Oui, le froid s'est joué de nous dimanche dernier. Il a mis a
rude épreuve notre volonté de sortir notre spad mais en vain.
Dimanche j'étais présent !
Lorsque je suis arrivé il n 'y avait nul vététeux au
magasin. Il y avait bien un gars qui avait sorti son vélo et qui
semblait se préparer.
Je décidais donc d'attendre un peu.
Le soleil était là mais il était bien seul, tout comme moi. La
température environnante pointait à -3°c.
Passé un certain temps, je voyais l'autre vététiste ranger une
à une ses petites affaires. Il était méticuleux le bougre.
Puis il pris son VTT et enleva les roues toujours aussi
soigneusement. Peut-être avait-il des craintes de le briser à cause
du froid ??
En tout cas, le matos et le spad tout entier furent ingurgités
par le coffre de la voiture et ils disparurent de l'horizon.
Bon, et bien je suis tous seul maintenant !
Allez, tans pis, je ne suis pas venu pour rien, je vais y aller.
Une petite voix me disait cependant : « mais non, il fait
froid. Tu vas attraper la mort, n'y vas pas ! »
Brrr, Ça me glace, d'entendre ça !
Allez, je tranche, on y va !
Et je me prépare quand vint le moment où je me rendis compte que
j'avais à ma disposition une belle paire de gants....courts.
Miséricorde !
Si je me lance comme ça, en moins de cinq minutes je perds mes
doigts.
Je repense soudain qu'il y a une solution de secours. En ce
moment, je laisse dans ma voiture une autre paire de gants bien
adaptées aux conditions climatiques du moment. Des gants de ski
quasiment ! Ouf, je suis sauvé !
Je les enfile et brrr, on y va.
Petits tours de roues en moulinant pour commencer. On continue sur
un petit rythme puis je me laisse prendre au jeu. Vram, grand
plateau, on avance. Et les hectomètres défilent.
La sensation de froid est bien là mais cela va encore, sauf pour
mes oreilles.
Fichtre, bon sang que ça gèle ces p'tits bazars d'écoute !
Plus le temps passait et plus la sensation de piqûre à vif se
ressentait.
Une piquette, on appelle cela !
Il ne faut pas trop y penser et continuer. Je vais aller chercher
des chemins plus abrités pour me protéger du vent. Et je vais même
grimper un peu pour casser le rythme et y aller en mode petite
vitesse.
Et bien ça a marché !
J'ai progressé encore et encore et puis encore encore. J'en
profitais au passage pour analyser les secteurs qui seraient propices
à la pousse de champignons de printemps (si vous voyez ce que je
veux dire...). La vitesse ne fut donc pas excessive à ces endroits.
Il fallait garder le coup d’œil et analyser.
J'ai croisé quelques groupes de marcheurs mais très peu de
vététistes. Il y en eut quand même mais ils furent très rares.
Le terrain était très...comment vous dire... craquant.
D'ailleurs, sous mes roues, les Crrrr, ont fait fuir un sanglier qui
devait somnoler dans un fourré de ronces. Mince, le pauvre, j'avais
croisé des chasseurs il n'y a pas si longtemps. Zut ! Enfin, je
pense qu'il a su se cacher de nouveau car je n'ai point entendu de
coups de fusil.
Faisant un moment du hors -piste chemin, je vis aussi deux
chevreuils. Puis un peu plus loin, j'en apercevais encore deux
autres. Décidément, dame nature ma gatte !
Oh, un beau lièvre ! Tout raide ! Il était mort le
malheureux. Un vrai lapin en gelée !
Je me rapprochais inexorablement du parking.
J'avais une sensation du devoir non accompli. La petite allure que
j'avais prise me laissait plein de remords, me laissant penser que je
n'avais sûrement pas fait assez de kilomètres.
Je décidais donc de prolonger encore un peu l'aventure.
J'empruntais cette fois-ci un certain nombre de chemins qui
avaient servi de passage à la randonnée du dimanche dernier. Des
traces de craie étaient encore bien marquées.
D'ailleurs, je plains les vététeux qui se sont élancés sur ces
sentes car vu l'état de dégradation avancée à cause de la boue
cela devait être un véritable périple. Les cuisse ont du bien
morfler.
Pour ma part je n'ai pas rencontré de boue tout du moins pas
avant les derniers instants de ma sortie. Le dégel faisait son effet
malgré que la température ne soit pas supérieur à 0, 1 degré.
Seuls les rayons du soleil bien appuyés servaient de réchaud sur
ces tronçons.
Je voyais les ornières qu'il y avait au sol. Je n'avais pas eu de
difficulté majeure jusqu'à ces passages de boue congelée. Compte
tenu du terrain dur, c'était même plutôt facile de rouler ce
dimanche, comme sur des chemins secs en plein été. Heureusement il
y a Findus ! ^^
J'en reviens à ces passages de boue cristallisée. C'était casse
pattes plutôt qu'autre chose et il fallait jouer les équilibriste
et apprenti cascadeur pour les franchir. Cela aurait pu faire mal au
dos avec toutes ces vibrations. Merci le tout suspendu !
Je suis arrivé à ma voiture à 11 heures 40. J'ignore combien de
kilomètres ont été parcourus.
Peut-être une vingtaine ?
Cela fait du bien de s'oxygéner un peu même par ce froid.
La semaine prochaine je serai certainement là encore et les
températures devraient être bien supérieures.
Bonne lecture et à bientôt.
Nono, Cédric, Christophe, Clément, Fabrice, Lolo, Nico, Niko, Vivien et Eric forment le groupe des Vététeux
mardi 27 février 2018
dimanche 25 février 2018
stat du 25 fevrier
Apres avoir renoncer à 9h , je me decidait à sortir vers 10h30 pour 1h de velo
il faisait encore -1°, et il y avait du vent du nord brrr
petit tour par le bois d'etouy, remontée par le parcours de la semaine derniere derriere l'etang de la neuville, passage par le magasin ou j'ai apperu un berlingo familier vers 11h15?
est exact lolo ?
ensuite retour sur boulincourt par l'etang de la garde.
rdv dans 2 semaines, vacance oblige.
dimanche 18 février 2018
sortie montagne chatel
Comme nous l'avons evoque ensemble ce matin, nous projetons une sortie montagne au moment de la passporte du 29/06 au 1/06
au nombre des interresse, il y aurai Niko, Chris, Clement, Nico, le nono il reflechi
Qui d'autre ?
la montagne c'est ca
de beau paysage
de beau bike park
apres l'effort le reconfort
et des soirée legeres...
Nico, renseigne toi pour le logement de fred
a+
ballade en foret de froidmont du 18/02
participants: Niko, Nono, Nico,clement et chris
météo : ensoleille -2° 8°
terrain : gelée et roulant puis collant
distance : 40 kms ( sauf moi qui me suis arrete à boulincourt )
moyenne 13 km/h
denivelée : la mienne 465 m+, je pense 100 à 150 de plus pour les autres s'ils ont fait le parcour en entier ??
evenement: rien de particulier hormis que nico ai toujours la forme en montée et que moi j'y ai encore beaucoup de mal, la reprise est difficile.
A la semaine prochaine au magasin
météo : ensoleille -2° 8°
terrain : gelée et roulant puis collant
distance : 40 kms ( sauf moi qui me suis arrete à boulincourt )
moyenne 13 km/h
denivelée : la mienne 465 m+, je pense 100 à 150 de plus pour les autres s'ils ont fait le parcour en entier ??
evenement: rien de particulier hormis que nico ai toujours la forme en montée et que moi j'y ai encore beaucoup de mal, la reprise est difficile.
A la semaine prochaine au magasin
mardi 13 février 2018
Un air de jeux Olympiques
Nous n'étions pas à PyeongChang mais les rois de la glisse
étaient bien présents à La Neuville au carrefour du magasin, l'un
des point culminant de ce site où le sport d'hiver est
vraisemblablement roi en ce dimanche.
Tout a commencé sur la route du lieutenant où je croisais avec mon véhicule à moteur une troupe de trois vététistes qui allaient en rejoindre un quatrième égaré dans la froidure hivernale.
Ces trois lascars étaient Chris, Nono et Clément et le skieur nordique égaré était Niko.
Ils ont été surpris d'en voir un cinquième débarqué tout schuss.
Armés de nos bobsleighs, enfin je veux dire de nos spad light, nous étions parés pour affronter les éléments.
Et c'est d'abord par l'épreuve de patinage sur glace que nous commencions notre périple. Nous reprenions donc la route du lieutenant recouverte à 80% par de la glace olympique. Ce ne fut pas une épreuve de vitesse qui était organisée en ce lieu mais bien de l'artistique tant le numéro d'équilibriste jouait un rôle important dans notre tenue de route.
D'ailleurs de temps à autres, nous nous laissions surprendre par une petite glissade maîtrisée.
Vint ensuite le moment de rejoindre notre égaré du jour que nous apercevions au loin sur cette même route. Une fois le groupe réuni dans son intégralité, nous partions vers des sentiers plus engagés à la pratique du ski de fonds, et du vrai !
Enfin, c'est ce que nous avions cru car bien vite la neige avait laissée place à de la boue qui se laissait projeter sur les montures et les bikers des arrières postes.
Puis les premiers tronçons de poudreuse apparurent. Houlala, que c'est dur de progresser ! Le gros contraste c'est que c'est à la fois beau, que nous sommes contents de rouler sur ce terrain métamorphosé avec cette matière inhabituelle mais que c'est aussi très compliqué de s'extirper des pièges qui nous sont indirectement tendus. Je ne parle pas seulement des glissades qui peuvent être provoquées, des éléments cachés sous cette blancheur. J'évoquerai la difficulté de pédaler dans ce manteau blanc qui provoque une bonne résistance à notre progression.
Pour certains anciens sportifs n'ayant pas pratiqués depuis un certain temps, ce n'était pas évident. Mais j'ai cru comprendre que c'était également tout aussi difficile pour les autres.
Enfin, tout est relatif car lorsque nous avons vu Clément mouliner comme un diablotin sur ce parcours, cela me laisse pantois.
Justement, pour évoquer le parcours, si sur sa première partie nous avons emprunté les chemins connus, nous avons rapidement bifurqué sur des chemin un peu moins usités. Parfois nous n'étions d'ailleurs plus sur un chemins mais en hors piste. Malgré tout, nous arrivions toujours à retrouver un sentiers plus large et roulant sans jamais perdre trop de temps et faire trop d'efforts à retrouver une sente.
Tout cela c'est grâce à Clément qui menait bon train. Il s'engageait sur des traces peu pratiquées qui se perdaient dans la nature et quelque temps plus tard nous nous retrouvions sur une autre trace par je ne sais quel miracle. Il est fort ce Clément ! Quelle truffe ! (je parle bien sûr du flair pas de mal entendu, hein ?).
Nous organiserons prochainement un séjour dans le Périgord avec Clément pour trouver de la truffe (je parle cette fois-ci du champignon, vous suivez ? Non, oui, pas sûr, allons bon...).
Enfin, nous avons été tous bluffés par ses performances d'explorateur à la Mike Horn. C'est certainement lié à sa formation de jeune louveteau! On n'oublie pas la devise : « scout d'un jour, scout toujours ! ».
Autre épreuve bien singulière, le franchissement d’obstacle sur neige. Pas évident hein ?
Cela se termine souvent par une glissage ou un triple saut périlleux, n'est-ce pas Nono ? Ce ne fut pas un planté de bâtons mais un planté sur le bâton,,,oh la grosse nuance ! Lol.
Chris s'adonne aussi à la descente sur bosse en free style ou c'est peut-être la bosse qui l'a fait descendre de son spad dans son style free. La bosse est en fait une belle ornière que sa roue avant a bien gentiment suivi. Et là, c'est imparable ! Zig-Zag, on est dans le vague.
Vous l'avez bien compris, il y eu deux chutes sans bobo aucun.
Nous avons alterné entre des parties plutôt boueuses, d'autres avec de la neige fraîches et encore d'autres avec de la neige fondante. Rare furent les portions carrément glacées.
Nous ne savons toujours pas ce qui fut le plus difficile. La boue ou la neige ? Les deux mon capitaine ! Nous nous sommes employés à démultiplier les efforts pour avancer sur ce terrain. Les muscles des petits fessiers ont bien travaillé et on les a bien senti ou redécouvert.
Nous avons progressé en poursuite, à la file indienne. Nous avons également fait du slalom entre les arbres. Nono a fait le super jet.
Le biathlon fut de la partie avec un temps de pause et du tir sur cibles mouvantes avec des balles de neige. C'est Nono qui lançait les hostilités. Chris prit une balle dans le dos...oh, oh ...
Bref tout serait parfait sans une bonne descente. Le roi of the discipline a été Nono qui fut le premier à atteindre le point le plus bas en un temps record (à la Hirscher). Je terminais non loin de lui.
Cela aurait pu être la seule descente de notre circuit mais il y en eut une autre malgré nous.
Alors que nous avions gravi le pic le plus ardu de la journée, notre skieur « arsin » Niko se rendit compte qu'il avait perdu ses lunettes de ski. Il entreprenait un retour sur ses traces en redescendant iNiko-presto ce que nous venions de monter. Nous nous lancions à sa poursuite mais le bougre avait pris de l'avance. C'est donc à ce moment que nous entrions avec le combiné.
Tout a commencé sur la route du lieutenant où je croisais avec mon véhicule à moteur une troupe de trois vététistes qui allaient en rejoindre un quatrième égaré dans la froidure hivernale.
Ces trois lascars étaient Chris, Nono et Clément et le skieur nordique égaré était Niko.
Ils ont été surpris d'en voir un cinquième débarqué tout schuss.
Armés de nos bobsleighs, enfin je veux dire de nos spad light, nous étions parés pour affronter les éléments.
Et c'est d'abord par l'épreuve de patinage sur glace que nous commencions notre périple. Nous reprenions donc la route du lieutenant recouverte à 80% par de la glace olympique. Ce ne fut pas une épreuve de vitesse qui était organisée en ce lieu mais bien de l'artistique tant le numéro d'équilibriste jouait un rôle important dans notre tenue de route.
D'ailleurs de temps à autres, nous nous laissions surprendre par une petite glissade maîtrisée.
Vint ensuite le moment de rejoindre notre égaré du jour que nous apercevions au loin sur cette même route. Une fois le groupe réuni dans son intégralité, nous partions vers des sentiers plus engagés à la pratique du ski de fonds, et du vrai !
Enfin, c'est ce que nous avions cru car bien vite la neige avait laissée place à de la boue qui se laissait projeter sur les montures et les bikers des arrières postes.
Puis les premiers tronçons de poudreuse apparurent. Houlala, que c'est dur de progresser ! Le gros contraste c'est que c'est à la fois beau, que nous sommes contents de rouler sur ce terrain métamorphosé avec cette matière inhabituelle mais que c'est aussi très compliqué de s'extirper des pièges qui nous sont indirectement tendus. Je ne parle pas seulement des glissades qui peuvent être provoquées, des éléments cachés sous cette blancheur. J'évoquerai la difficulté de pédaler dans ce manteau blanc qui provoque une bonne résistance à notre progression.
Pour certains anciens sportifs n'ayant pas pratiqués depuis un certain temps, ce n'était pas évident. Mais j'ai cru comprendre que c'était également tout aussi difficile pour les autres.
Enfin, tout est relatif car lorsque nous avons vu Clément mouliner comme un diablotin sur ce parcours, cela me laisse pantois.
Justement, pour évoquer le parcours, si sur sa première partie nous avons emprunté les chemins connus, nous avons rapidement bifurqué sur des chemin un peu moins usités. Parfois nous n'étions d'ailleurs plus sur un chemins mais en hors piste. Malgré tout, nous arrivions toujours à retrouver un sentiers plus large et roulant sans jamais perdre trop de temps et faire trop d'efforts à retrouver une sente.
Tout cela c'est grâce à Clément qui menait bon train. Il s'engageait sur des traces peu pratiquées qui se perdaient dans la nature et quelque temps plus tard nous nous retrouvions sur une autre trace par je ne sais quel miracle. Il est fort ce Clément ! Quelle truffe ! (je parle bien sûr du flair pas de mal entendu, hein ?).
Nous organiserons prochainement un séjour dans le Périgord avec Clément pour trouver de la truffe (je parle cette fois-ci du champignon, vous suivez ? Non, oui, pas sûr, allons bon...).
Enfin, nous avons été tous bluffés par ses performances d'explorateur à la Mike Horn. C'est certainement lié à sa formation de jeune louveteau! On n'oublie pas la devise : « scout d'un jour, scout toujours ! ».
Autre épreuve bien singulière, le franchissement d’obstacle sur neige. Pas évident hein ?
Cela se termine souvent par une glissage ou un triple saut périlleux, n'est-ce pas Nono ? Ce ne fut pas un planté de bâtons mais un planté sur le bâton,,,oh la grosse nuance ! Lol.
Chris s'adonne aussi à la descente sur bosse en free style ou c'est peut-être la bosse qui l'a fait descendre de son spad dans son style free. La bosse est en fait une belle ornière que sa roue avant a bien gentiment suivi. Et là, c'est imparable ! Zig-Zag, on est dans le vague.
Vous l'avez bien compris, il y eu deux chutes sans bobo aucun.
Nous avons alterné entre des parties plutôt boueuses, d'autres avec de la neige fraîches et encore d'autres avec de la neige fondante. Rare furent les portions carrément glacées.
Nous ne savons toujours pas ce qui fut le plus difficile. La boue ou la neige ? Les deux mon capitaine ! Nous nous sommes employés à démultiplier les efforts pour avancer sur ce terrain. Les muscles des petits fessiers ont bien travaillé et on les a bien senti ou redécouvert.
Nous avons progressé en poursuite, à la file indienne. Nous avons également fait du slalom entre les arbres. Nono a fait le super jet.
Le biathlon fut de la partie avec un temps de pause et du tir sur cibles mouvantes avec des balles de neige. C'est Nono qui lançait les hostilités. Chris prit une balle dans le dos...oh, oh ...
Bref tout serait parfait sans une bonne descente. Le roi of the discipline a été Nono qui fut le premier à atteindre le point le plus bas en un temps record (à la Hirscher). Je terminais non loin de lui.
Cela aurait pu être la seule descente de notre circuit mais il y en eut une autre malgré nous.
Alors que nous avions gravi le pic le plus ardu de la journée, notre skieur « arsin » Niko se rendit compte qu'il avait perdu ses lunettes de ski. Il entreprenait un retour sur ses traces en redescendant iNiko-presto ce que nous venions de monter. Nous nous lancions à sa poursuite mais le bougre avait pris de l'avance. C'est donc à ce moment que nous entrions avec le combiné.
Quelque appels passés, parfois
dans le vide et nous prenions des nouvelles respectives de nos
positions, de nos intentions, et du résultat des recherches.
Clément pris le chemin du retour
en premier. Nous le succédions dans un second temps, Chris, Nono et
moi. Nous remontions par le S en contre bas du magasin. La partie
montante ne fut pas la plus difficile malgré ce que nous aurions pu
penser. La ligne droite du retour, dans la neige, fut pleine de
surprises. Notre roue avant ne demandait qu'une seule chose... partir
en glissade. Arf, pieds à terre, Arf, pieds à terre ! Arf,
pieds à terre ! Enfin, nous sommes arrivés !
Nous nous séparions avec la
sensation du devoir accompli.
AVOIR PEDALER DANS LA NEIGE !
C'est peut-être un jeu d'enfants
mais c'est toujours aussi plaisant. Au diable les efforts, on s'en
moque. Nous l'avons fait, un point c'est tout ! Et il fallait
être là au bon moment ! La neige encore présente le dimanche,
ça ne se refuse pas !
Il n'y a pas eu beaucoup de
kilométrage mais compte tenu des éléments, du terrain, ce n'est
déjà pas si mal. Cela équivaut à bien plus en temps normal.
Finalement Niko est revenu au
point de départ après avoir retrouvé son précieux. Bravo pour cette
persévérance et cette pugnacité.
Je l'ai raccompagné en voiture
jusqu'à son domicile car je pense que le retour l'aurait tué !
Une avalanche, une crevasse et hop, Niko disparu. La voiture c'est
plus sûr !
Au final, nous avons eu cinq médaillés Neuvilliques ! Merci à tous. Bonne semaine et à bientôt.
dimanche 11 février 2018
stat du 2 fev 2018
Participant : Nono, Niko, Clement, Lolo et Chris
meteo : 2-3 °- enneigé
terrain : verglassé au debut, neige molle et pour finir dans la soupe
les trois versions etaient difficile a roulé....surtout apres 1 mois d'arret
distance : 18 kms
moyenne : 9.6 km/h
denivelées : 211 m+
evenement : LA NEIGE et sa bataille de boule
et 2 petite chutes, une de nono en passant un "arbre" et une de moi ma roue avant ayant decidé de suivre une ornière en plein virage à 2 à l'heure..
Niko a perdu puis retrouvé ses lunettes.
a la semaine prochaine, on la fait ?
Je suis invite le midi, donc rdv pour 8H45, prix 2€ annonce et dist 40 kms
bonne semaine à tous.
samedi 10 février 2018
lundi 5 février 2018
la Marche JEAN MOREL - 4 février
Quel belle journée sans pluie pour cette rando.
Mais peu de monde .... 1 vététeux Niko.
Je me doutais d'après ce qu'il était tombé la veille que le terrain serait loin d'être sec.
Donc par sureté et compte tenu que cela faisait longtemps que je n'avais pas roulé je suis parti sur le 40.
Bien m'en à pris. Que de boue c'est bon sûrement pour la peau mais pas pour les VTT ni le Vététeux.
Heureusement cette boue était peu collante.
La traction n'était pas terrible surtout dans les montés, parfois terminées à pied.
Le plus dur a été quelques crampes, et oui le manque d'entrainement se ressent.
Au final 41 km à 14 km/h de moyenne et 600 de D+
Et une bonne séance de lavage en suivant...
Mais peu de monde .... 1 vététeux Niko.
Je me doutais d'après ce qu'il était tombé la veille que le terrain serait loin d'être sec.
Donc par sureté et compte tenu que cela faisait longtemps que je n'avais pas roulé je suis parti sur le 40.
Bien m'en à pris. Que de boue c'est bon sûrement pour la peau mais pas pour les VTT ni le Vététeux.
Heureusement cette boue était peu collante.
La traction n'était pas terrible surtout dans les montés, parfois terminées à pied.
Le plus dur a été quelques crampes, et oui le manque d'entrainement se ressent.
Au final 41 km à 14 km/h de moyenne et 600 de D+
Et une bonne séance de lavage en suivant...
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