mardi 16 juillet 2013

Allons enfants de la patrie....

et le jour de gloire est arrivé. Formez les bataillons...Heu, là il y a un problème chef !

Il n'y a personne ! Ha, Et bien il va falloir ruser pour vaincre les ennemis ! Allons sur le Ventoux pour avoir une meilleur vue et pour se créer du dénivelé positif. Et si l'ennemi est positif ? Heu, là c'est un autre débat !



Soldat Niko devait être présent mais au rendez-vous de 8 h 30, no body in the house...or in the shop.

Même ma voiture et mon spad ont attendu Niko, mais ce fut peine perdue.



Avec Nono, on prit donc la poudre d'escampette. Aujourd'hui, au programme, nous devons rejoindre le bois des côtes. Ha, ha , ha, pas évident....mais si, nous l'avons déjà fait alors...

Nous sommes partis direction le Village de La neuville avec pour but de passer par la passe aux animaux.
Ce fut notre point de sortie de la forêt de Hez. De là, nous pouvions ensuite rejoindre Ronquerolles.

Premier coup de cul dans ce bled. Plus loin Nono aperçu des serpents sur le chemin. En fait, il s'agissait d'orvets qui avaient trépassé. Pauvres bêtes ! Ceux-là ne pourront plus défiler.

Bref, en sortie de chemin, nous eûmes une bonne portion de route avec la montée du Haras de Fitz-James pour aller au village des Nacots, pour ne pas le nommer.

Nous avons pris la grimpette proche des parents à Vivien. En fait, ce n'est pas vraiment une côte comme on les aime. Bien trop courte la vilaine. Étant gamin, elle me paraissait rude.

Sur la route d'Erquery nous arrivions en haut de la rue Jean Jaurès, quelle belle rue ! Mais nous tournions sur notre gauche sur le chemin à Duchemin... nom du gars qui habite par là. Nous y avons croisé Madame (elle a pris un rude coup de vieux ! Enfin, comme nous tous ^^)

Passage ensuite par le point d'accroche de Cédric. Il me semble que c'est par là un jour qu'il a décidé d'embrasser les barbelets... me trompe-je ?

Nous frôlions l’hôpital psy. Pas question d'y laisser Nono ! C'est un rude soldat et j'ai besoin de lui ^^ Même si je le jugerai fou pour rouler comme ça ! Tenez, en parlant de rouler, Nono est bien évidemment toujours au dessus du lot. Mais en plus, par ces jours de beaux temps, il s'est mis à rouler la semaine...Et moi alors ! Pas de pitié ! Je n'ai pas roulé la semaine passée et en plus je fixe pour ce dimanche un parcours exigeant avec du kilométrage et du dénivelé.

Bon, le plus, c'est que je trace la route donc il ne peut pas s'échapper.
En revanche, pour dimanche prochain, je crains le pire.

Dans mes connaissances lointaines, je me rappelle que nous devions passer derrière BASF pour prendre les sentiers parallèles à la RN31. Mais, ho surprise !  Pas possible d'y aller ! Un C.. nous a foutu une déviation en plein milieu de notre chemin. Allez, nous faisons demi-tour.

Bon gré mal gré, nous y arrivons en prenant deux ronds points. Magnifique ! Du tout terrain !

Heureux d'avoir retrouver le fil de la sortie, nous comptions donc maintenant prendre une bonne portion en quasi ligne droite jusqu'aux abords de Sacy pour hop, grimper dans le bois des côtes. Patatrac ! Impossible, plus de chemin ! Le champ a poussé par dessus et dire que nous manquons de blé... moi je dis, le problème, c'est que nous manquons de sentiers ! C'est la crise !

Reprenons nous, c'est le 14 juillet ! gardons le moral ! Où est la bastille ? 

Ha, une sortie...pour rejoindre l'entrée de Nointel. Bon, et bien l'option d'aller dans le bois va arriver plus tôt que prévu.

On prend tout droit et bim, voilà une belle mémère à grimper. Finalement, cela rajoute une côte au parcours. Vin diou qu'elle est longue. Je ne me rappeler plus que les côtes ici sont interminables ou bien raidos ! Ou bien les deux ^^

Bon, l'ascension s'est bien déroulée. Nous arrivions sur les hauteurs du plateau du bois des côtes. Nous sommes allés jusqu'à la Demi Lune avec une belle ligne droite à travers bois de plusieurs kilomètres. Il y avait encore quelques marres par endroit mais facilement évitable en passant sur les côtés.



Nous sommes redescendus par la carrière. Une bonne série de virages dans la partie boisée et une belle ornière creusée par les eaux ruisselantes dans la descente à découvert  pour atteindre le bas.

C'est fun comme bois !

Nous devions maintenant filer jusqu'à la première montée à l'entrée de Sacy en laissant à contre cœur tous le dénivelé + qui se présentait sur notre droite. Il y avait pleins de chemins plus beaux les uns que les autres partant vers les hauteurs.

Bon tant pis de toute façon ce serait une mauvaise idée car après tout cela nous devrons rentrer et ce n'est pas une partie facile. J'avais prévu 4 montées sur le chemin du retour après le bois des côtes.

De la montée, en voilà. Nous prenions donc encore une longue portion en dénivelé positif. Nous y croisions un 4 x 4 qui se garait pour nous laisser passer. Sympa le gars !

Une nouvelle fois en haut, nous n'allions pas redescendre tout de suite. Nous profitions encore du bois en prenant une nouvelle ligne droite nous dirigeant vers la route de la Demi Lune. 40 mètres avant celle-ci, nous prenions à gauche pour redescendre à Labruyère. Elle se descend en deux fois, la route de Labruyère devant être traversée. Cette mémère dans l'autre sens, c'est de la dynamite !

Enfin, de la dynamite nous en avons eu en grimpant. Nos cuissots prêts à exploser ! Cette dernière était super raide ! ouf ! Sur la fin, il fallait jouer un rôle d'équilibriste car une ornière bordait une bande de roulement pas très large. Puis quand nous l'avons quitter, nous devions encore gravir une portion de route. La pause casse croûte était donc bien méritée.



Sur le retour vers Liancourt, nous abordions le single super sympa. Les réjouissances furent interrompues avec un arbre couché sur le chemin. Puis plus loin, nous en avions encore un autre. Pour arranger le tout, quelques branches venaient de temps en temps nous gêner à hauteur de visage sur notre passage.

Le single achevé, nous sommes passés à côté de la carcasse d'une deuxième voiture brulée. la première ayant été croisée dans notre dernière ascension. Le quartier est super mal fréquenté ! On dirait qu'il y a eu la révolution ^)).

La Bastille n'est pas loin non plus avec la maison d'arrêt à quelques centaines de mètres.

Courage, fuyons ces lieux !

Descente, et voilà, nous passons par notre dernière portion de route entre Liancourt et la sortie de Rantigny. Petite passerelles au dessus de la voix ferrée au niveau de Rantigny. Les virages y sont assez courts et ils nous obligent à les passer au ralenti. Donc sur l'asphalte, nous avons roulé au train.

Nous quittions le grand plateau pour gravir la pente de l'autre côté de la butte de KUOM. Puis nous longions vaux par les hauteurs. Je sentais que l'énergie diminuait...enfin, il me restait la réserve donc je pouvais rentrer.

Au bout du chemin de plaine, au niveau de ARS, nous descendions dans VAUX pour ensuite remonter aussi sec. Il est bien mon parcours ...Allez, courage ...

Petite portion de plat avant de redescendre pour partir vers Neuilly. Dans un chemin herbeux, nous rencontrions une mère avec sa fille puis, sa fille uniquement.
La mère a plongé la tête la première dans le panier de son vélo, broutant l'herbe du sentier ensuite. Se relevant, un peu vexées, elle se mit à crier après sa pauvre gamine qui "elle" tenait la route. Enfin, bonjour Madame, au revoir Madame. Mes amitiés à votre vélo...

Le secteur de Neuilly évacué, nous devions prendre une belle montée super raide. Et bien nous devions seulement. Je préférais assurer et court-circuitais cette difficulté. Pour le coup, cela aurait pu en être une !

De toute façon, il était convenu de faire une montée/descente/montée dans la foulée. La première montée c'était pour le fun car elle est physique et nous met au défit. La seconde était finalement notre dernière portion de dénivelé positif. Fini ! Pour nous le plus dur était derrière nous.

En revanche, il faut quand même rallier le carrefour du magasin. Nono devant, j'essayais de m'atteler à ses basques mais la tâche était ardue !! Enfin, ma réserve a tenue le coup mais j'avançais tout de même moins vite sur la fin.

La sortie fut achevée avec 60 bornes au compteur et un  peu plus de 800 m de dénivelé. C'est pas si mal.

En revenant de Cambronne nous aurions pu croisé Niko qui n'avait pas vu l'heure avancée du départ mais nous sommes rentrés par un chemin différent du sien. Dommage ! Cela aurait pu être marrant!

Au fait, nous n'avons finalement pas entendu mugir les féroces soldats...à part la mère qui incendiait sa mioche )).









4 commentaires:

  1. Dimanche prochain, nous faisons la sortie à Pontpoint. C'est la Rando des hautes futaies. 50 bornes.

    Niko et Nono ont déjà prévu de venir chez moi à 8 h 15 pour partir ensemble.

    Y aura t il quelqu'un d'autre ? Clément tu fais quoi ?

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  2. Je vous retrouve à. Pont point quelle heure ?

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