mercredi 18 mars 2009

La Neuvillois Ter...minée

Un petit résumé préparé pendant que tu publiais le tiens Chris. Pas si mal le dénivelé...Oh mais on est forts alors !!!


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Enfin, la voilà ! Et oui, nous l’attendions, cette rando mythique, celle qui bien souvent nous en dit davantage sur notre état de forme de début de saison. C’est un bon facteur pour se jauger dans notre préparation. Souvenez-vous de ces années où nous devions écourter cette sortie car le niveau physique ne nous permettait pas d’aller jusqu’au bout. Souvenez-vous des gars qui nous dépassaient alors que nous connaissions ce terrain par cœur. Il y a eu d’autres années où au contraire, nous avions suffisamment la « gniak » pour nous maintenir en haut de l’affiche.

Pour la première fois, Nono participait à La Neuvilloise, un baptême en quelque sorte.

Le départ était donc fixé à 9 H 00. Mon arrivée eu lieu vers 8 h 55. Le temps de s’habiller et d’aller jusque le point de ralliement, sur la place de l’église, il devait être 9 h 03. Et là, il ne restait plus que Nono. Clément et Chris s’étaient fait la malle.

Nous avons décollé finalement à 9 h 08. Je dis « décollé » car il a fallu partir comme des avions pour rattraper nos deux zozios qui filaient à l’anglaise.

Au bout d’un certain temps, nous avons quand même doutés. Nous roulions relativement bien, le fait que personne ne nous dépasse et qu’au contraire nous rattrapions tout le monde nous encourageait à nous dire qu’il y avait un problème.

Chris voulait avant le départ faire le parcours du 25 kms, non mais !!! Nono l’en a dissuadé mais nous avions certains doutes tout de même.

Tantôt Nono menait la cadence, tantôt je reprenais le relais, et ça n’a pas arrêté. L’usage du grand plateau fut plus répétitif que d’habitude. Nous avons commencé par nous diriger vers le secteur de Litz pour faire une boucle et nous ramener jusqu’au stade de La Neuville. Marrant comme les chemins nous paraissaient familiers.

C’était une bonne entrée en matière pour tester le terrain.

Nous avons eu un mélange de terrain sec par endroits et plutôt accrocheur ailleurs. Les sections qui devaient être le plus humides gardaient sur le sol une boue attachante, sans être collante, juste ce qu’il fallait pour retenir nos crampons au sol et nous obliger à forcer davantage sur les cuissots. Mine de rien, au bout d’un moment ça use. Nous passions d’un bon rendement, sans valoir celui d’un terrain carrément sec, à un rendement nettement altéré. C’était très impressionnant cette différence de rythme et d’efforts si différents.

Arrivés au stade, nous devions faire une autre boucle en passant sur la butte Saint Louis pour repasser de l’autre côté de la route de l’escargot. Les premiers raidillards faisaient leur apparition. Malheureusement, Il n’y a que Chris et Clément qui y ont goûté. Nono et moi au stade n’avons pas vu le fléchage y accédant, et je pense que nous n’avons pas été les seuls.

La jonction des deux sections se faisait non loin de la maison forestière des brûlis, au pied du coup de cul toujours humide, voir marécageux. Pas vu de grenouille pourtant…

Je pense que c’est durant ce laps de temps que nous avons croisé nos chemins. C’est même certain. Nous nous sommes dirigé vers Boulincourt pour remonter vers l’ancien terrain de Kart d’Agnetz. De là nous sommes redescendus à Boulincourt par la côte en cailloux débouchant sur la place. C’est là que nous avons rattrapé les cycl’ops. A notre vue, leur président, Fabrice, a simulé une crevaison car il ne voulait pas nous affronter ((lol. Il avait des tubeless !! Oh la poisse !!

Nous sommes partis vers l’étang pour remonter une belle mémère. Certainement la plus dure du secteur. Rigolo comme il y a toujours des grappes de vététistes au sommet, qui ne bougent plus, bizarre ?? Nous sommes arrivés derrière la maison du lieutenant. Nous avons longé durant un moment la route forestière pour ensuite la traversée. Cela nous a permis de faire en quelque sorte une boucle pour revenir au carrefour du magasin où se trouvait le ravitaillement. Ca sentait bon le vin chaud !! Nous avons bien patienté 5 minutes le temps de faire valider notre bulletin et casser un peu la croûte.

Soudain, je me suis dis qu’il était temps peut être de se renseigner sur le sort de nos compagnons d’escapade à distance. Nous pensions vraiment qu’ils avaient choisi l’option « facilité » en prenant le 25. L’appel se fit alors qu Chirs était dans l’ascension de la mémère. Etrange, il n’a pas décroché ! Une minute après, mon téléphone vibrait. Finalement, après avoir essayé de comprendre pourquoi nous étions arrivés avec plus de 30 bornes au compteur alors qu’ils en avaient 26, et que nous ne les avions pas dépassés, nous attendions sur place leur arrivée.

Ce fut chose faite quelque minutes plus tard puisque Chris et Clément décidèrent de couper la boucle sur le plateau.

Enfin, les quatre vététeux étaient réunis. (Pour la vie, oh que c’est beau, snif)

Nous sommes repartis en descendant directement derrière notre parking habituel. A l’issue de cette descente, nous remontions immédiatement pour enchaîner la série de bosses sur la droite. Dans la première montée, alors qu’il avait fait toute la partie en pierres assez délicate, Clément posa les féfesses à terre sur le talus, là où c’était le plus facile. Pour une deuxième partie, cela semblait commencer assez fort !

Nous avons prolongé notre effort, traversant le chemin large et blanc, pour regagner le carrefour du soleil en enfilant les creux-bosses. Puis une portion de bitume pour rejoindre le carrefour du roi et pour nous permettre de taquiner le grand plateau. Nous sommes redescendu pour aborder cette fois-ci la partie de plat sur le secteur de Bresles.

Sur une accélération de Chris pour rejoindre l’étang par le chemin herbeux, Clément explosa. Cuit, il était !

Nous l’attendions un peu pour l’escorter et l’accompagner. Mais le moindre coup de jarret le mettait en difficulté. Il avait tout donné et venait de passer les 40 kilomètres au compteur. C’était sa troisième sortie consécutive. Seulement, le kilométrage des précédentes n’avait pas été aussi important puisque nous avions du écourter notre plaisir à cause des conditions météo.

Profitant d’une portion asphaltée, il décida de poursuivre par la route.

Quelques kilomètres plus loin, ce fut au tour de Chris de court-circuiter la dernière boucle, laissant la dernière difficulté de côté. Nono par ailleurs, dans celle-ci, avait le vent en poupe et me distança assez aisément. Alors que le jus allait commencer à baisser de volume dans ma paillasse, du moins dans les pourcentages, Nono ne semblait pas baisser de régime. Il est trop FORT ! Super endurant le pépère ! Ce n’est pas un homme, c’est un robot !

Au finish, nous avons parcourus 48,7 kms sur les 53. Manquait cette fichue boucle que nous n’avions pas vu. Grosso modo, nous avons fait La Neuvilloise mais en parcours inversé. Seule la boucle sur le secteur de Litz, Etouy a été conservée au début.

La moyenne fut quand même de 18,75 km/h. Sans la baisse de régime à Clément nous serions à 19 ou plus. T’inquiète, on ne t’en veux pas Clément. Nous savons que tu auras prochainement l’occasion de te rattraper…

La performance est donc réelle. Nous terminons avec encore de la fraîcheur. Nous avons connu des années où nous étions à la ramasse. Cette fois-ci, nous avons profités du travail hivernal pour aller jusqu’au bout et avec la manière.

Bravo à Nous ! Aux valeureux vététeux ! Cette année va être Magique ! Ca sent vraiment la poudre et les gros coups de pétards en prévision.

Chiens, chiens, rentrés tous car la menace Vététeux est là. Si vous ne voulez pas vous retrouver en carpette de chambre ou en pallaisson de terrasse, passez votre chemin. Le remembrement est terminé mais votre démembrement peut arriver…..alors fuyez !!! OUAF ! OUAF !

(Il est fou ce Lolo, il est fou !!!)…

OUAF !

4 commentaires:

  1. Ca manque de féminisme dans ce blog moi je dis... hein les fifilles ??? et bla bla bla et re ... bla bla bla ... ET APRES ON DIT KON EST BAVARDE... et bla bla bla et... SI T'ES FIERE D'ETRE PARISIEN ... TAPES DANS TES MAINS... (moi j'dis : "si t fière d'être parisienne ... viens manger une pizza-ballon rouge à la maison) vive LE PSG même si t'es pas champion ?... (pardon chéri j'ai pas pu m'empêcher ! SIGNER... la femme du NONO ... D...(j'assumes y fô bien :D)

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  2. Haaaaaaaaaaa ! Oui, bon, pour Psg c'est pas trop sûr! Je ne miserais pas ma paie dessus quand même !! (((D.
    Moi de toute façon, j'préfère Monaco !
    Pour la Pizza ballon rouge, c'est super cool! Quand on va au parc, c'est pour y manger des chips !! ((D Berk !! Même pas de quoi se mettre une merguez dans l'estomac !!!
    bon, y va falloir que l'on ouvre un autre blog pour discuter de tout cela !!! ((D

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  3. oui aussi j'suis ok pour la pizza balon d'rouge meme si je ne voit aucun rapport avec le PSG
    de toute facon moi j'prefere lens, c'est plus la fete.

    maintenant , on sait a quoi se dope nono le ptit robot !! c'est au PINARD !!!!
    il nous l'avait cache ca ;-)

    allez a dimanche.

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  4. Vous n'avez jamais remarqué qu'il zigzague beaucoup en vélo ???

    Et pis, rappelez vous à quoi il tournait au Roc et ses résultats !! (((::o

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