Nono, Cédric, Christophe, Clément, Fabrice, Lolo, Nico, Niko, Vivien et Eric forment le groupe des Vététeux
mercredi 31 décembre 2008
Bonne nouvelle
mardi 23 décembre 2008
invitation
Rappel : vous êtes invité à mon anniversaire le samedi 17 janvier au soir à Sorrus.
sortie VTT le dimanche oblige!!!
Alors merci de me tenir informé de votre venue.
Si vous avez un problème de logement (car nous ne pouvons pas héberger tout le monde) ma petite femme a trouvé un bon plan : hôtel 4 * au TOUQUET PARIS PLAGE 38 € la nuit p'tit dej' offert nous contacter pour les résas pour faire un tir groupé.
Je compte sur vous pour faire la fête et vous montrer que dans le Nord il y a aussi des dénivelés
(avec du vent---)
lol
A bientôt
Fab
dimanche 21 décembre 2008
snif snif
Heusement ce n'etait qu'une pale copie;-)), desole cher cousin il ne me reste plus que le nakamura a te preter pour ton retour !!!!
j'en profite pour demander des nouvelles de notre cher nono que l'on a vu sur les rotules ce matin ?comment va ce p.... de dos?
pour les stats, pas si mal
47 km 15,4 km/h et 520 + pour moi bien sur
bonne fete de noel a ts les veteteux
vendredi 19 décembre 2008
sortie de dimanche
nous avions evoquer la neuville si fab venait sinon ? senlis ?
la meteo annonce 7° et un ciel couvert, c'est pas terrible mais il ne pleut pas c'est deja ca.
Nono sera t il sorti du lit ?
Fab sera t il parmis nous ?
Vivien aura t il son C....... ?
clement aura t il finit son mur ?
Cedric sera t il la pour la 5eme fois ?
lolo sera t il a l'heure ?
nico fera t il le deplacement ?
et moi aurai je mal au dos ? mon kine m'a dit de ne pas forcer , je vais l'ecouter ;-))
bon samedi et a dimanche 9h
jeudi 18 décembre 2008
commande
mardi 16 décembre 2008
la Creilloise
Les vététeux étaient donc de sortie ce week-end. Ce n’est pas malheureusement la bonne saison pour exposer nos maillots et nos couleurs. Cependant, sortir hors de ses terres, ça a du charme.
Nous devions donc nous retrouver sur le point de départ et envoyer des sms si une annulation malencontreuse devait survenir en raison de conditions météo extrêmes. Sachant que Nono allait me rejoindre devant chez moi, je m’empressais pour une fois de sortir ma voiture dans la rue pour provoquer la stupéfaction de notre joyeux fanfaron vététeux.
Il était déjà 8 H 30 et je ne voyais pas encore poindre à l’horizon le modèle Audi tant attendu. Je scrutais la rue pour apercevoir au plus tôt les éclairages de phares mais il n’y en eu pas beaucoup. 8 h 35….Rien. Mince, Nono il n’est jamais en retard ! Il a du oublier quelque chose. 8 H 40 … Envoi de sms pour demander ce qu’il fait en cette si belle matinée…maussade. Pas de réponse. A 8 H 43 je décolle. J’envoie un autre sms pour prévenir Chris de mon retard. Plus tard sur la route, il me rappela. Il était déjà arrivé et il m’expliquait qu’un ballet de voiture et un grand nombre de vététistes étaient déjà présents. Cette sortie allait donc tenir toutes ses promesses.
A peine étais-je arrivé à destination que Cédric me succéda. Nous étions donc trois. Pas si mal finalement car le temps aurait pu en décourager plus d’un. D’ailleurs, pour revenir à Nono, il m’adressa un mail en me signifiant qu’il dormait ! « Non mais….en voilà des manières… »
Tu ne nous as pas habitué à cela ! Remarque, maintenant, je me rappelle de chansons enfantines et j’en retrouve la signification…. Un exemple : « Meunier, tu dors, ton moulin, ton moulin va trop…. », vous la connaissez tous. (((lol
Par contre question moulinage, c’est à revoir ((lol On espère quand même te voir dimanche prochain. Le lieu du rassemblement sera vraisemblablement LA NEUVILLE. Fabrice sera là.
Donc, n’entame pas ta phase d’hibernation, ce n’est pas la peine. Tu vas te transformer en ours. La pilosité va te pousser de partout, et ….si tu reviens et qu’il y a encore la chasse on va te tirer dessus. REVIENS DONC TRES VITE…..SNIF, SNIF, SNIF !
Aller, assez d’émotion ! J’en étais donc à notre arrivée. En atttendant que Cédric prépare convenablement sa monture, je file aux inscriptions. 3 € par tête. Ca va encore. Visiblement, nous aurons le droit à une restauration à l’arrivée. Bien un peu de réconfort. Nous pouvons donc partir sereinement. Le fléchage au sol était exclusivement tout en plâtre. Par moment, il y avait plusieurs marquages au cas où l’un disparaisse en raison de la pluie ou d’une mauvaise intention.
Un petit tour de l’île St Maurice, et hop, nous prîmes une section bitumée pour rejoindre la première côte. Elle nous annonçait la couleur. Le terrain allait être du genre…. Très humide. Voire, très, très, très humide.
La fin de cette section montante fut bien belle avec un bon raidillard où une glissade aurait pu survenir à n’importe quel moment. Pour assurer le coup, je mettais petit plateau. Cela passa. En revanche, Céd et Chris mirent pieds à terre. Bon, ce n’est pas si grave, il n’y a pas beaucoup de monde qui a du la monter de toute façon (lol.
Ensuite, grosse ligne droite, grand plateau pour rejoindre les hauteurs de Verneuil En Halatte. Nous rattrapâmes deux ou trois groupes de vététistes, les dépassèrent et leur dirent « au revoir ». Vint, la descente dans Verneuil où nous avons roulé un peu avant de prendre notre deuxième montée, en enrobé cette fois-ci. Ce fut l’occasion de faire les premières photos. Pour tout vous dire, nous n’étions jamais passé par ici.
Les premières portions de chemin nous surprirent car il y avait beaucoup de sable. On échappait donc au pire en pensant que nous aurions pu avoir de la mélasse d’un bout à l’autre. Le tracé laissait donc penser qu’il avait été judicieusement choisi. Cette première impression se réitéra par la suite. Les larges chemins n’étaient empruntés que sur quelques dizaines de mètres. La plupart du temps, nous roulions sur des singles tracks. Franchement, ce fut agréable. On avait même l’impression qu’ils avaient sorti la dé broussailleuse par moment pour dégager notre passage. L’esprit vtt était donc bien respecté. On voit bien que ce n’est pas un « routard » qui a organisé cette sortie.
Le rythme était du genre pas mal car vu le nombre de compères que nous avons rattrapé, on peut estimer que nous étions dans une bonne moyenne.
Nous sommes arrivés au point de ravitaillement après avoir parcouru une dizaine de kilomètres. De là, nous avions le choix entre deux options. Deux boucles qui revenaient où nous étions. L’une faisait 10 kms et l’autre 7,5. La longueur du parcours était donc à la carte. Comme nous avions une contrainte horaire, nous savions par avance que nous aurions du mal à cumuler les deux options. Nous avons donc choisi naturellement la plus longue. Nous prîmes quelques morceaux de chocolat, pain d’épice et quartiers d’orange avant de nous remettre en selle.
Les chemins que nous avons pris sont pour pas mal d’entre eux une véritable découverte pour nous. Ou bien alors, cela fait trop longtemps que nous n’avons pas fait de rando organisée dans le coin et nous ne nous rappelons plus du paysage ((lol. Ça c’est bien possible. Ça fait du bien de sortir du bled ! Je crois qu’en 2009, nous irons participer activement à ce qui se fait dans les parages. Bien sûr, on ne laissera jamais tomber notre forêt fétiche pour autant.
Côté curiosité, nous avons rencontré un type qui participait à la rando avec son chien. Le chien n’avait pas de vélo… on ne saura jamais s’il s’était inscrit lui aussi… et bien ce type, nous ne l’avons jamais rattrapé ! Un autre gars que nous avons vu et à qui nous donnons toute notre estime, un sexagénaire ou septuagénaire… Respect ! En plus, il mettait l’ambiance au ravito ! Et que dire de ses performances ! Impressionnant ! Dans cette boucle de 10 bornes, nous l’avons rattrapé. Puis dans la première bosse au lieu de s’arrêter en haut, il a continué. Dans une autre bosse, nous l’avions au point de mire. Finalement, il est arrivé au point de ralliement avant nous. « j’veux être comme lui quand je serais vieux ! »
Ces fameuses grimpettes, étaient du genre assez humides. Les conditions météo de ces deux dernières semaines ont vraiment rendu le terrain spongieux. Nos roues s’enfoncent comme un rien dans cette terre. Pire, les sections d’herbes où nous comptions nous appuyer pour retrouver de l’adhérence, nous faisaient patiner. J’ai pu grimper la première côte moyen plateau sans poser pied. En revanche, la deuxième fut bien plus coriace. On mis chaussures à terres puis on se remit tout de suite les fesses sur la selle pour repartir. Ce n’est pas tant la difficulté du pourcentage qui nous mis en défaut mais le manque de grip de nos pneus. Je pense qu’aucune gomme n’aurait pu accroché d’un bout à l’autre. A un moment, j’ai fais au moins six tour de manivelles en restant sur place. Un home trainer en pleine nature !!!
Néanmoins, il valait mieux passer par là pour monter car nous eûmes droit ensuite à une descente qui du haut jusqu’en bas fut dans une boue liquide avec des virages pour agrémenter le tout. Les pneus et les jantes disparaissaient à notre passage. Autant vous dire que si nous étions passé par là en sens inverse, c’était mission impossible. Encore une fois pas mal choisie ! Un parcours qui va dans le bon sens.
Passé ces différentes étapes, nous retournions au ravitaillement en traversant une pinède à vive allure ! Nous profitions une nouvelle fois de l’étalage qui nous était offert. Pour couronner le tout, nous allions prendre une boisson chaude. Un café ? Non, c’est du Nescafé ; bof.
Wahoo ! De la soupe ! Elle est bonne ! On nous dit que c’est à base de langue de bœuf…Bizarre on dirai qu’il y a de la tomate et du thon ??? Plus tard nous avons appris qu’il y avait deux sortes de soupes. Nous avons récupéré la recette auprès de la cuisinière…
Rassasiés, nous pouvions donc repartir pour un retour vers Creil centre ville. Patatrac, Chris s’arrêta victime d’une crevaison ! Il me rejoint donc au classement de la pointe d’or ! Bravo et félicitations ! En passant son doigt dans le pneu il se piqua sur une pointe de ronce en émettant un grand « aille ». Je profitais de l’occasion pour refroidir la selle de Chris avec de la neige. Ceci pour vous montrer aussi qu’il y en avait encore par endroit.
Nous avions squizzé volontairement la deuxième boucle car nous manquions de temps. Visiblement, elle semblait mener vers le mont Pagnotte.
La pluie fine qui s’abattait sur nous s’était arrêtée de tomber. Le goutte à goutte qui s’était mis en place en tombant de notre visière allait nous manquer. Nous les vététeux, nous n’avons pas peur des gouttes ! NON !
Nous eûmes encore quelques petites difficultés sur le parcours, ceci pour ajouter du dénivelé positif à nos statistiques.
Nous sommes de nouveau repassés par Verneuil où nous sommes remontés par les ruines du château.
La section de route était inévitable. On pu se rendre compte à quel point il avait plu. L’eau remontait de notre roue arrière pour nous « nettoyer » l’arrière train. Oups, c’est froid !
Cette sortie mis fin à l’existence de mes plaquettes. Il va y avoir un échange standard à faire cette semaine. Le dos à Chris a bien tenu. C’est bon signe et encourageant. Cédric enregistre une « troisième » (ou quatrième) sortie consécutive ! Record en vue !
Au gymnase, nous allions récupérer notre sandwich pâté pour le faire disparaître dans notre paillasse. On nous a aussi offert un vin chaud. Ce fut avec grand plaisir que nous l’avons consommé. En début de matinée il y avait 3 °c. A notre arrivée, nous en avions gagné un de plus.
Ce n’est pas tout. Nous avons également reçu un t-shirt et des pin’s. Franchement, là, nous sommes gâtés ! 3 € avec une organisation au top et des gens qui prennent soin de vous ! Que demander de plus ?
Maintenant, il va falloir investir dans une thermos pour avoir du vin chaud en permanence ! Que voulez-vous, on s’habitue vite au confort !
Finalement, nous avons 34 kms au compteur. J’ai 17,73 de moyenne. Le dénivelé positif est de 472 mètres.
samedi 13 décembre 2008
vendredi 12 décembre 2008
14 décembre
Je suis partant même si je dois rentrer plus tôt, 11 h 45 feront l'affaire. Cette sortie aura l'avantage de cumuler 3 parcours qui se rejoignent entre eux au point de ravitaillement. 3 boucles donc pour choisir en fonction du temps quel nombre de kilomètres nous pourrons parcourir.
En revanche, ce qui me fait peur c'est la météo qui me parait très, très instable.
On pourra éventuellement annuler en s'envoyant des sms si cela tourne au vinaigre.
Le départ se fait au gymnase de Jules Uhry sur la rive gauche de l'Oise.
Y a t il des intéressés ?
jeudi 11 décembre 2008
cadeau Noël
Je commence :
- dvd sur la préparation de JULIEN aBSALON
- fourche (au choix) (et je ne vise personne....enfin presque)
- pneus Nobby Nic section 1.9 (polyvalent) et Racing Ralph (pour le sec et l'intermédiaire) Larsen TT Kevlar (pour le Roc)
- chaussures d'hiver (idée copiée sur le matos à Nono)
- Paire de Pédales (toujours copié sur Nono ((lol)
- Un réveil matin (pour Clément et Vivien)
- Dérailleur arrière XTR (je sais que quelqu'un en a acheté un.....)
- pédalier xtr
- vêtements chauds
- un pistolet (pour que Clément ne s'arrête plus tous les 5 kms)
Attention, un nouveau groupe sortira en juin prochain en collaboration avec quatre marques, Rockshox, SRAM, AVID, TRUVATIV. Il y aura certainement 20 vitesses avec deux plateaux et 10 pignons....une révolution. Je crois que j'en ferai un article quand il y aura plus d'infos.
mercredi 10 décembre 2008
Un avant goût !
Le résultat est qu’à 8 H 40 nous étions devant les bâtiments. Chris arriva presque à 9 h 00. (((lol.
Nous sommes ensuite partis direction le centre ville pour faire un peu de pavés, histoire de se réchauffer les bras. Le tracé du centre senlisien aurait pu être parfait si nous n’avions pas encore emprunté quelques sens uniques. Bien sûr le sens unique c’était pour les autres. Il va falloir affiner cette partie si nous souhaitons inviter d’autres compères sinon nous pourrions mettre en danger la vie d’autrui….Ca peut avoir son avantage. Si un gars va trop vite il passe devant et PAF !!!! Ya plus personne.. (((lol C’est de l’humour satanique bien sûr !!! Je respecte trop les gens.
Passé cet épisode citadin, nous nous attaquions à la section forestière. Le début du parcours fut habituel. Pas de souci, ça roule bien et cela nous amène au cœur de la forêt d’Ermenonville assez rapidement. A mon avis, avant d’arriver à la voie romaine, on pourrait ajouter une partie technique dans les bosses entre le champ de tir et la route qui mène à la baraque de Chaalis. C’est à peaufiner dans un premier temps sur la carte, ensuite en temps réel sur le terrain.
S’en suit justement toute la partie de sable, rochers, racines et pins, montante et descendante avec des singles tracks et des sentiers un peu plus larges. Je trouve cette partie super cool, du moins jusque la traversée de l’autoroute. Après, nous avions coutume pendant un temps de se faire la petite grimpette en sable qui nous faisait un peu forcer sur nos cuissots. Depuis quelques temps, nous la squizzons. C’est un peu moins fun, je trouve. Je critique un peu mais vous l’aurez bien compris, c’est dans l’esprit de faire avancer les choses pour que le parcours se rapproche de la perfection. Chacun aura sa vision de l’idéal et en rapprochant chaque point de vue nous aurons un ensemble assez cohérent je pense.
Donc, cette partie qui nous annonce le retour vers Senlis, est trop courte. Nous l’avons bien vu, nous avons été obligé de refaire une boucle pour ajuster notre nombre de kilomètres. Peut-être devrions nous l’emprunter quand nous ajoutons à notre tracé la section cantilienne ?
Sinon, nous devrions rester plus longtemps en forêt d’Ermenonville.
Les montées à pieds (Chris est devant Nono !)
Et les descentes à pieds (chacun son style ((lol)
L’idéal serait d’avoir deux versions :
- la première telle que nous sommes rentrés dimanche en prolongeant vers Chantilly
- la seconde en restant plus longtemps dans la Forêt d’ermenonville. Le chemin du retour pourrait alors être différent.
Chaque version a ses avantages. Dans la première, nous pouvons sur la dernière partie tiré profit du relief plat pour tirer le grand plateau et filer à toute vapeur. Ensuite il s’en suivra la partie autour de l’étang avec les singles pour aborder le domaine technique.
Dans la seconde version, le physique sera mis à l’épreuve en trouvant davantage de chemins en sable et en mettant un peu plus de dénivelé sur notre trajectoire.
Enfin, c’est une hypothèse. Qu’en pensez-vous ?
Sinon, pour revenir à notre dimanche passé, nous avons cumulé au global 41 kms et 372 m de dénivelé. C’est pas mal surtout que Chris souffre toujours de son dos et qu’il n’a fait sa reprise que depuis la semaine dernière. Nous aurons plus de kilomètres à faire les prochaines fois.
J’ai donc dévié un peu volontairement le compte rendu car j’avais moins de temps pour le rédiger. La semaine est assez chargée en soirée. Cela sent l’approche des fêtes. Reste tout de même que nous avons passé un bon moment en exploitant tantôt notre technique et tantôt notre physique en forçant le grand plateau.
L’autre particularité de cette sortie est que Nono a perdu une pédale alors que nous étions encore dans Senlis. Il a continué tout de même. Il en a pour un jeu de roulements Crank Brother. De mon côté, il va falloir que je nettoie ma roue libre car elle a émis vers la fin quelques sons inquiétants laissant penser qu’il y a besoin de lui remettre un peu d’huile.
Voilà pour l’essentiel. J’espère avoir un peu plus de temps la semaine prochaine pour reprendre l’écriture. Cela risque tout de même d’être juste …
A titre d’info, allez un peu voir la sortie faite par le Vc Senlis sur le blog. Il abordent eux aussi la partie technique et l’ajoute de plus en plus systématiquement aux sorties. Les commentaires de David sont intéressants. Ils découvrent toutes les parties en single track que nous souhaitions leur montrer. Heureusement, il nous en reste encore qu’ils n’ont pas découvert…Hé, hé, hé ….
A la semaine prochaine à La Neuville. Je devrais rentrer encore tôt. Je serai donc à l’heure.
mercredi 3 décembre 2008
Répétition avant l'Invitation
mardi 2 décembre 2008
Blanc de blanc.
Après le terrain partiellement gelé de la semaine passée, voici une nouvelle transformation du paysage en ce dimanche matin du 30 novembre 2008.
La neige en cette matinée était bien au rendez-vous. De la belle poudreuse avait recouvert notre terrain de sport en lui rendant cette belle couleur blanchâtre. Chaque dimanche nous apporte son lot de surprises. On ne peut pas se lasser car la nature nous présente un spectacle permanent et changeant.
Sur ce manteau neigeux, il planait par endroits une petite brume. On pouvait profiter du calme car il n’y avait peu de monde. D’ailleurs, rares étaient les traces de roue ou de pas laissées sur le sol. La forêt nous été offerte !
Je suis donc arrivé plus tôt que d’habitude. Quand Nono pointa le bout de son museau, j’étais déjà prêt. Le gps était branché, le vélo gonflé.
Nous partîmes sans attendre Cédric et Chris pour faire davantage de kilomètre même si cela ne fera que très peu de kilomètres supplémentaires.
Dés les premiers mètres, nous eûmes de suite la conviction que ce terrain allait nous poser bien des soucis. A la neige, encore fraîche et amassée sur le terrain, se mélangeaient d’autres portions plus « tendres ». Je ne pense pas que cela soit du à un effet de fonte. C’est plutôt l’abondance de chute de flocons qui au contact du sol se sont transformés en eau, qui a provoqué cet effet.
Nous avions fait à peine 1 kilomètre que Cédric et Chris nous croisaient, nous sur le chemin, eux sur la route. Nous nous saluions puis prenions la route ensembles. Peu de temps après, nos impressions se transformèrent en convictions. Sans avoir fait beaucoup de chemin, nous avions 100 % du postérieur déjà arrosé. Nos pneus soulevaient littéralement cette matière glacée mêlée à cette eau et la propulsaient vers l’arrière comme de véritables canons à neige. Autant vous dire, qu’il fallait être devant ce matin.
Il y en a un qui l’avait bien compris. Cédric, plus motivé que jamais, n’arrêtais pas de se mettre vers l’avant et à accélérer jusqu’à provoquer une petite cassure. Chris moins à l’aise, a eu un peu plus de mal. Le manque de pratique a indéniablement fait son effet. Heureusement, son dos ne l’a pas fait souffrir. J’espère que ça ira de mieux en mieux.
Ce retour bien qu’agréable ne s’est pas fait dans les conditions les plus faciles. Les portions où la neige était bien en place, nous ont obligées à appuyer sur les pédales plus qu’à l’accoutumée. Peu de rendement dans cette matière, vraiment cela se vérifie tout le temps. C’est pire que le sable ! Mais quel plaisir ! Nous sommes prêt à recommencer avec encore plus de centimètres. Peut-être la semaine prochaine ? On verra bien.
Nous n’avons pas cherché à faire de la grosse difficulté car je devais rentrer tôt. Nous avions donc moins de temps. Notre décision était de parcourir le plus de kilomètres possibles. Mais, Dieu que ce n’est pas facile dans ces conditions !
Comme d’habitude, nous avons usité le secteur d’Etouy. Mais, la grande différence est que nous avons prolongé vers Litz. Chaque semaine, nous essayons de parcourir des sentiers différents. Nous conservons une ossature puis nous ajoutons une pièce de puzzle en plus. Nous avons toujours une solution. La semaine prochaine, nous risquons de quitter le Clermontois pour le Senlisien. Nous devons reconnaître le parcours pour le proposer à nos compères du VC Senlis. Il y aura sûrement certaines choses à parfaire.
D’un point de vue mécanique, nous n’avons ni eu de casse, ni eu de crevaison. Et franchement, c’est bien mieux comme cela. Car je ne vous dis pas comment nous aurions souffert avec cette humidité et ce froid. Le moindre arrêt était l’occasion d’avoir un arrêt…………de travail. Nous ne pouvions plus faire de différence entre nos doigts de pieds. Nous avions l’impression d’avoir des blocs au fond de nos chaussures. Nos orteils avaient fusionné pour ne faire plus qu’une partie, bien sûr gelée. Qui veut de l’esquimau ? Oh mais, ça a un drôle de parfum tout ça !!!?. Beurk !
C’est un peu notre faute, nous n’avions pas Nono, Cédric et moi de couvre chaussures. Tant pis…
Par contre, j’en reviens à la mécanique. Nous avons tous connus de sérieux problème d’indexation. Ce n’est pas parce que le câble était grippé à l’intérieur de la gaine et pris par le froid mais plutôt à cause de l’accumulation de neige dans nos pignons. Toute la partie inférieure de la cassette était recouverte de neige. Quand nous regardions du haut de notre poste de pilotage nos trois plateaux avant, nous n’en voyons plus qu’un, le grand. Impressionnant ! Nous avions comme un gros disque blanc qui recouvrait l’intégralité de nos pignons. Il faut déjà avoir de la masse pour recouvrir le plateau intermédiaire, et pourtant, il avait disparu ! Quand nous repassions dessus, notre chaîne s’enfonçait dans ce mélange comme un couteau dans la purée. Cela ne dérangeait pas le fonctionnement fort heureusement.
Toujours au niveau matos, les nouvelles Crossmax de Cédric ont été baptisées par la neige. Cela porte chance ! Elles ont due affronter les éléments. Les freins ont eu le droit également de profiter. Justement, l’utilisation des étriers ce matin n’était pas des plus discrète. Chaque freinage provoquait un crissement. L’eau, le froid, devaient y être pour quelque chose.
Nous avons une nouvelle fois immortalisé le petit pont à Nono. Cette fois-ci, nous l'avons pris en flag, spad à la main alors que Chris le passe aisément. Trop facile Chris !
Au total, j’ai parcouru un bon 25 kms. Chris et Cédric ont certainement du approcher les 30 bornes. Nono devait être à 45. Côté relief, le dénivelé positif accumulé fut de 383 mètres. Avec davantage de temps nous aurions avoisiné les 600 mètres. Dommage !