


http://www.1-2-sports.com/counter.action?uid=18780&t=1

mardi 25 novembre 2008

C'est l'hiver !


Il y avait bien longtemps que nous n’avions roulé dans de pareilles conditions. Tout d’abord parce que c’est la première fois de l’année où nous passons en température négative un dimanche. Mais aussi parce que l’année dernière après le Roc nous n’avions pas dénié monter sur nos spads et que nous n’avions pas vu l’hiver au guidon de nos montures.

Au départ, il y avait donc – 2°c et à l’arrivée un bon 1 °c. Nous avions oublié ce que c’est que de rouler sur des feuilles qui craquent sous nos roues. Ces feuilles gelées et rigidifiées par le froid qui font du bruit à notre passage. Le sol était bien gelé malgré qu’il n’ait point gelé les jours précédents. Il y avait quelques passages encore imprégnés de boue ou bien d’autres en sous bois plus préservés du froid où l’épais manteau de feuilles avait servi de couche isolante.
Les flaques d’eau ou marres qui gisaient au beau milieu des chemins avaient laissé place à de la glace. Cette eau figée sur une épaisseur superficielle, elle aussi, bruissait sous nos pneus.

Au rendez-vous ce matin, au carrefour du magasin, nous n’étions que deux. Nono est le deuxième protagoniste de cette sortie. A mon arrivée, il totalisait déjà 9 Kms au compteur.
Pour éviter de se transformer en glaçon en attendant mon arrivée, il avait pris l’initiative de rouler un peu. Ces premier mots furent alors : « il caille ».

Pour l’occasion, je me protégeais du froid en mettant mes couvre chaussures néoprène. J’en profitais également pour porter ma dernière acquisition, le bandeau serre tête en néoprène lui aussi qui protège les étiquettes.
Et bien, je ne regrette pas cet achat. En un mot, c’est formidable. Partis du magasin, nous prenions direction le chemin dans notre dos. Le but de la manœuvre était de reprendre le single track remontant le long de la route. Par malchance, des travaux forestiers nous ont empêché de le prendre.
La seule solution était de prendre la descente jusqu’au carrefour. Malgré la vitesse, mes premières impressions furent que je n’ai nullement ressenti le froid. Que du confort ! Seuls mes yeux s’étaient mis à pleurer à cause de la vitesse et l’air vivifiant.

Ensuite, nous nous sommes dirigés vers le chemin qui nous permet de rejoindre Filervale. Ce sentier un peu défoncé, avec les mottes de terres dures comme des cailloux car gelées qui nous donnèrent un peu de fil à retordre. Nono commençait à pester car nous étions mal engagés. Néanmoins, passé cet épisode, nous regagnâmes des terres plus amicales et plus roulantes.

La première difficulté se fit à grande vitesse. Il fallait bien se réchauffer. Je crois que ce fut la première fois où Nono me traita de fou. Il y eu d’autres occasion encore par la suite.

Nono pris les commandes de retour dans le bois. Le rythme après une courte accalmie après la montée, avait repris un niveau au dessus. Nous remontions donc le faux plat de la grande allée, assez large, en cailloux. Ensuite, au niveau des sapins, nous prîmes le single sur notre droite. Nono cafouilla dans une ornière un peu molle, ce qui me permit de repasser devant. Là encore il me demanda si j’étais bien ??? Je lui ai répondu que « oui » Mais qu’il ne fallait pas perdre de temps car il devait rentrer de bonne heure. Nous ralentissions un peu quand même pour éviter de trop vite se griller.

Cette première partie de parcours, nous ne l’avions pas faite depuis un certain temps. Dans la continuité de cette sortie, d’autres portions très peu empruntées, l’ont été cette fois-ci. C’est histoire de changer nos habitudes et de redécouvrir l’ensemble de notre forêt.

Un peu plus loin, nous avons croisé un groupe de randonneurs pédestres. Je vous avais parlé la semaine passée de la fréquentation des bois assez impressionnante. De nouveau, nous eûmes l’occasion de le constater, malgré le froid ambiant, qu’un grand nombre de personnes sillonne les environs. A croire que la crise économique repousse les gens dans les bois. Ils n’ont peut-être plus envie de dépenser dans des club alors que la nature peut leur proposer de retrouver un bien être et une forme physique à moindre coût. Enfin, tout cela n’est qu’hypothèse ! Il y a sûrement d’autres raisons.

En plus des chemins que nous redécouvrions, nous en avons pris un autre sur lequel nous n’étions jamais passé. Celui-ci était bordé d’une ligne électrifiée, de quoi rappeler de bon souvenir à Chris. (Il en tremble encore). Par moment, la bande roulante se rétrécissait et nous rapprochait de ces files qui picotent quand on les touche. Heureusement, nous n’avons pas pris le risque de voir ce que cela fait.
Nous arrivâmes sur le chemin qui part de la ferme (en haut de Thury) jusque la nationale qui relie Clermont – Angy. Nous avons traversé cette nationale pour longer les hauteurs du bois d’Ansacq. C’est sur l’un de ces chemins que Nono a failli écraser une pauvre bête. Piqués par la curiosité, nous fîmes demi-tour pour trouver une explication à l’immobilisme de cet animal.
Un pauvre petit piaf gisait au beau milieu du chemin herbeux. Je n’eu pas trop de mal à l’attraper. La bête avait du se faire surprendre par ces premiers froids. Elle appréciait le fait d’être réchauffé dans nos mains. Après une courte analyse, nous constations qu’il s’agissait d’une jeune grive. Nono, en prince charmant, lui fit un petit béco pour la réconforter. Aussitôt, elle pris son envol. Trop fort Nono !!! (((lol.

Ce conte de fée achevé nous nous remettions en route. Nous regagnions les bois en passant auparavant par Auvillers. Dans les bois, ce fut l’occasion de repasser par le grand plateau pour dérouiller les gambettes. Tout le chemin longeant la route fut pris à vive allure. Que c’est bon !
Nous sommes redescendus par l’étang de Boulincourt pour ensuite faire la partie d’Etouy, qui elle, reste incontournable. Dans le « S » de la descente de l’étang, nous avons croisé les cyclops qui étaient 7, je crois. Nous les avons salué.

Passés le monastère, je lançais une fusée. Le chemin « jaune » est l’occasion, comme avant, de pouvoir prendre de la vitesse assez rapidement et d’avoisiner les 40 Kms/h. Je ne sais pas s’ils ont été atteints mais en tout cas, ça allait vite. Nono ne daigna pas prendre ma roue. Sur cette accélération, je ne voyais pas pourquoi nous allions nous arrêter en si bon chemin. Jusque la route nous avons continué à maintenir de la vitesse. Je dis alors à Nono : « il faut s’habituer à tirer le grand plateau si l’on veut résister au retour de Vivien , lui il aime bien ça ». lol, on ne va pas se laissé manger tout crus quand même ! On va tenter de résister un peu mais ça va être difficile je pense. On commence à se faire vieux. ((lol. Et puis, on a tous plus ou moins mal au dos !

Même Nono aujourd’hui a ressenti une douleur. Il faut dire que nous avons roulé encore fort ! Nono a pris en charge toute la parti de la route, en passant par le passage aux animaux, jusque l’autre route. Il a continué encore un peu, puis j’ai mis une dent en moins pour repasser devant. Au début de la fameuse ligne droite, lieu privilégié pour la lutte des cuissots, j’ai mis tout à droite. Malgré une masse de feuille volumineuse, le résultat fut assez satisfaisant.

Ces efforts que nous avons donnés, nous les avons payé puisque c’est après cela que nous eûmes les premières douleurs dorsales. Pour ma part, ce fut moins contraignant que la semaine dernière. Nono, s’étira un peu. C’est au stade de La Neuville que nous avons commencé à calmer le jeu. Nous devions remonter pour regagner le plateau. Nono devait maintenant rentrer. La côte que nous avions montée trois fois il y a sept jours, et bien nous l’avons de nouveau gravie. Quand on aime, on ne compte pas…

Nous avons rejoint le carrefour du roi après une descente-remontée. Nous avons pris une section de route tranquillement, l’occasion de discuter. Je raccompagnais Nono jusque chez lui.
C’est donc seul, que j’allais repartir vers mon véhicule. Entre temps, la neige s’était mise à tomber. Je pris la première côte à ma disposition. Le tracé allait être quasiment le plus court pour retourner au Magasin. Une petite variante fut mise au programme tout de même. Au lieu de prendre paisiblement le dernier chemin qui débouche sur l’allée bitumée interdite à la circulation, je repiquai vers le bas pour mettre une nouvelle difficulté à l’ordre du jour. Ouille, ça pique la neige dans les yeux quand on dévale la pente. Au menu, « les yeux en neige ».
Je termine donc par un dessert de choix car je n’aime pas trop cette dernière côte qu’il faut remonter. Je me suis un peu forcé.

Globalement, nous n’avons pas souffert du froid. La sortie fut agréable. Comme je le disais, il y a fort longtemps que nous n’avions pas connu pareilles conditions météo. La dernière fois que nous avons roulé sous la neige, c’est lors d’une rando à la Neuvilloise, je crois. Ce n’est pas tout à fait comparable car à cette époque, il faisait – 8°c. Il y a un an, nous n’aurions même pas pris la peine de nous lever pour aller rouler. L’envie est donc là. Nous ne pouvons que nous en féliciter.

Au niveau du dénivelé positif absorbé, nous avons encore gagné quelques mètres puisque nous en terminons avec 556 en positif. La distance est de 45 kms parcourus pour Nono et 42 pour moi.

La moyenne au compteur de Nono était en deçà de mes espérances. Il y avait un peu plus de 17 Kms/h. Avec les accélérations que nous avons faites, je pensais que nous terminerions avec un score plus élevé. A d’autres moments, nous sommes allés sur des chemins moins praticables, nous avons également pris le temps de décélérer sur la fin. Finalement, ce n’est pas si mal pour une fin novembre.
La semaine prochaine nous enregistrerons peut-être le retour de Chris. Cédric sera là. Quid de Clément ? Et Vivien qui attend toujours son spad…

dimanche 23 novembre 2008

Moins de zéro

Bonjour,
comme promis, je vous fait le compte rendu de ma sortie en solitaire de ce WE !!!
Destination Château Thierry.
Avant, je vous raconte mes problèmes de Spad de la semaine: Heureux de recevoir mes belles roues, je fais le tour complet de mon cube pour vérifier sont bon fonctionnement et qu'il soit digne d'être supporter par de si belle Mavic. Depuis quelques temps, un sifflement persistant venant de mon disque avant troublait nos sortie. Verdict au démontage, un piston grippé et donc un décalage de la zone de freinage frottait le disque sur l'étrier de freinage. j'essaie de dégripper la bête mais rien ni fait et pire que tout, je fou en l'air le piston qui, laisse passer maintenant de l'huile (DOT 4 pour Hayes)
je vais à a 'la bicyclette' la boutique de vélo de Senlis, qui après plusieurs purges, et le changement des plaquettes me confirme mes craintes : Piston HS, il me propose des slx de shimano en remplacement, un peu cher par rapport aux différents sites de VPC, mais au regard des purges réalisées, du montage et démontage des plaquettes hayes, du montage des nouveaux freins et surtout du changement travai éclair de l'atelier, tous cela gratuitement, l'affaire fut donc trés bonne.
vous comprendrez par la meme occasion que je ne suis plus en quête d'un achat groupé pour mes plaquettes.

Donc mon spad a maintenant de belle roues et des freins bien plus agréable que mes vieux hayes à 2 balles.

Après toutes ces péripéties, aucune excuse ne pouvait annuler ma sortie.

plan de la sortie départ de chez les parents de Sophie, arrivée chez sa sœur pour le déjeuné, via les fameux coteau de vigne de champagne.

Départ musclé après 1 km de plat, 3 Km de monté plus ou moins dur, en évitant les partis du parcours trop grasse. (christophe connaît le parcours), Le terrain était collant sans etre complétement noyé.
la neige était présente, ainsi que le froid rude en pleine, je n'ai jamais réussi à me réchauffer les pieds.
dans les premiers kilomètres, le froid saisis mes petit poumons d'asthmatique, crise dans la première côte puis, plus rien.
Cette sortie c'est un peu sur le même thème que Lolo et Nono la semaine dernière, cote , monté et redillons.

les longues cote ce presente a moi de nouveau une monté de 2 ou 3 km qui ne sera pas paya,te car pour descendre, le chemin en herbe interdiasit tout descente rapide. il fallait meme pedaler pour avancer; en plus du sol, le vent etait de mise.

les crossmax donne une rigidité impressionnant au spad, à l'avant comme à l'arrière. A l'avant, la direction est plus fine, à l'arriere, on rescent plus de puissance et d'energie transmis à la roue.

Pour éviter les chasseurs de l'Aisne, j'ai suivi scrupuleusement le GR 11 qui travers ma zone de jeu et me dépose au bas de Château Thierry. La plus grande partie m'était connu, la partie descendant sur Château fut laborieuse, boue, ornières, arbres couché et chasseurs en poste, bref pas top.

Ce ne fut pas une sortie plaisir, mais une sortie entretien du vététeux et test du nouveaux matos.

33 Km
14km/h de moyenne (bof, mais vu le terrain finalement)
sur une base de 600m de dénivelé positif.


vendredi 21 novembre 2008

La beaujolaise

Quelqu'un vient il a la beaujolaise ce week-end.
Nous sommes 7 vététistes sur villers à y participer.

Les sondages

A 71%, nous voyons Vivien sur un AMS PRO 125 R1 MAG BLACK/RED .

c'est bien joli, mais quand ? je vous laisse donc répondre au nouveau sondage du blog.

mercredi 19 novembre 2008

petite sortie et petit plus






premier essai from lolo on Vimeo.


Petite sortie donc en ce week-end du 16 novembre, l’occasion comme je l’avez dit lors du résumé précédent de faire un peu de côtes pour hisser la performance au top de la forme. Et puis il faut dire que ces derniers temps nous avions aussi privilégié le secteur plat pour faire plus de bornes. Ca, c’était la théorie. La pratique a révélé que nous en faisions tout autant.

Dans tout cela, j’avais oublié un point essentiel. Que c’est dur de monter ! Pff, et ça fait mal aux cuisses en plus ! Non, pas plus que cela, mais au final on termine quand même à le ressentir.

Côté météo, nous sommes venus sans consulter les prévisions. Nous aurions pu tomber sous une averse de neige que nous n’en n’aurions rien su…jusqu’au moment de la recevoir. ((lol.

Le ciel fut plutôt avec nous. Certes nuageux, la couche était basse. Nous eûmes aussi droit à la bruine durant un certain temps. Un brumisateur au naturel nous arrosait le visage. Cela c’est accentué un peu puis …plus rien.

La température de 12 °c donnait à cette sortie un caractère agréable. Franchement pour la saison, c’est plutôt pas mal. Le mélange de ces deux critères n’était pas là pour nous déplaire. Nous étions dans de bonnes conditions ! Nulle présence de vent, et terrain moins boueux qu’à l’accoutumée. Ceci s’explique par l’abondance de feuilles au sol qui sont tombées durant la semaine certainement à cause des pluies répétées et des bourrasques de début de semaine.

C’est peut-être à cause de cette combinaison de facteur que nous avons rencontrés beaucoup de monde. Du randonneur pédestre, au joggeur en petite foulée, je dirais en grande foulées aussi (il y avait des gars qui couraient comme jamais nous pourrions courir….impressionnant), en passant par les vététistes qui furent nombreux, tout le monde était de sortie. Les chasseurs eux aussi étaient là avec bien sûr, leur fidèle partenaire : le chien.

Mais nous avons décidé d’arrêter notre concours. Je sais bien, ça vous donnait tant de plaisir et maintenant vous avez de la peine mais après la meute (je vous jure une vraie meute de chasse, hein Cédric que c’est vrai) rencontrée la semaine passée, nous jetons l’éponge. C’est vrai, il y en avait tellement que nous ne pouvions pas les compter. Alors, c’est fini…

Pourtant nous en avons encore rencontré pas mal. Il y en avait même un qui faisait c…. .

Ce week-end, ce fut l’occasion d’essayer pour la première fois la caméra. Nous avons mis un certain temps à nous y familiariser. Ce n’est pas la caméra en elle m^me qui posait problème mais le maniement de l’enregistreur mp3.

Nous devions faire un maximum de chemins intéressants pour mettre de belles images dans la boite. Le parcours allait donc être choisi en circonstance. Nous parcourions donc quelques singles tracks à bonne allure. Les allées plus larges faisaient fatalement partie aussi du paysage. Puis nous eûmes la folie de vouloir faire une belle descente. Nous avons dévalé celle que nous avions l’habitude de montée auparavant. Le haut de celle-ci faisant partie de la première ascension de La Neuvilloise. Nous y avons donc mis les watts puis nous sommes arrivés au pied de la butte Saint Louis. Que nous avons tout de suite montée. Une petite vue panoramique s’offrait à nous. Du moins, une mini vue panoramique car nous ne sommes pas vraiment dans les plus hautes altitudes picardes. Cependant, ça nous laisse une image, disons… surplombante.

Nous nous sommes dirigés ensuite vers l’étang, en prenant les petits singles, jusqu’au petit pont à Nono. Notre parcours allait stopper au bord de la route nationale pour vérifier la qualité de l’enregistrement.

Waouh ! Surprise ! Ca commence. Je me vois en train de manipuler l’engin. Ben, c’est déjà fini ? Onze seconde de film ? Mais…

Bon, il y a un problème ! Ce n’est pas vrai et nous qui tenions absolument à filmer cette descente. Mince ! Nous sommes déçus. Il y avait cette fameuse scène avec le chien qui…

Et une autre avec un chasseur qui ne nous avait pas entendu et que nous collions au train. Sans compter notre traversée du groupe de randonneurs avec une mamie qui a cru qu’elle allait se faire culbuter en plein effort. Nous l’avons rassurée en lui parlant gentiment. Nous ne sommes pas des brutes.

Nous étions résolus à filmer coûte que coûte cette descente. Nous avons fait demi tour pour refaire notre petit itinéraire. Nous faisions machine inverse, direction l’étang en faisant un petit détour dans une partie en single, toujours par souci de prendre de belles images. Au préalable, j’avais regardé que l’enregistrement était bien en fonction. Pas de souci, le grand cameraman n’avait plus qu’à faire parler son talent. (humm).

Nous contournions l’étang en prenant le petit sentier qui le surplombe légèrement, un peu plus haut sur le talus qui longe le chemin plus large. Ensuite, le reste du terrain n’est que grimpette. Cette portion de dénivelé positif fut l’occasion de rouler à vive allure Nono et moi. Personne n’a lâché. Nous sommes arrivés ensemble. Quel rythme, ouf, ça fait du bien ! Le but était de nous retrouver au début de notre reine de descente et de nous y laisser glisser comme dans un toboggan. Bref, nous faisions exactement le même trajet pour nous retrouver en bordure de nationale en ayant salué de nouveau notre bon vieux Saint Louis.

Vite, vite, visionnons le résultat. Ha, ça commence. Je vois mes mains qui préparent l’attirail. Ca y est on part. Non ? Mais …. Qu’est-ce qui se passe ? Dix-sept seconde de film ? Impressionnant ! Pourtant l’enregistrement était bien enclenché… Il y a un truc. Je regarde dans les paramètres et ….ouais, j’ai compris. Il y avait un arrêt automatique. Je le règle donc sur 5 heures. J’espère que l’on sera rentrés avant. (lol.

Par contre, la descente ? …Dommage, et tant pis, on va faire le secteur d’Etouy puis on verra.

Allez, c’est reparti. Je prends de nouveau les commandes. Je crois que Nono devait être impressionné par la caméra car il n’a pas daigné durant ces kilomètres passer aux avant postes pour mener la danse. Remarquez, je lui ai peut-être rendu le parcours difficile. Je n’ai pas ménagé mes efforts. Le grand plateau est de retour et ce n’est pas cette partie d’Etouy qui va me faire changer d’avis. Tiens encore deux vététistes au loin. Tiens des joggeurs, oups quelle foulée, je vous l’avait dit. Il y a des gars qui ont vraiment la forme.

On croisera encore un groupe de vététistes. Nous les avions vus tout récemment alors qu’ils montaient eux aussi la butte St Louis. Là, ils étaient arrêtés pour problème mécanique, dérailleur cassé. Ca redonnera des souvenirs à Nono. Dans le lot nous apercevions quelques maillots du VC Beauvais.

Retardés dans notre progression par cette mésaventure, je relançais sur la dernière section jusqu’au pont de la RN31. J’aime quand le paysage défile de cette façon. Plus le chemin est étroit plus nous avons l’impression de rouler vite. Allez, stoppons là et vérifions le résultat. Il ne s’agirait pas de se faire encore avoir.

Je rallume. Les mains qui tripotent l’engin, oh, mais, on roule ! Magnifique, ça y est ça marche. Je crois que nous avons cassé une petite graine en l’honneur de cet évènement

Le réglage est un petit peu bancal. Il va falloir régler l’inclinaison de la lentille. Enfin, nous avons quand même de quoi commencer un petit reportage.

Allez, on repart une énième fois. En avant tout, grand plateau, allez…

Sur l’allée large où nous nous élancions au temps jadis mais dans l’autre sens pour faire nos pontes de vitesse, nous remontions le faux plat à 26 km/h alors que le terrain était glissant et collant. Ce n’est pas grave, on y va.

Nous avons pris le trou façon terrain de cross pour le fun puis avons encore gaspillé quelques watts de jusque la passe aux animaux. Après, nous avons abordé la partie la plus boueuse de notre sortie, et encore, nous l’avons connu pire. En tout cas, des engins forestiers sont passés par là et ont fait pas mal de dégâts. Ce n’est pas trop top.

A l’issue de la longue ligne droite nous reliant à la route de l’ancienne gare d’Etouy, un mal de dos me pris soudain. Longtemps j’ai cru que c’était le fait d’avoir poser le placo plâtre qui était la cause de cette douleur mais en y réfléchissant un peu, je crois que c’est encore la maladie de malheur. Des symptômes bien connus me permettent de l’identifier. Enfin, c’est comme ça…Je reste solidaire avec Chris qui est privé de spad.

A partir de là, Nono fut une vraie maman poule. « Lolo, tu ne forces plus », « il y a une côte, tu moulines, petit plateau ». Oui, c’est bien beau, mais c’est bien connu, il faut souffrir pour être be…C’est en forgeant que l’on devient forgeron. J’avais trop l’envie de remettre le paquet mais je savais qu’il avait raison. Nous avons donc remonté bon gré, mal gré une énième fois. Une fois dans les sommets, nous sommes redescendue. Puis nous avons de nouveau remonté la côte où nous nous étions piqués une bourre. Cette fois-ci, le rythme fut modéré mais correct. Et c’est dans les dernier mètres que nous entendîmes : « paf ! ». Tiens, pas de chasseur ? Oh bon sang, c’est mon pneu ! Belle crevaison, moi qui ne suis pas coutumier de ce genre de plaisanterie. Je n’ai pas fais les choses à moitié. Le pire, c’est que je n’ai pas vu ce qui a pu m’occasionner une pareille aventure. En tout cas un beau trou dans ma chambre à air latex. A cela, on peut ajouter un flanc de pneu ! Et à chaque fois qu’il m’arrive ce genre d’ennui, c’est quand les feuilles dissimulent les obstacles. GNNNarF !! De GNNNArf ! Je remonte au classement de la pointe d’or.

On répare, et on repart.

Nous prenons pour la troisième fois de la matinée la même descente. On ne s’en lasse pas. Cette fois-ci Nono passe devant. Moi, moins en confiance avec un pneu moins bien gonflé, je le tiens en visée devant moi. Il s’est fait plaisir le Nono ! Belle descente !

Pas de Saint Louis cette fois-ci, nous passons derrière la station d’épuration puis allons vers La Rue St Pierre. Sur le chemin large tout en cailloux, je suis victime d’une perte de rendement la cause à un pneu de nouveau à plat. Pas assez gonflé malgré le peu de kilomètres restant à parcourir, j’ai du pincer la chambre à air. Ce n’est pas mon jour.

Je suis premier au classement de la pointe d’or. Mais il va falloir changer les règles. Il va falloir calculer tout cela au prorata du nombre de sorties. ((lol Non, allez, je m’incline.

Un ramasseur de champignons compatissait devant cette forfaiture. Cela nous permit de discuter un petit peu avec lui et d’admirer sa cueillette. Que des chanterelles, et un panier plein ! Du coup j’y sui allé l’après midi et j’en ai fait autant.

Que de haltes ce matin. Nous nous sommes remis en selle pour la énième fois. Et cette fois-ci nous ne nous sommes plus arrêtés avant la fin. Nous avons comptabilisés une montée supplémentaire.

Résultat de la sortie : pas de moyenne car je ne me suis pas donné la peine de remettre en place le capteur de mon compteur. Le but du jeu c’était la vidéo donc, pour le tout on verra plus tard. J’ai néanmoins pris les données gps.





Nous avons fait 32 kms pour un dénivelé positif de 503 m. Le résultat est plutôt moyen. Mais bon, globalement satisfait car avant le mal de dos et les crevaisons, le rythme était soutenu. Nous enregistrons les premières images de nos sentiers préférés.

C’est à rééditer.

samedi 15 novembre 2008

sortie dominicale

Bonsoir à tous

Demain je ne serais pas présent des fondations et de la charpente m'ont convoqués.

Bon chemin à vous tous.

Clément

jeudi 13 novembre 2008

sortie groupée

Deux jours de pose de plaques de plâtre m’auront retardé dans la sortie de compte rendu de sortie. Il me reste néanmoins assez de souvenirs pour pouvoir vous conter nos aventures de dimanche dernier.

La semaine passée, nous nous étions inquiétés sur le temps que nous aurions en ce jour dominical. Il est vrai que les bulletins météo qui se succédaient, racontaient presque toujours la même histoire, de la pluie, encore de la pluie et toujours de la pluie.

Contients de l’imperfection de ces estimations, nous nous sommes donnés rendez-vous chez Cédric à 8 h 45, sous l’impulsion de ce dernier (cf. mail de participation). Et nous avons eu grandement raison ! Le temps fut correct. Je dirai que ce fut très agréable de rouler dans ces conditions.

Je parle bien évidemment du ciel et de ce qu’il nous a offert car côté chemin, ce ne fut pas la même histoire. Le sol était gorgé d’eau. Ce n’est guère étonnant après les dernières pluies de la semaine dernière. Nous avons donc connu pas mal de portions avec ce mélange terre/eau. Par contre, je vous rassure tout de suite, rien de comparable par rapport au week-end passé à La Neuville ou bien à Amiens. Il faut dire aussi que la partie Ermenonvilloise nous a apporté quelques moments de pilotage au sec.

Mais revenons à l’essentiel ! Notre rendez-vous chez Cédric à cet horaire qui pour ma part est inhabituel, Nono et moi, nous l’avons même avancé. Nous nous sommes payés le luxe d’arriver 5 minutes plus tôt. Incroyable !
Déballage du matos, habillage, nous étions prêts ! Au passage, Nono m’a donné un splendide calendrier que lui avait donné Delphine, son épouse. Les gars pour s’entraîner l’année prochaine, c’est du tip top. Les photos sont de qualités et je pourrais noter mon kilométrage au jour le jour puisqu’il reste assez de place pour écrire. Tiens, au fait, j’oubliais…J’en ai déjà un que j’ai eu avec un magazine de Vtt. Ca va faire double emploi…. Zut. Tant pis !

Clément débarqua peu de temps après nous, frais et dispo comme d’habitude. Cédric le succéda. Nous prîmes ensuite la direction du point de rencontre avec les petits pères du VC Senlis.
Après plusieurs sondages dont nous connaissions par avance le résultat, nous nous étions mis d’accord pour participer à cette sortie en groupe. Nous répondions donc favorablement à cette sollicitation. Et il faut le préciser, avec plaisir !

Il est vrai que c’est sympa de retrouver d’autres vététistes comme nous, toujours prêts à sortir le spad le dimanche matin pour écumer les sentiers de nos régions. La passion commune crée le rassemblement.

Nous sommes arrivés au lieu du rendez-vous à l’heure. Neuf vététistes étaient déjà là. Puis un autre arriva, et encore un autre qui habite aux abords de l’impasse. Nous nous présentions tous un par un, n’oubliant pas de nous saluer. David qui était notre interlocuteur faisait un état des lieux. Nous étions tous là. Nous pouvions débuter notre sortie.

Plus tard en cours de route, nous apprenions qu’un autre vététiste s’était joint au groupe. Olivier avait appelé Le club du VC Senlis pour leur demander s’il pouvait venir participer à notre escapade. Convivial et ouvert, le club accepta volontiers cette participation.

Et ce fut un sacré client ce Olivier ! Vététiste dans l’âme, il n’a pas eu de mal à s’intégrer. Nul doute qu’il restera dans le groupe !

D’ailleurs, ces senlisiens sont très sympas. Nous leur devons une sortie. Et quand je dis une, c’est certainement plusieurs que nous aurons à leur proposer. Nous verrons bien, mais en tout cas, avant la fin de l’année, nous pourrons sûrement les inviter sur leurs propres terres mais en les guidant sur notre tracé.

Côté Vététeux, vous l’aviez bien compris nous étions quatre. C’est donc une joyeuse équipe de 15 bonshommes qui a cavalée en cette matinée sur les chemins de Senlis – Ermenonville.
Le départ et l’arrivée empruntèrent une portion bitumée.
Nous rejoignîmes assez rapidement la forêt d’Ermenonville. De longues lignes droites assez larges furent parcourues. Le terrain de la forêt malgré le sable tassé nous procure toujours cette sensation d’avancer au ralenti. Pourtant à plusieurs moments il eut fallu faire fonctionner les cuissots.
Ce fut le cas lors de l’ascension de la première côte où le groupe s’étira d’un coup. David et Olivier ont mené la danse. Un peu plus loin, mais pas trop, je suivais en compagnie de Stephano, le hollandais de l’équipe (enfin je crois…). Et Oui, le groupe du VC Senlis est assez cosmopolite. Américain, hollandais, français, espagnol (?) se côtoient pour rouler ensembles en harmonie. C’est vraiment cool.

Cette fameuse montée, nous la connaissons relativement bien. Avant d’avoir choisi de la contourner sur notre nouveau parcours, nous la pratiquions. Souvent, nous reconnaissions par séquence quelques hectomètres de ce tracé, puis nous le quittions, puis nous le reprenions. La grosse différence est que nous avons traversé la départementale reliant Ermenonville à Mortefontaine alors que nous nous contentons chez les vététeux de rester du même côté de la forêt. J’avoue, il me manquait un petit peu de jeu, un peu de technique, genre belle descente en pierres et racines pour s’y péter le radius et cubitus.

C’est donc dans ce secteur que nous y avons croisé des connaissances. Tout d’abord, Monsieur Hercelin qui suivait l’arrière train d’une joggeuse. Il avait l’air d’être assez concentré et ce malgré quelques traits de satisfaction et un regard un peu inoptique. Franchement, il est vraiment partout. Nous sortons à la Croix St Ouen, il s’y trouve. Ici, sur un chemin que nous n’avons jamais pris, il s’y trouvait. Un peu plus loin, nous saluions ces compères de sortie qui s’étaient arrêtés pour nous laisser passer.

Nous n’avons pas eu beaucoup de misères sur ce parcours. La mécanique a su rester fiable. Une seule crevaison a été enregistrée. Après une section de chemins entre les champs en entrant dans le bois, le fils de David du s’arrêter pour réparer.

Nous en profitions pour pique-niquer. Nono y fit une halte pipi. Une fois le soulagement opéré, il revint à son spad, adossé délicatement à un arbre. Mais quelle surprise l’attendait là ! Le spad avait changé de couleur et avait en plus perdu son amortisseur. Non ! Voyant la supercherie sur le visage de Clément, il s’avança vers lui, essayant de savoir où la bête de Lapierre avait bien pu être entreposée. Soudain, au loin, il l’aperçu. Et son minois alors, pris un large sourire de satisfaction. Il ne sait toujours pas si ce déplacement a été le fait d’une tierce personne (mais laquelle), si le vtt a eu besoin de changer d’air (pour éviter les effluves) ou s’il a malencontreusement oublié dans son action où il avait garé l’engin.

Un réel mystère …



Remis en selle nous nous élancions a tour de rôle. Rangeant l’appareil photos, je partis le dernier avec Nono, Fabrice. Benoît avait pris un peu d’avance. Malheureusement dans sa course, il fut stoppé net. Il rayonna en cette matinée en nous faisant un somptueux soleil, heureusement sans bobo.

Nous étions dans la partie du bois la plus boueuse. Quelques belles flaques ou marres furent évitées, d’autres pas du tout. Par contre comme je le disais au début, rien à voir avec le dimanche précédent.

Nous retraversions la départementale pour rejoindre les alentours du golf de Mortefontaine. Une belle descente technique fut dévalée. J’ai été victime d‘une mini chute dans cette portion. Alors que nous prenions une trajectoire différente Clément et moi, nos traces allaient se confondre pour n’en faire plus qu’une, un genre de « Y ». Il n’y avait donc pas la place pour deux. Par bonté, comme au poker, je me couchai. (Ouais je sais j’aurais pu trouvé mieux…). En fait, ma roue avant est partie sur une racine. J’ai donné un coup de frein pour donner la priorité à Clément et vl…. Pendant ce temps, Cédric cherchait à faire du kilométrage supplémentaire en feintant de s’être trompé de chemin. Le tricheur….

Nous longions comme d’habitude le grillage du golf pour ensuite entrée dans la portion de single track bordée de sapins. Honte aux forestiers qui y avaient abattu des arbres en y laissant « volontairement » traînées les branches au beau milieu du chemin. Il y a des gens qui ne respectent pas les autres, peut être pour protéger leur intérêts ou bien par pure mesquinerie. Enfin, c’est triste…

Nous sommes arrivés au pied de ce qui d’habitude entame une série de trois bosses. Là nous avons contourné la première par la droite et nous nous sommes éloignés pour nous orienter plus directement vers le chemin du retour.

Un petit décrassage eu lieu après une montée, à l’initiative d’Olivier. Le grand plateau venait d’être passé quand nous nous sommes arrêtés pour rallier toute la troupe. Nono était là à mes côté et Clément juste derrière.

A la voie romaine, nous faisions une nouvelle pose. Cette pose mis un peu plus de temps. Nous restions en place en train d’attendre une partie de l’équipe qui ne venait pas. Nous avons fait demi tour pour aller voir ce qui n’allait pas. Ayant remonté avec Clément et Nono le pentu, nous vîmes las autres arriver. Ils nous dirent au passage que Fred venait de perdre son disque arrière. Ce n’est pas courant comme panne.

La suite fut une rentrée vers Senlis plutôt sportive. Le grand plateau fut mis sans jamais être retiré. La vitesse sur route devait avoisiner les 35 km/h. Un train s’était mis en marche. Nono et moi y représentions les vététeux.

Au final, ce fut une belle sortie durant laquelle nous avons donc fait la causette avec nos compagnons de sortie et fait davantage connaissance. Le temps se prêtait à notre pratique sportive. Ce sport qui fut vecteur de rassemblement en ce dimanche matin.


La moyenne au compteur était de 19,4 km/h. Comptant l’aller-retour entre l’appartement de Cédric et le point de rendez-vous, nous enregistrions 44 bornes au compteur. Pas mal pour une sortie qui était compromise deux jours auparavant. Le dénivelé + est de 382 m.

La semaine prochaine nous devrions sûrement être à la Neuville, histoire de grimper un petit peu. On en rediscutera à l’occasion sur le blog.

dimanche 9 novembre 2008

Des achats groupés ?!

Bonjour a tous,

Avec la boue et le temps que nous affrontons, il faut maintenir le matos en état de marche.
d'ailleurs suite à la mésaventure d'un des vttestiste de Senlis avec son cadre; En lavant mon vélo cette après midi, j'ai démonté, les plaquette de freins pour voir leurs états d'usure, puis le bras oscillant du cube, pour vois si les axes n'étaient pas usés ou soudés dans le cadre. 
Des mauvaise langues diront, cela ne risque pas, pour user les freins et les axes, il faut rouler.
Mais me voila rassurer de savoir que les axes vont bien, qu'ils sont joliment glissé dans un beau roulement à billes et que ces même roulements peuvent tenir encore quelques mois alaise .

Par contre, les plaquettes de freins !!! il va y avoir urgence.
j'ouvre donc ce message pour grouper une commandes.
moi, il me faut donc :
2 jeux de plaquettes Hayes
1 transmissions (chaînes et cassettes, je pense que les plateau xt peuvent tenir)

A vous de donner vos Réf.

samedi 8 novembre 2008

ROC D'AZUR 2009 du 7 au 11 octobre



Alors on y va pour les inscription !!!

on en parle, et ca fait deja un mois de passer et toujours rien .

Je passe donc officiellement la demande : Qui vient au roc 2009 ?

pour le logement on vera plus tard ca urge moins , par contre le fait de s'inscrire des maintenant nous fera partir plus tot derriere les pros et nous laissera la chance de doubler ceux qui ont chuter gravement ;-))

l'inscription au roc est de 36€ +frais inscription et assurance annulation pour ceux qui le desire.

en meme temps que votre confirmation de participation redoner moi vos coordonnees ( adresse date naissance emel tel ...)

sept veteteux sont resté en memoire sur le site mais !! on n'est pas a l'abris d'une defaillance informatique............... je tairais le nom de l'absent ;-)

par courtoisie.

allez ! repondez moi au plus vite.

jeudi 6 novembre 2008

Les 100 Bornes d’Amiens

Les 100 Bornes d’Amiens

Est ben ouai les gars 100 Bornes en une seule sortie, ce n’était pas arrivé depuis un bail !!
C’est de bonne heures que le réveil sonna vers 6h45, ce dimanche matin 2 novembre.
Il faillait être motivé pour osé affronter les chemins de plaine arrosé de la veille.
Mais bon nous étions, Christophe et moi inscrit depuis longtemps.
Pas question d’abandonné en plus vu le prix de la participation, 18 euros, il faillait rentabiliser !!
Le départ de Villers ce fit vers 7h15, le ciel n’était pas très menaçant et la météo ne prévoyait pas pluie, Ouf car la galère de la flotte sur les 100 bornes, on en a déjà fais les frais, un lolo …………
Le rendez était donné sur le parking de Décathlon, départ de la rando 8h00 pétante.
Un énorme chapiteau était dressé pour l’occasion on ce serait cru a retrait des dossards du Roc d’azur !!!
Super bien organisé. Le tracé était affiché, aussi tôt j’allais voir ce qui nous attendait.
Le tracé descendait jusqu'à Poix de Picardie en passant par Conty donc de bois en perspective.
Il était déjà 7h50, juste le temps de préparer les spads et de ce présenter au départ.
Un petit briefing est la troupe de 600 vététistes s’élança.
Le mettre mot de cette rando était ne pas s’énerver et garder des forces pour la fin du parcours.
Les premiers chemins de terre étaient assez roulants, la pluie de la veille n’avait pas fait trop de dégât.
Les groupes commencés à ce formé au bout d’une vingtaine de kilomètre nous ne doublions personne et personne ne nous doubler. A croire que tous le monde rouler à la bonne vitesse.
Mais en fait c’est au bout d’un single track, assez sympa d’ailleurs, que toute la troupe devant nous s’arrêta.
Une grosse voix hurla « Y a plus flèche bordel, faut faire demi-tour !!!!!!!! », mais sur ce type de chemin s’était impossible. Tous le monde décida de couper à travers bois ou bout quelques centaines de mètre nous avons rattrapé le parcours OUF !!!. Il y avait assez de distance commence ça pas la peine d’en rajouter.
Le parcours commencé à être vallonné et les chemins devenaient de plus en plus gras.
Le premier ravitaillement approché 28 km de parcouru il était 9h30, heure à laquelle vous avez commencé à pédaler dans l’Oise il me semble.
Le ravito était copieux et l’assistance technique était présente pour les malheureux qui c’était embarqué avec un vélo mal régler ou mal entretenu !!
Bon 5 minutes de pause et hop c’était reparti jusqu’au prochain ravito à 58 Km.
Le circuit commencé à emprunter des routes bitumé en alternance avec des chemins forestier, chasse oblige !!
Du coup pas un clébard sur le parcours.
Les difficultés commencées à s’enchaîner les vitesses du vélo à Christophe commencé à merder, l’empêchant de monter les côtes a fort dénivelées.

Mon vélo ne merder pas trop, avec les Maxxix Medusa la boue ne s’accumuler pas trop sur le cadre.
Tous a coup au loin commencer à se dessiner une sorte de moto-cross, qui finalement s’avérerait être un terrain de cross. « Ils sont fou de ce temps là » s’écria Christophe, finalement ça passer pas trop mal, il ne fallait pas hésiter dans les descentes et garder la bonne trajectoire !!
Les côtes continué à s’enchainer de plus en plus raides, je ne pensais pas que ca monté autant si prés d’Amiens !!
C’est en haut de celle-ci que j’emmenais un petit groupe dans ma roue, après un virage des gars faisait le balisage, l’un s’écria « C’est bon ca c’est des vrai laisse les passé ».Sur le coup je ne comprenais pas, puis je vis en fait une grosse descente boueuse et plein de racine. Trop tard pour réfléchir j’étais déjà en bas !
Nous approchions du ravito au km 58 une petite pause, fromage, chocolat, coca, sandwich au jambon, cake, raisin sec…….. Je crois que c’est tous, un nettoyage sommaire des vélos et nous revoilà partis.
Les gars de l’organisation nous avez lâché quelques mots sur la suite « Monter-descente pendant 25 bornes, c’est les plus durs ».
Ils faillaient se motivé pour continuer de toute façon, nous ne pouvions pas faire demi-tour ni coupé.
Le terrain était vraiment défoncé et en plus les VTT passés avant nous avaient labouré les chemins.

Christophe profita d’un passage prés d’un étang pour y plonger son VTT, une bande de loustic bourrée à la kro
se demander ce qu’il faisait « Et vous allais saloper mon étang bordel » gueulât l’un d’entre eux. A les jeunes !!!
Nous approchions du dernier ravitaillement 78 km au compteur, on s’accrocha derrière un tandem jusqu’au ravito et rebelote fromage, chocolat, coca, sandwich au jambon, cake, raisin sec. Il restait encore 25 bornes à faire. Nous sommes repartis dans un petit groupe, Christophe s’était refais une santé et maintenant j’avais du mal à le suivre mais je m’accroché. Le parcours tiré a ca fin au total nous avons fais 108 km 1600m de dénivelé en 6h40.
Je crois que c’est la première fois que je suis resté aussi longtemps le cul sur ma selle !!!!!!!!
Un bon repas chaud nous attendait, blanquette de veau, salade dessert que du bonheur après une telle épreuve !!!

mardi 4 novembre 2008

Le Vélo Club de Senlis

Cette apparition dans notre Blog vaut bien un article !!!

Tout d'abord, Bonjour David, 

C'est avec plaisir que nous pouvons envisager une sortie ensemble sur Senlis, malgré ma faible endurance physique, je suis prêt a relever le défis d'une confrontation avec de nouveau VTTiste.
Je parle pour moi car les autres sont affûtés comme un vieil opinel de boys scout.

Avez vous du monde pour rouler dimanche ?
Notre point de départ est a coté de la gendarmerie.
Nous nous sommes sur des bases de 40 KM, nous avions l'habitude de passer ne centre ville, histoire de nous échauffer les guibolles sur les pavé de Senlis (sauf si c'est humide).

j'ai vu que vous partiez a 9h, les larrons venant de Beauvais et Clermont, je ne sais pas si nous pourrons être pile poile a l'heure.

Comment vois tu la chose pour ce jumelage ?
Nous nous serrons 5

C'est cool d'utiliser notre agenda sur votre blog, je te laisse la possibilité de rajouter des dates dessus, si des sorties dans la régions et VTT (car nous ne sommes que VTT) ne sont pas inscrites dans le calendrier.
les codes d'accès sont veteteux et veteteux.

Dans l'attente de te lire pour l'organisation de dimanche
A+

NB : ne pas oublier d'en parler à nono ou alors de lui imprimer la page et lui envoyer par fax 

lundi 3 novembre 2008

chiens-chiens

Les chiens-chiens ?


Oui-oui !


Mais pourquoi cela ?


Parce que tout simplement le record du monde a une nouvelle fois été battu. Rappelez-vous, la semaine passée nous avions également pulvérisé ce fabuleux record. Et nous étions loin de penser que nous pourrions un jour le battre une nouvelle fois. Quelle ne fut pas notre surprise !

Le nombre fatidique des 23 loulous a donc pris du plomb et c’était de circonstances puisque nous avons croisé bon nombre de chasseurs. D’ailleurs ces derniers nous ont bien aidé dans l’accomplissement de notre comptage puisque nos amis quadrupèdes les accompagnés la plupart du temps.

29 ! Retenez bien ce nombre car il s’agit Ladies and Gentlemen du nouveau world record ! Autant dire que le précédent a volé en éclats. Cela valait à coups sûr la peine d’être souligné et d’être mis en avant propos.

Pour le reste, la rando s’est bien passée. Vivement la semaine prochaine que l’on remette ça.

Ha, oui, j’ai peut-être oublié de développer un peu le fil de cette matinée. Ben, j’y vais donc…


Tout d’abord, je tiens à signaler que je détiens pour ma part le record d’arrivée à la bourre. Je viens d’en battre le top chrono. Décidément, que de scores tombent en ce dimanche. Je l’avoue donc, mais à l’insu de mon plein gré. Je suis légèrement arrivé à point nommé vers 9 H 15. Je ne suis pas coupable ! Je crois avant tout que ma voiture avance de moins en moins vite. Si, si …Si cela continue j’irais plus vite en vélo. Quoi que…


Cédric venait instamment de déployer son attirail. Il était presque prêt. Nono et Clément viennent compléter la joyeuse troupe. Clément enregistre donc sa troisième sortie consécutive pour la première fois de la saison ! Encore de la statistique battue !!! Incroyable !


Gps branché, compteur remis à zéro, top, on y va c’est le départ. Le parcours de ce matin allait sensiblement être le même que celui de la semaine passé, du moins jusqu’au Mont César. Le reste se fera sur les sentier à la différence d’il y a sept jours où nous avions été contraints de prendre la route pour tapis de sol.

En parlant de tapis de sol, l’un d’entre nous y a fait une belle roulade. Mais bon, sang, Qui cela peut-il être ? Voyons, il y a moi, non, non, je ne suis pas tombé. Chris, ha il n’est pas là. Il se rétablit car son dos ne l’a pas laissé tranquille. Il avale son traitement de choc.

Mince, Cela peut être Cédric car il y a de la boue, des marres et il aime bien ça. En plus, il ne doit plus avoir l’habitude de faire du vélo (lol)…… Non, le vélo, ça ne se perd pas !

Mince, ce serait Nono ? Nous sommes passé sur le petit pont, c’est vrai, mais bien après. Alors ? Si ce n’est pas nous, il n’en reste plus qu’un pour faire une clémentade ! Ben oui, c’est Clément ! Il a goûté aux feuilles bien fraîches et à l’humus très humide. Sacré lui ! Heureusement, il ne s’est pas fait mal.


Donc le parcours qui devait être plat, la vitesse qui devait être réduite, nous partions pour faire le plus grand nombre de kilomètres possibles. Cédric était notre indicateur de distance.

En revanche les conditions étaient du genre assez difficile, voir très compliqué. La boue était présente et nul chemin n’avait à nous offrir ce matin de parties sèches. Cédric avait eu le temps entre la veille à 00 h 30 du mat et son arrivée, de monter un nouveau train de pneus plus adapté au profil du terrain. Par contre l’un d’entre eux était tailladé. La crainte d’une crevaison planait au dessus de sa tête. C’est encore une idée d’investissement, après une fourche et une paire de roues, l’addition commence à gonfler. T’inquiète, bientôt il y aura un autre Cube. Tu n’auras qu’à peindre en noir les parties rouges et vice versa ajouter du rouge sur le noir, et voilà, l’échange standard pourra être fait.

En continuant dans les investissements, je vous le rappelle je suis banquier, La banque Chemin, et non pas la banque route… un autre peut envisager de s’acheter de la gomme. Et pas forcément pour la mâcher ! Clément s’est permis le luxe de rouler en Racing Ralph sur sa roue arrière, un pneu « terrain sec ». Tiens, tiens, il n’y aurait pas un lien de cause à effet avec sa chute ?

L’autre caractéristique de ce pneu est son fabuleux rendement. Sur ce dernier point, Clément n’avait pas besoin de cela car il revient très fort et très, très rapidement. Il va engranger en deux sorties un capital que j’aurais mis deux mois à me constituer. C’est trop’injuste …

Trop de facilité !


Question rendement, Nono à contrario semblait en avoir perdu. Tout du moins, il était handicapé par une main encore souffrante et douloureuse. La veille, il venait de se la transpercer avec un tournevis. Il me décrivit la situation apocalyptique dans laquelle il se trouvait au moment où son sang giclait à en repeindre les murs de la maison. Pile poil au moment où nous l’avons appelé.

Il ne prenait donc pas en permanence la tête du convoi mais par intermittente. Heureusement ! Sinon, mon bon Cédric aurait souffert. C’est à tour de rôle que nous passions devant pour assurer la continuité de cette sortie. Les vététeux sont solidaires.


Le Mont César se profilait donc à l’horizon. L’ultime difficulté de cette journée, hormis la boue.

D’entrée de jeu, Nono pris l’initiative. L’impulsion était trop forte, je ne pu m’accrocher. Je n’ai même pas cherché à le faire. En revanche, à la surprise du chef, Clément resta dans sa roue. Ils partirent donc tout deux avec quelques dizaines de mètres d’avance.

Cédric monta à une cadence plus dans les moyens du jour. D’ici un mois, ça ira mieux !

Dans le deuxième virage, Nono commença à décramponner Clément. Je gardais la distance ou plutôt j’avais tendance à la réduire un peu sur ce dernier. Nono prenait une dizaine de mètres d’avance sur Clément. Je revenais. Plus que cinq mètre entre lui et moi, allez, il faut s’accrocher.

Dans le dernier raidillon, Clément me sentant sans ses basques, se mis en danseuse pour donner un dernier coup de collet comme pour achever la bête. Mais la bête, elle est résistante, et je parvins à le dépasser. Ouf, que c’était dur et in extremis ! Il m’en fait déjà voir !

Dans la foulée, en pleine aspiration, je fis l’intérieur à Nono qui ne pu réagir, certainement surpris de me retrouver à ses côtés. Hein Nono ? Tu ne nous attendais pas, c’est pas vrai. Faut pas mentir sinon ton spad il va s’agrandir et tu ne pourras plu monter dessus. (lol.

De toute façon, le week-end prochain, c’est Clément qui sera devant. Quelle misère !

Nous prenions ensuite notre casse croûte au point de vue habituel en indiquant précautionneusement à Cédric où il ne fallait pas s’asseoir. (si vous voyez ce que je veux dire…)

De là, nous virent en contrebas, des chasseurs (avec trois chiens) qui firent feu sur un faisan. Pan-pan, pan-pan, pan-pan. Six coups et l’animal ne perdit pas une seule plume.

L’heure de repartir a sonné. Nous passions à proximité de l’abbaye de Froidmont pour remonter ensuite vers le Gr. Là Cédric connut une extinction violente. 28 kilomètres passés, l’homme était mort.

Toujours, ce que je dis : c’est 35 kms par temps sec, 25 en conditions difficiles. Après,…. Ça se complique.

Nous étions justement en train de parler du dernier film sur Mesrine quand Cédric se pris son coup de poignard. J’entrepris de le pousser un peu pour l’accompagner dans l’effort sur cette côte plus longue que violente mais qui parait interminable quand on est mal. Clément et Non prirent rapidement le relais. Je n’eu alors qu’un rôle d’observateur. Impossible d’aider ! Impossible de passer sur les côtés.

Mais encore par solidarité, je me sacrifiais en prenant tous les risques et en passant en hors piste pour aller gratter le nez à Nono victime d’une cruelle démangeaison. Il ne pouvait agir car une main accompagnait Céd alors que l’autre dirigeait le cintre. Il s’en passe franchement des choses sur ces chemins picards. De quoi écrire des…résumés.

Les derniers mètres pentus arrivèrent. Ce fut l’occasion à Clément et Nono de se tirer la bourre une nouvelle fois. Trop véloces, les compères ! Je reste donc avec Cédric et par générosité je le mis à terre ou plutôt je le fis tomber. Pour qu’il se repose bien sûr !

Ma roue arrière a du te percuter, je n’ai pas bien vu (°I°).

Il fit une prière en signe de salut, tourné vers la Mecque, puis repartit.

La fin du parcours fut animée sur la dernière ligne droite qui nous amenait au carrefour du magasin. Nono voyant Clément qui avait pris de l’avance me dit de lui mettre la pression.

Grand plateau, jarret comme des poteaux, les gaz furent comprimés. La réaction de Clément fut immédiate il tentait de s’échapper. Je restais derrière lui. Impossible de le dépasser et pourtant j’y ai mis du cœur. Les flaques d’eau n’ont pas été évitées. Le chemin n’est franchement pas assez large et Clément prenait des risques maximum. Juste après avoir franchi la route avant d’arriver au terrain de jeu devant le parking, il me fit une peur qui m’en coupa les guiboles. Il parti en glissade des deux roues et je voyais déjà le gadin magistral qui allait arriver. Heureusement, il n’y eu plus de peur que de mal.



Au fait, j’ai oublié de vous dire que Nono et moi étions tout mouillés. Surtout au niveau des chaussures ! On n’y peut rien. On aime bien jouer à l’eau. Et que je t’éclabousse par ci et que tu m’éclabousses par là. Nous attendons la neige avec impatience…

Au finish, 33 kilomètres furent avalés et 355 mètres de dénivelé +. C’est peu mais pour Cédric c’est déjà beaucoup. Pour une première c’est pas mal.



La semaine prochaine nous comptons donc sur toi pour récidiver. Tu n’as pas fait tant d’efforts pour les gaspiller. Un capital est déjà acquis. Il faut maintenant le faire fructifier.

Le rendez-vous est donc fixé à Senlis pour aborder des tronçons plus secs (mais pas forcément plus roulant).

Tiens au fait, une nouvelle voiture, ça s’arrose…

samedi 1 novembre 2008

Pommard en bouteille


Eh voila 1h10 et 211 bouteilles enboiteillées, 1 de cassée et 1 moitié déja dans nos gosier !!!



Fabrice, 42 bouteilles t'attendent à Senlis.

Maintenant, Ta particiaption à la mise en bouteille:
Dans tes cadavres de bouteille du boulot, tu dois trouver une bouteille de la forme de la bouteille de pommard, avec une etiquette qui se decolle facilement au contact de l'eau.
Une fois la bouteille trouvée, tu recherche ses petites soeurs.

Attention, la famille est trés nombreuse, entre 150 et 200 bouteilles.

Clement passera les chercher prochainement

2 eme RAID

2 eme RAID

Voici un petit résumé du week-end dernier.

Tout d’abord nous devions partir au alentour des 14h00 car le rendez était fixé à 16h45 à Hirson ( 145km de route ). Mon beauf comme a son habitude ce pointe à 14h30 ( ça me rappelle quelqu’un !!)
Donc branle-bas de combat il a fallu charger tout le barza dans la super 5 , 2 VTT, la tente les duvets, les matelas les sacs, la voiture était pleine.
Départ 14h40 pour un peux plus de 2 heures de route.
Nous en profitons pour faire le point sur le déroulement des épreuves, alors au menu nous avons pour le soir :

2 km de course à pied
4 km de canöé
12 km de Run & Bike
7 km de course d’orientation
12 km de VTT
Escalade
Tir a l’arc

Nous étions impatients de découvrir le site sur lequel nous attendais toutes ces épreuves !
Ce fut chose faite, au bout de 2h05 de route nous sommes entrés sur une petite route de foret, qui n’arrêtait pas descendre. C’est alors que nous apercevons un camping et des VTT dans tous les sens. Après s’être garés tant bien mal entre les voitures nous nous sommes mis à la recherche du départ pour retirer les inscriptions.
Après vérification nous étions bien inscrit, équipe 44 sur 70. Un rapide calcul, 140 concurrents sur la ligne de départ.
En regardant autour de nous la tranche d’age ce situé plus vers les 25-30 ans, quelques féminines des équipes mixtes.
Le briefing commença afin de nous expliquer le déroulement des épreuves.
Pour la première épreuve nous devions embarquer dans des camionnettes pour nous rendre sur le site de canoë.
La bas le départ fut donner il fallait courir 2 km avant de monter dans les canoës.
Montre GPS au poignet toute la troupe partis au sprint, nous étions sur le point d’atteindre les 2 Km mais pas la moindre rivière a l’horizon, je compris tout de suite que la distance avait certainement doublé. Pas manqué 4 km au lieu de 2 Km ça commence bien !!!
On empoigna un canoë et nous voilà partis, la rivière étais très sinueuse au bout de 5min will me cria « Et Merde le canoë est dans le mauvais sens !!! ».
A la première occasion will sauta du canoë pour le remettre dans le bon sens.
La nuit commencé a tombé et des nappes de brouillard ce formé au dessus de l’eau. Nous continuons à avancer dans la peine ombre lorsque qu’un gars au milieu de l’eau nous fis signe de bien diriger le canoë, il y avait une petite marche d’un mètre à passer.
J’ai pris la vague de plein fouet jusqu’aux cuisses. Au moins c’était clair je savais que nous allions passer la soirée avec les pompes trempé !!!!
L’arrivé du canoë se fut au bout de 50mm pour 5 Km.
Il fallait maintenant chercher le VTT SCOTT pour enchainer le Run & Bike.
Un petit ravitaillement et nous voilà partis moi sur le vélo et will à la course, il faisait nuit noir a la sortis du village. Nos lampes frontales éclairer a peine a 5-6 mètres, c’était un peu juste pour le vélo mais en course à pied ça suffisait.
Nous commencions à enchaîner les relais et le bouillard commencé à tomber sur la forêt.
Au bout de 14km l’arrivé commencé a approcher au final 15km de Run & Bike au lieu des 12 de prévus !!!!
Maintenant il faillait enchaîner sur la C.O avec 8 balises a trouver sur un trajet de 7 km( au plus court !!).
Will compter sur mon sens de l’orientation et de la manipulation de la boussole ( Merci les scouts ) pour nous orienter.
Les 2 premières balises ont étais facilement trouvées.
La 3 ème était situé le long d’une rivière, le plus court était de longer celle-ci.
Pas une super idée, nous avons étais obligé de traverser la rivière de la flotte jusqu'à la taille !!!!!
Nous progression jusqu'à la septième balise toujours dans l’obscurité et le brouillard dense.
Nous avons dut tourner environ 30min a la recherche de cette satanée balise au final nous sommes arrivés au camp de base ou la dernière épreuve nous attendais.
Enfin l’épreuve de VTT, le départ commença par une longue montée et déboucha sur un large chemin forestier. Au bout de quelques kilomètres et plusieurs carrefour de passés, aucun fléchage n’apparu, ben nous étions perdu sans carte, ni point de repère, la seule solution revenir au point de départ. En fait nous avons loupé la flèche en haut de la première côte résultat 5 km pour rien !!
A partir de la nous avons fait bien attention au fléchage, la forêt était vraiment dégelasse, de la boue dans tous les chemins avec la lampe frontale on y voyait rien du-tout. La prochaine fois j’équipe le vélo de véritable lampe !!!
Nous avons tournais dans la forêt pendant 2h20, dans le noir la notion du relief et très difficile a percevoir juste les jambes pour nous dire si ca monte ou sa descend.
Résultat 23km en 2h20 la pire moyenne de toute ma carrière de vététeux.
La dernière épreuve nous attendais nous sommes arrivé sur le site d’escalade à 1h00 du matin, il fallait monter une paroi de 10m. Avec les pompes détrempées et la fatigue ce n’était pas évident.
Une petite épreuve de tir à l’arc pour clôturer cette soirée résultat une flèche dans le mille et les deux autres dans le 1 er cercle.
Il fallait encore faire 6 km pour rentrer au camp de base.
Finalement nous sommes arrivés vers 1h45, une bonne douche était la bien venu mais gelé plus une goutte d’eau chaude à 2h du mat dans le camping la galère continuée !!!
Une bonne dose de pate était servie avant d’aller faire dodo.
Un gymnase en guise de dortoir était prêté par la mairie 3 heure du mat plus personnes.
Réveil a 7h30 direction le camp de base, les résultats de la veille était affiché nous étions en 20 éme position !
Un petit déjeuner copieux était le bien venu avant les épreuves du matin.

Au programme :

500 m de course à pied
6 km de canoë
6 km de course a pied
30 km de VTT
8 de Run & Bike

J’avais les jambes en compote, le départ fut donner à 10h00, 150 bonhommes se ruèrent sur les canoës, c’était plus agréable que la veille, on peut voir le paysage autour de nous !!
Après 1h15 de canoë et 6 km de parcourus, l’épreuve redouter du matin arriva LA COURSE A PIED , au bout d’1km mon genoux me faisait horriblement mal.
Obliger d’abandonner sous peine de ne plus pouvoir faire sport pendant au moins 3 semaines.
Dommage j’aurais bien voulu aller jusqu’au bout de ce raid !!
Si vous voulez voir des photos voila le lien

http://www.thierache-sport-nature.com/

Au final une belle expérience mais vraiment dure.