salut a tous
apres un petit week end de repos pour certain ;o), qui sera la ?
Comme nous vous l'avions dit la semaine derniere le RDV est fixé pour un depart à 8H30
afin d'augmenter le potentiel entrainement.
Pour ce dimanche le programme est affiché :
LOLO nous prepare un parcours à sa facon sur 40-45 kms en vu du controle de la semaine suivante.
oui vous l'aurez deviné le 7 juin nous allons donc effectue le parcour type du bois des cotes afin de se tester une première fois.
a dimanche
Chris
Ps : pour info marion est rentre hier soir
Nono, Cédric, Christophe, Clément, Fabrice, Lolo, Nico, Niko, Vivien et Eric forment le groupe des Vététeux
jeudi 28 mai 2009
mercredi 27 mai 2009
Retour gagnant
Un retour ? Encore un allez-vous me dire ? Et bien oui ! On joue à « ainsi font fonfons les petites marionnettes ».C’est un petit tour et puis s’en vont.
Cette fois-ci le retour est celui de Clément. Pourquoi dire qu’il fut gagnant ? Et bien parce que le bougre a bien suivi la cadence que nous lui avons imposé Chris et moi.
Et puis, je ne pouvais m’empêcher de faire un petit clin d’œil à Roland Garros qui a débuté ce dimanche.
Vous avez pu déjà découvrir les stats que vous a révélé Chris. Pour Clément et moi, il faut compter 43.14 kilomètres. La moyenne monte à 19.85. Les 20 kms/h sont à portée de jarrets.
Nous avons enregistrés les forfaits successifs de Cédric et Vivien qui ont préféré se reposer après avoir vécus des moments forts (à priori…), même peut-être très forts !!!
Nous partions donc avec à l’esprit de profiler un terrain en adéquation avec le petit nouveau. Il ne fallait donc pas trop de bosses pour commencer et pas trop accélérer non plus. Ca tombait plutôt pas mal car j’avais dans l’idée de rapprocher les deux lascars de mes terres. A Cambronne, il y avait une titiote sortie d’organisée de 18 bornes. Si l’on ajoutait les 20 pour rejoindre ce fabuleux site, on serait au finish avec pas loin de 40 bons et jolis magnifiques kilomètres. Que du bonheur !
Mais Chris marqua un peu les esprits, il a décidé d’un coup de mettre le pied dedans. Je ne sais plus vraiment où mais il l’a fait et je m’en rappelle. Du coup, j’ai tout fait pareil ! Mais avec modération…
Le plat s’est progressivement transformé en faux plat puis est venue une descente. Alors il a fallu remonter. J’ouvrai la voix me retournant pour voir si le petit navire suivait. A priori oui, toutes voiles dehors, il avait le vent en poupe. La sueur coule à flots !
D’une première ascension relativement facile, nous sommes arrivés aux pieds de la suivante. Là il fallait proposer quelque chose de plus consistant. On débute donc par un faux plat herbeux de 250 mètres pour ensuite nous engouffrer dans un single montant en virage et racines. Mais c’est encore bien trop court ! C’est pas marrant les montées qui s’arrêtent trop vite ! Zut alors ! Enfin, ça monte encore un peu mais le pourcentage n’est pas impressionnant.
Nous sommes maintenant sur les hauteurs de Cambronne. Nous allons pouvoir montrer au peuple ce que les vététeux savent faire (((D : .
Petit tour derrière l’église, nous voici arrivés. Oh ben mince, il n’y a personne ! Le départ devait être groupé et un guide devait ouvrir le convoi d’un bout à l’autre de la sortie. Et re-zut ! On aurait pu redescendre à Vaux et remonter ! Bon et bien c’est raté !
On va donc repartir tranquillement vers La Neuville mais en faisant un petit détour. Faut pas exagérer non plus, nous n’allons pas sombrer dans la facilité ! Nous parcourons les plateaux tous en bénéficiant de tronçons boisés bien agréables. Mais il y a un hic sur ce trajet du retour. C’est assez linéaire. Peu de relief ! Il y a une solution. On va plonger vers Ansacq pour mieux remonter ! La montée est sympathique car elle dure un peu par sa longueur. Ca fait du bien.
Par moment, le passage à une cadence supérieure est exercé, histoire d’augmenter un peu la moyenne mais aussi de se forcer à hisser son niveau. Ceci ne peut être que bénéfique pour les prochaines sorties. On force donc mais sans abus, tout en légèreté. Le but de la manœuvre c’est de s’asseoir sur un rythme et s’obliger à le tenir jusqu’à un point fixé. Là aussi Clément fut très à l’aise. Escorté par Chris, il ne rechignait pas sur les efforts. Il est tenace ! Un vrai Vivien !
Enfin, fut venu le moment de casser une petite graine. Miam, ça fait du bien ! Nous avions déjà parcourus 30 kilomètres et la moyenne avoisinait les 20kms/h.
A votre avis, que voit-on sur la Photo ? Mais qu’lle est ce gros truc jaune ?
Et ben c’est la pointe d’or à Chris bien sûr ! En tant que leader, il se doit de la porter comme un champion du monde portrait son maillot sur chaque épreuve. Pour aujourd’hui, malgré la présence de Clément, il n’y eu pas de crevaison.
Vint le moment de repartir : Mais où ? Allez, on prend le premier chemin, on verra bien. Et puis, il ne faut pas croiser un parcours !! C’est primordial !
Donc sur ce chemin, nous avions deux options, soit redescendre par un sentier que l’on connaît pour le monter en général. Ou bien alors continuer tout droit pour ensuite retrouver un autre sentier que nous connaissions au temps jadis, il y a une quinzaine d’années. C’est pour vous dire…
Bref, Chris nous emmena et à un moment, le chemin fit une fourche. On prit l’option de gauche ! Bingo ! C’est perdu, il fallait prendre l’autre. Une bonne section de hors piste s’ouvrait à nous. Vive l’aventure ! On suivait ce qui devait être un chemin de coupe il y a quelques années. Puis au bout de quelques hectomètres, plus rien ! L’épopée sauvage !
Nous arrivâmes assez rapidement en haut d’un mur qu’il fallait descendre mais pour arriver où ? En bas, il y avait un champ mais à première vue pas de chemin. Tant pis, nous descendons ! Finalement, le chemin n’était pas si loin. Cette escapade nous a ralenti dans notre chevauchade. Il fallait maintenant redonner un coup de cravache pour se remettre au galop. Nous entreprenions de rendre visite à Nono. De belles lignes droites se présentaient devant nous. On en profitait pour placer le dérailleur avant sur la partie droite. Tout le monde suit, c’est parfait !
A la sortie de Fillervalle, une accélération fut protée. En arrivant près du cimetière de St Félix, nous pouvions constater les dégâts. Chris avait suivi mais Clément avait disparu de la circulation. Le groupe reformé, nous nous trouvions aux abords de la propriété du Nono. Un bruit sourd de tronçonneuse retentissait. Il bosse ? Du haut de nos spad nous jetions un regard par-dessus le mur. Mais non, il ne bosse pas, c’est son bof qui bosse pour lui ! Toujours en aspiration, il reste derrière ! Le voyou ! Je suis sûr qu’à la fin il va pousser le tronc d’arbre scié et qu’il dira « Et voilà, facile ». (((lol.
Enfin, notre hôte nous offrit l’hospitalité et un peu de réconfort avec une boisson rafraîchissante. Un peu de sucre avant de gravir la remontée vers les plateaux de la forêt Hez-Froidmont. Nous le remercions chaleureusement et primes la poudre d’escampette. Le temps passait vite !
Nous ne sommes pas parti par la première ascension venue. Nous repassions sur nos pas pour choisir une pente plus douce, selon Chris. Je ne suis pas trop sûr du résultat car finalement, ça monte pas mal et une fois en haut, le faux plat reste bien marqué. On refera les deux un jour pour comparer ((lol. En tout cas, nous n’avons pas perdu de temps. La vitesse « V » fut enclenchée.
Chris a repris la tête pour, oh surprise, redescendre ! Et Bien ! Cela veut dire qu’il va falloir obligatoirement se hisser jusqu’au magasin par un effet de levier qui ne serait être autre que nos coups de pédales. Clément un peu Oxy voulait impérativement abréger ses souffrances. Pas moyen d’allonger la sauce. Il l’a trouvée déjà assez salée !
Effectivement, alors que nous avions eu le temps de monter, parcourir la ligne droite jusque la barrière du magasin (au bout de l’allée du parking) puis faire une boucle par le bois pour ensuite revenir aux voitures, nous apercevions seulement Clément passer le point culminant de l’ascension. Il était cuit ! Mais il revient tel un survivor ! Un grand bravo !
A contrario de la semaine passée, le kilomètrage fut honorable. Imaginons avec 30 minutes de plus ce que nous pourrions faire. A peu près ce qu’à fait Chris. Nous aurions les 50 bornes à chaque rendez-vous ! Un objectif qui n’est plus qu’à quelques encablures de cintre ! Ça sent bon tout ça !
mardi 26 mai 2009
Avec ou sans glace ?
Et bien hier entre 24 h 00 et 1 h 00 ce matin, je me suis baladé dans le jardin.
L'orage qui a débuté assez tôt en soirée s'est terminé vers 1 h 30 du mat.
C'est cela qui m'a empêché de dormir ?
Et bien oui en quelque sorte !
Vers 22 h 00 il y a eu une sacrée averse qui a durée pas moins d'une demie-heure. La pluie était diluvienne. Il drache ! Mais grave ! Le résultat, c'est 30 cm d'eau dans la cour. Les canalisations n'arrivaient plus à suivre !
Une petite suée qui monta proportionnellement à celle du fluide vers notre porte d'entrée.
Vers 24 H 00, d'un coup, des bruits de tambour retentirent à l'extérieur. Un vrai vacarme ! De quoi nous glacer le sang !
D'ailleurs, en parlant de glace, c'est un bombardement de grêlons qui s'est abattu dans la région. Un piaf serait passé qu'il en aurait perdu la tête ou bien les ailes. Les missiles coréens auraient-ils une si grande portée ?
Dehors, ce ne sont pas des perles de grêle qui tombaient mais des balles de ping-pong bourrées de glace.
Le concert terminé, l'orage grondait encore. J'osai sortir pour constater les dégâts. Dans la rue j'entendais les voisins qui en firent autant. Et voilà la fête des voisin a pris de l'avance. Un petit peu de glace dans votre.... pare-brise !
Oui, celui de mon riverain de droite avait littéralement explosé ! Quant aux voitures qui sont restées sous ce ciel déchiré, elles en ont gardé les stigmates.
Les coups de marteau ont eu raison des carrosseries qui ont gardé en mémoires les impactes foudroyants.
Ce soir en allant à Liancourt, je ne comptais plus le nombre de lunettes arrières qui ont volées en éclat. Certains pare-brises aussi.
Pas une voiture n'a échappé au déluge de glace. Toutes sont marquées par des enfoncements marqués. Même la mienne !
Pour vous donner un petit aperçu des munitions utilisées pour faire un tel carnage, voici quelques photos. Elles ne sont pas super car les circonstances météo ne permettaient pas de faire de l'art!
Les grêlons ont en plus un epu fondus. Ils étaient à l'origine un peu plus gros. Certains étainet tout ronds. D'autres avait des pointes qui ressortaient comme sur les mines navales allemandes.
Les plus grosses avaient la taille d'un oeuf....de poule!
L'orage qui a débuté assez tôt en soirée s'est terminé vers 1 h 30 du mat.
C'est cela qui m'a empêché de dormir ?
Et bien oui en quelque sorte !
Vers 22 h 00 il y a eu une sacrée averse qui a durée pas moins d'une demie-heure. La pluie était diluvienne. Il drache ! Mais grave ! Le résultat, c'est 30 cm d'eau dans la cour. Les canalisations n'arrivaient plus à suivre !
Une petite suée qui monta proportionnellement à celle du fluide vers notre porte d'entrée.
Vers 24 H 00, d'un coup, des bruits de tambour retentirent à l'extérieur. Un vrai vacarme ! De quoi nous glacer le sang !
D'ailleurs, en parlant de glace, c'est un bombardement de grêlons qui s'est abattu dans la région. Un piaf serait passé qu'il en aurait perdu la tête ou bien les ailes. Les missiles coréens auraient-ils une si grande portée ?
Dehors, ce ne sont pas des perles de grêle qui tombaient mais des balles de ping-pong bourrées de glace.
Le concert terminé, l'orage grondait encore. J'osai sortir pour constater les dégâts. Dans la rue j'entendais les voisins qui en firent autant. Et voilà la fête des voisin a pris de l'avance. Un petit peu de glace dans votre.... pare-brise !
Oui, celui de mon riverain de droite avait littéralement explosé ! Quant aux voitures qui sont restées sous ce ciel déchiré, elles en ont gardé les stigmates.
Les coups de marteau ont eu raison des carrosseries qui ont gardé en mémoires les impactes foudroyants.
Ce soir en allant à Liancourt, je ne comptais plus le nombre de lunettes arrières qui ont volées en éclat. Certains pare-brises aussi.
Pas une voiture n'a échappé au déluge de glace. Toutes sont marquées par des enfoncements marqués. Même la mienne !
Pour vous donner un petit aperçu des munitions utilisées pour faire un tel carnage, voici quelques photos. Elles ne sont pas super car les circonstances météo ne permettaient pas de faire de l'art!
Les grêlons ont en plus un epu fondus. Ils étaient à l'origine un peu plus gros. Certains étainet tout ronds. D'autres avait des pointes qui ressortaient comme sur les mines navales allemandes.
Les plus grosses avaient la taille d'un oeuf....de poule!
lundi 25 mai 2009
stat 24 mai
sortie qualifié de rapide par le peu de veteteux presents:
voyez par vous meme
voyez par vous meme
vu que j'ai oublie de redemmare a un moment le gps, voici les donnees retrancrite
duree: 2h43 min
dist:50.55 km
moyenne 18.58 km/h
denivelée: 662 m+
a dimanche prochain
vendredi 22 mai 2009
Morose !
Morose !
Oui, bien triste ce dimanche dernier fut-il ! Le seul plaisir fut de se retrouver entre vététeux. Bien trop d’éléments étaient réunis pour pouvoir profiter pleinement d’une activité digne de ce nom.
Déjà, au levé, j’ai ressenti les jambes lourdes et assez tendues. La journée de jardinage de la veille a certainement du me flinguer un peu.
Ensuite, le terrain fut digne d’un parcours automnale voir même hivernal. De la boue en veux-tu en voilà. De quoi se faire une thalasso et s’adoucir la peau. Oh que c’est doux…Et que ça sent bon la nature !
Enfin, la performance fut réduite à sa plus simple expression. Le côté positif est que ce sont les cuissots qui ont profité de cette résistance au sol pour se renforcer un peu plus.
A contrario, la sortie serait obligatoirement plus courte et la moyenne réduite. Et bien, la chose se vérifia sur place. La moyenne avoisina les 15.80 km/h. C’est 2 à 3 km/h en moins que ces dernières semaines. Un peu frustrant quand même !
Et que dire de la distance parcourue puisque celle-ci ne fut pas glorieuse. 26, 13 km pour Cédric, Vivien et moi. Chris pu ajouter 8 kilomètres au compteur grâce à son aller retour domicile. Nono n’en parlons pas, il termina avec 42 bornes. Il va encore accentuer son avance sur le plan physique et sur la performance. Dimanche prochain, ce sera un véritable avion !
Ces 26 bornes s’expliquent aussi avec une crevaison à notre actif. C’est Chris qui confirme qu’il est le meilleur en la matière. Il domine assez largement le challenge. Je dirai qu’il enfonce le clou. (((D :
Ensuite, nous sommes rentrés plus tôt, 11 h 30 au lieu de 12 h 00. 30 minutes, c’est 7 ou 8 bornes en moins. Les raisons de cette sortie écourtée, c’est que Cédric avait un impératif et Vivien aussi. J’ai également choisi cette option, bon gré, mal gré car je fus contraint et forcé d’abdiquer en raison d’une casse matériel. Ma pédale droite m’a en effet lâché. Je viens juste de la réparer.
Il est vrai que la préparation de Cédric en vue de la sortie avec Fab ne s’est pas faite d’une façon optimale. Du moins sur la durée et sur la distance. En revanche, il fut préparé à gravir du dénivelé. 537 m sur 26 kms, ce n’est pas si mal. Et dans la boue, cela rend encore plus forte la performance. Finalement, je trouve un peu de positif ! Mais bon, nul doute que nous chercherons à rattraper tout cela dans un temps plus ou moins proche.
J’aurai souhaité rouler cette semaine mais il me reste du boulot à la casa. Je félicite Cédric qui va nous revenir tambour battant. Nono, lui est resté fidèle à son habitude, ajoutant certainement 40 kilomètres de plus dans les gambettes.
Trop facile le Nono !
Heureusement Vivien ne roule pas. Justement, comment s’est-il comporté ce week-end ? Et bien plutôt pas trop mal. Il retrouve ses marques peu à peu dans les portions ascendantes. La boue lui a fait un peu de mal je pense… Les 26 kilomètres finalement furent juste parfaits !
Nul doute que d’ici 3 semaines il va commencer à nous énerver !! C’est tout le bien que nous lui souhaitons.
Le rendez-vous aura lieu à la Neuville, pour changer ! Enfin, je pense ? Le bois des côtes est certainement très humide.
C'est bon une côte, non ?
Oui, bien triste ce dimanche dernier fut-il ! Le seul plaisir fut de se retrouver entre vététeux. Bien trop d’éléments étaient réunis pour pouvoir profiter pleinement d’une activité digne de ce nom.
Déjà, au levé, j’ai ressenti les jambes lourdes et assez tendues. La journée de jardinage de la veille a certainement du me flinguer un peu.
Ensuite, le terrain fut digne d’un parcours automnale voir même hivernal. De la boue en veux-tu en voilà. De quoi se faire une thalasso et s’adoucir la peau. Oh que c’est doux…Et que ça sent bon la nature !
Enfin, la performance fut réduite à sa plus simple expression. Le côté positif est que ce sont les cuissots qui ont profité de cette résistance au sol pour se renforcer un peu plus.
A contrario, la sortie serait obligatoirement plus courte et la moyenne réduite. Et bien, la chose se vérifia sur place. La moyenne avoisina les 15.80 km/h. C’est 2 à 3 km/h en moins que ces dernières semaines. Un peu frustrant quand même !
Et que dire de la distance parcourue puisque celle-ci ne fut pas glorieuse. 26, 13 km pour Cédric, Vivien et moi. Chris pu ajouter 8 kilomètres au compteur grâce à son aller retour domicile. Nono n’en parlons pas, il termina avec 42 bornes. Il va encore accentuer son avance sur le plan physique et sur la performance. Dimanche prochain, ce sera un véritable avion !
Ces 26 bornes s’expliquent aussi avec une crevaison à notre actif. C’est Chris qui confirme qu’il est le meilleur en la matière. Il domine assez largement le challenge. Je dirai qu’il enfonce le clou. (((D :
Ensuite, nous sommes rentrés plus tôt, 11 h 30 au lieu de 12 h 00. 30 minutes, c’est 7 ou 8 bornes en moins. Les raisons de cette sortie écourtée, c’est que Cédric avait un impératif et Vivien aussi. J’ai également choisi cette option, bon gré, mal gré car je fus contraint et forcé d’abdiquer en raison d’une casse matériel. Ma pédale droite m’a en effet lâché. Je viens juste de la réparer.
Il est vrai que la préparation de Cédric en vue de la sortie avec Fab ne s’est pas faite d’une façon optimale. Du moins sur la durée et sur la distance. En revanche, il fut préparé à gravir du dénivelé. 537 m sur 26 kms, ce n’est pas si mal. Et dans la boue, cela rend encore plus forte la performance. Finalement, je trouve un peu de positif ! Mais bon, nul doute que nous chercherons à rattraper tout cela dans un temps plus ou moins proche.
J’aurai souhaité rouler cette semaine mais il me reste du boulot à la casa. Je félicite Cédric qui va nous revenir tambour battant. Nono, lui est resté fidèle à son habitude, ajoutant certainement 40 kilomètres de plus dans les gambettes.
Trop facile le Nono !
Heureusement Vivien ne roule pas. Justement, comment s’est-il comporté ce week-end ? Et bien plutôt pas trop mal. Il retrouve ses marques peu à peu dans les portions ascendantes. La boue lui a fait un peu de mal je pense… Les 26 kilomètres finalement furent juste parfaits !
Nul doute que d’ici 3 semaines il va commencer à nous énerver !! C’est tout le bien que nous lui souhaitons.
Le rendez-vous aura lieu à la Neuville, pour changer ! Enfin, je pense ? Le bois des côtes est certainement très humide.
C'est bon une côte, non ?
petit sondage
pour des raisons d'affichage du blog, je voudrais connaitre votre résolution d'écran.
Utilisez le sondage pour me donner votre réponse.
PS: Nono laisse tombé, la question est bien trop technique pour toi. Mais par contre n'hésite pas a en parler avec ta femme ;o))
Cédric
Utilisez le sondage pour me donner votre réponse.
PS: Nono laisse tombé, la question est bien trop technique pour toi. Mais par contre n'hésite pas a en parler avec ta femme ;o))
Cédric
Valentin et gauthier à l'entrainement
Pendant la sieste des plus petit, j'ai emmené valentin et gauthier tourner au tour de Sorrus pour un entrainement ROC. et oui eux aussi sont en preparation
j'en profite pour vous faire voir mon nouveau compteur GPS et tout tout. manque plus qu'un support plus hight tech que 2 morceau de scoth
jeudi 21 mai 2009
Sortie Sorrus avec Fabrice
Salut à tous, voila les stats de notre sortie en famille. terrain roulant, soleil avec un peu de vent. bonne sortie rapide
dimanche 17 mai 2009
stats du 17 mai
je commencerai cette stat par ceci:
je parle bien entendu de la petite pointe de vitesse vers le km 18 à 63.81 km/h, qui a fait mieux ?
pour ce qui est du reste pas si mal meme s'il faut vous enlever 100m de denivele et 8 km de-( la !ca fait peu quand meme !!)
pour faire allusion a la phrase de vivien, il n'y a pas tant de montée que ca ;o))
distance 34.263
denivelee 670 m+
moyenne autour de 13.5 pour moi ;o((
a dimanche, il faudra faire mieux
je parle bien entendu de la petite pointe de vitesse vers le km 18 à 63.81 km/h, qui a fait mieux ?
pour ce qui est du reste pas si mal meme s'il faut vous enlever 100m de denivele et 8 km de-( la !ca fait peu quand meme !!)
pour faire allusion a la phrase de vivien, il n'y a pas tant de montée que ca ;o))
distance 34.263
denivelee 670 m+
moyenne autour de 13.5 pour moi ;o((
a dimanche, il faudra faire mieux
samedi 16 mai 2009
jeudi 14 mai 2009
Surprise !
La surprise fut bien réelle en ce dimanche matin. Nous nous étions donnés rendez-vous à St Martin Longueau pour pédaler sur les terres de l’animal. Nous avions laissé un message sur la messagerie du mobile et on en avait discuté sur le blog pour prévenir le principal concerné.
Mais celui-ci n’avait rien consulté.
Quel ne fut pas son ébahissement quand Chris frappa trois coups à sa porte. La tartine enduite de Nutella dans la main allait être portée à la bouche quand le retentissement des coups de poings à la porte stoppa net le geste divin.
Je ne vous dis pas qu’après cela, le chocolat fut bien amer.
Mais il en faut plus pour décourager la bête. Le paquetage fut vite préparé et la fine équipe était prête pour s’élancer sur ces nouvelles contrées. Enfin, partiellement nouvelles car il fallait juste rejoindre l’un de nos deux bois fétiche, celui des côtes.
Nous étions donc cinq vététeux presque tous habillés de notre costume de teameux ! Presque car Vivien n’a pas osé porter nos couleurs de peur peut-être de ne pas se montrer à la hauteur de ce blason. Que voulez-vous ? Quand on a l’amour du maillot, cela ne se discute pas.
Néanmoins, c’est de noir et rouge vêtu qu’il décida de s’appareiller. Ceci pour ne pas contraster avec la parure de son spad. Et bien, en parlant de cela, c’est enfin le coming out, la révélation.
Nous avions donc raison. La fabuleux est donc un Cube AMS Pro 125. Le vélo à Cédric était tout excité devant ce nouveau compatriote.
Les vélos allemands dominaient la sortie en nombre pour la première fois. Vivement le retour de Clément pour équilibrer tout cela J’espère que tu seras là la semaine prochaine.
Trèves de bavardage et voyons comment s’est comporté le revenant en cette matinée. Le début fut lancé par Chris et Cédric qui prirent quelques longueurs d’avances. Ils mirent tout de suite du rythme. De toute façon, avec eux maintenant, il faut s’y attendre. Les débuts de sorties sont toujours à fond dans les tours. Ainsi la paillasse est vite réchauffée.
Ils n’ont pas de pitié d’un vieux comme moi (((D :
C’est donc un long faux plat montant qui nous permit d’arriver aux abords du bois, à la sortie de Sacy. Ce chemin de 5 ou 6 kilomètres est une bonne entrée en matière. Herbeux, et ne cessant de prendre des mètres de dénivelé positif au fil de notre avancée, la difficulté est donc bien là. Il faut appuyer fort sur les pédales pour suivre les premiers qui balancent le rythme. Nul doute que d’ici quelques temps notre hôte prendra les choses en main et nous montrera de quel bois il se chauffe. Pour le moment, il suivait et même plutôt bien.
Le parcours par rapport à celui d’il y a deux ans a été amputé de quelques côtes pour éviter de tuer le débutant du jour. Il ne faut pas non plus le dégoûter !!! C’est toujours sur faux plat montant que nous longions la lisière de bois par l’intérieur. Cela allait nous amener jusqu’au pied de la carrière. Nous avions toujours pour habitude de descendre pas là, et bien cette fois-ci, nous allions remonter.
Accompagné de Nono, nous nous portions en tête pour gravir cette première difficulté. Ca roule plutôt bien. Une fois en haut, nous attendons pour voir quelle est la liste des suivants. Oh la surprise de voir Vivien arriver devant Chris et Cédric !!! Et bien, il a de beaux restes le bougre ! Nono décida de ne pas trop attendre et pris quelques mètres d’avance pour récupérer un petit peu. En revanche, ce qu’il ne savait pas c’était que nous devions partir dans l’autre sens. Nous lui lancions un avertissement qu’il n’a apparemment pas entendu. A l’extrémité du chemin, nous nous retournions sans voir l’ombre d’un coyote. Mais où est donc passé Nono ? Il faut sauver le soldat Nono ! Seul dans ce bois qu’il ne connaît pas, il est à la merci de bien des dangers. Ouf, nous voyons à l’horizon pointer le bout de son casque. Mais est-ce bien lui ? Peut-être qu’un gars l’a bouffé et lui a piqué son spad ! Non, finalement, c’est lui, nous l’entendons râler donc il n’y a pas de doute !!!
Nous avons traversé la route pour rejoindre qui sépare le bois des côtes en deux. Cette fois nous étions du côté Breuil le Sec, Nointel. Nous allions nous y diriger. Une bonne partie de plat fut abordée mêlant à la fois de larges allées à des passages techniques plus étroits. Ces allées étaient par endroits parsemées de pierres. La performance s’en trouvait alors réduite. La cadence fut néanmoins assez bonne.
Un peu plus loin, nous nous retrouvions les jantes dans la boue. La diversité de notre tapis de sol était donc bien réelle. Les aptitudes de pilotage s’en trouvent changées et variées. Ce n’est pas pour nous déplaire. Nous sommes passés sur le sommet d’une belle montée que nous prenions dans le vrai parcours. Une belle mémère qui nous faisait souffrir car elle est assez longue. Enfin, nous l’avons évitée mais c’est pour mieux produire notre effort dans la portion positive suivante.
Et je ne vous dis pas quelle est cette fabuleuse portion ! A peine nous avions posé nos roues sur son inclinaison que nous nous disions que cela allait faire mal. Et qu’il y aurait certainement des pieds à terre. Le but c’est de la grimper. Un vrai entraînement pour le Roc. Je déraillais tout en bas. Pendant ce temps là, je voyais Nono et Vivien prendre déjà de l’altitude. Finalement Cédric mit pied à terre. Puis ce fut au tour de Chris. Vivien à bout de force entraîna Nono dans son périple. Néanmoins Vivien se remis en selle pour aller jusqu’au dernier virage qui annonce les derniers efforts à fournir mais pas les moindre car cela monte de plus belle sur plus de 30 mètres. Il du néanmoins se résoudre à abandonner. J’ai réussi à maintenir le rythme jusqu’au bout. Enfin, je l’ai vaincu ! Ce n’est pas si mal car généralement, il faut prendre l’habitude du bois des côtes pour la monter sans poser pied. Je pense que c’est l’une des plus difficiles du bois voir de la région. Ce bois est magique !
Une fois en haut, nous n’y sommes pas restés bien longtemps puisque nous sommes redescendus quelques minutes plus tard pour remonter illico presto. Dans cette ascension, Vivien n’était pas loin derrière. Il a du connaître une erreur de pilotage car je l’ai entendu bougonner. Il va falloir déjà commencer à s’en méfier. C’est stupéfiant !
Cédric était moins à la fête. Les portions positives, il a encore du mal à les apprivoiser. Cela ne peut donc être que du bonus pour son entraînement. Fab, méfies toi car le tiotiot, il va prendre du poil de la bête !!
Nous sommes arrivés au ravitaillement à un large carrefour. Nous profitions de l’espace pour y déposer nos bikes à terre. Après l’effort, le réconfort ! Les barres de céréales furent bien appréciées. Mais il ne fallait pas perdre de temps
car Cédric avait des impératifs alors si nous voulions profiter pleinement des sentiers, il fallait se remettre en selle et vite !
Ceci nous permit de faire encore quelques bornes et de monter encore deux difficultés dont l’une bien appréciable.
Et oui, elle est bien corsée dans ses derniers mètres. Elle peut nous désarçonner facilement surtout vers la fin d’un parcours. C’est ce qui a été fait pour trois d’entre nous. Vivien capitula car les forces devaient lui manquer dès à présent. Chris et Céd tentèrent de la monter mais en vain. Eux aussi connurent une faiblesse. Elle est rude ! Il va falloir se rattraper une prochaine fois. Ce n’est que partie remise !
Le temps qui se grignotait devenait cette fois très restreint. Il fallait rentrer au plus court. Une fois revenu à Sacy, nous prenions l’option route pour gagner en rapidité.
Le train roulant était en marche. En guise de loco, lolo. Chris prit un relais. Puis je repassais devant. La vitesse devait être maintenu à 30 kms/h. 4 ou 5 kilomètres nous séparait de la tanière du fauve. D’ailleurs malgré le peu de jus qui lui restait dans les socquettes il entrepris un relais lui aussi….de 20 mètres. Un vrai guerrier ce Vivien. En revanche Nono ne se montrait pas, le filou. Il fut en deuxième position un court instant mais il se laissa glisser en dernière position pour préparer un coups dont il est le maître en la matière.
Ce qui était prévisible fut prévisible. Nono dans les derniers mètres porta son estocade. Nul ne pu lutter contre ce sprinter rusé des bois.
Ce fut dans l’ensemble une bonne sortie pour chacun d’entre nous. C’est avec plaisir que nous avons retrouvé Vivien. C’est également un bon trip de revenir sur ces terres riches en dénivelé. Il va falloir compter sur ce secteur d’ici 3 mois pour parfaire notre préparation. Et puis cela fait du bien de changer de lieu de pratique de temps à autres.
Pour la semaine prochaine nous reviendrons sur La Neuville. On espère être en compagnie de Clément et pourquoi pas de Nico si tu le souhaites.
Au global, nous avons parcourus 37 kms pour un dénivelé de 675 mètres. J’ai une légère différence avec Chris. La moyenne oscille entre 16 et 17,5 km/h.
Bonne fin de semaine à tous et prions pour que la pluie s’arrête de tomber. A dimanche prochain.
Trèves de bavardage et voyons comment s’est comporté le revenant en cette matinée. Le début fut lancé par Chris et Cédric qui prirent quelques longueurs d’avances. Ils mirent tout de suite du rythme. De toute façon, avec eux maintenant, il faut s’y attendre. Les débuts de sorties sont toujours à fond dans les tours. Ainsi la paillasse est vite réchauffée.
Ils n’ont pas de pitié d’un vieux comme moi (((D :
C’est donc un long faux plat montant qui nous permit d’arriver aux abords du bois, à la sortie de Sacy. Ce chemin de 5 ou 6 kilomètres est une bonne entrée en matière. Herbeux, et ne cessant de prendre des mètres de dénivelé positif au fil de notre avancée, la difficulté est donc bien là. Il faut appuyer fort sur les pédales pour suivre les premiers qui balancent le rythme. Nul doute que d’ici quelques temps notre hôte prendra les choses en main et nous montrera de quel bois il se chauffe. Pour le moment, il suivait et même plutôt bien.
Le parcours par rapport à celui d’il y a deux ans a été amputé de quelques côtes pour éviter de tuer le débutant du jour. Il ne faut pas non plus le dégoûter !!! C’est toujours sur faux plat montant que nous longions la lisière de bois par l’intérieur. Cela allait nous amener jusqu’au pied de la carrière. Nous avions toujours pour habitude de descendre pas là, et bien cette fois-ci, nous allions remonter.
Accompagné de Nono, nous nous portions en tête pour gravir cette première difficulté. Ca roule plutôt bien. Une fois en haut, nous attendons pour voir quelle est la liste des suivants. Oh la surprise de voir Vivien arriver devant Chris et Cédric !!! Et bien, il a de beaux restes le bougre ! Nono décida de ne pas trop attendre et pris quelques mètres d’avance pour récupérer un petit peu. En revanche, ce qu’il ne savait pas c’était que nous devions partir dans l’autre sens. Nous lui lancions un avertissement qu’il n’a apparemment pas entendu. A l’extrémité du chemin, nous nous retournions sans voir l’ombre d’un coyote. Mais où est donc passé Nono ? Il faut sauver le soldat Nono ! Seul dans ce bois qu’il ne connaît pas, il est à la merci de bien des dangers. Ouf, nous voyons à l’horizon pointer le bout de son casque. Mais est-ce bien lui ? Peut-être qu’un gars l’a bouffé et lui a piqué son spad ! Non, finalement, c’est lui, nous l’entendons râler donc il n’y a pas de doute !!!
Nous avons traversé la route pour rejoindre qui sépare le bois des côtes en deux. Cette fois nous étions du côté Breuil le Sec, Nointel. Nous allions nous y diriger. Une bonne partie de plat fut abordée mêlant à la fois de larges allées à des passages techniques plus étroits. Ces allées étaient par endroits parsemées de pierres. La performance s’en trouvait alors réduite. La cadence fut néanmoins assez bonne.
Un peu plus loin, nous nous retrouvions les jantes dans la boue. La diversité de notre tapis de sol était donc bien réelle. Les aptitudes de pilotage s’en trouvent changées et variées. Ce n’est pas pour nous déplaire. Nous sommes passés sur le sommet d’une belle montée que nous prenions dans le vrai parcours. Une belle mémère qui nous faisait souffrir car elle est assez longue. Enfin, nous l’avons évitée mais c’est pour mieux produire notre effort dans la portion positive suivante.
Et je ne vous dis pas quelle est cette fabuleuse portion ! A peine nous avions posé nos roues sur son inclinaison que nous nous disions que cela allait faire mal. Et qu’il y aurait certainement des pieds à terre. Le but c’est de la grimper. Un vrai entraînement pour le Roc. Je déraillais tout en bas. Pendant ce temps là, je voyais Nono et Vivien prendre déjà de l’altitude. Finalement Cédric mit pied à terre. Puis ce fut au tour de Chris. Vivien à bout de force entraîna Nono dans son périple. Néanmoins Vivien se remis en selle pour aller jusqu’au dernier virage qui annonce les derniers efforts à fournir mais pas les moindre car cela monte de plus belle sur plus de 30 mètres. Il du néanmoins se résoudre à abandonner. J’ai réussi à maintenir le rythme jusqu’au bout. Enfin, je l’ai vaincu ! Ce n’est pas si mal car généralement, il faut prendre l’habitude du bois des côtes pour la monter sans poser pied. Je pense que c’est l’une des plus difficiles du bois voir de la région. Ce bois est magique !
Une fois en haut, nous n’y sommes pas restés bien longtemps puisque nous sommes redescendus quelques minutes plus tard pour remonter illico presto. Dans cette ascension, Vivien n’était pas loin derrière. Il a du connaître une erreur de pilotage car je l’ai entendu bougonner. Il va falloir déjà commencer à s’en méfier. C’est stupéfiant !
Cédric était moins à la fête. Les portions positives, il a encore du mal à les apprivoiser. Cela ne peut donc être que du bonus pour son entraînement. Fab, méfies toi car le tiotiot, il va prendre du poil de la bête !!
Nous sommes arrivés au ravitaillement à un large carrefour. Nous profitions de l’espace pour y déposer nos bikes à terre. Après l’effort, le réconfort ! Les barres de céréales furent bien appréciées. Mais il ne fallait pas perdre de temps
car Cédric avait des impératifs alors si nous voulions profiter pleinement des sentiers, il fallait se remettre en selle et vite !
Ceci nous permit de faire encore quelques bornes et de monter encore deux difficultés dont l’une bien appréciable.
Et oui, elle est bien corsée dans ses derniers mètres. Elle peut nous désarçonner facilement surtout vers la fin d’un parcours. C’est ce qui a été fait pour trois d’entre nous. Vivien capitula car les forces devaient lui manquer dès à présent. Chris et Céd tentèrent de la monter mais en vain. Eux aussi connurent une faiblesse. Elle est rude ! Il va falloir se rattraper une prochaine fois. Ce n’est que partie remise !
Le temps qui se grignotait devenait cette fois très restreint. Il fallait rentrer au plus court. Une fois revenu à Sacy, nous prenions l’option route pour gagner en rapidité.
Le train roulant était en marche. En guise de loco, lolo. Chris prit un relais. Puis je repassais devant. La vitesse devait être maintenu à 30 kms/h. 4 ou 5 kilomètres nous séparait de la tanière du fauve. D’ailleurs malgré le peu de jus qui lui restait dans les socquettes il entrepris un relais lui aussi….de 20 mètres. Un vrai guerrier ce Vivien. En revanche Nono ne se montrait pas, le filou. Il fut en deuxième position un court instant mais il se laissa glisser en dernière position pour préparer un coups dont il est le maître en la matière.
Ce qui était prévisible fut prévisible. Nono dans les derniers mètres porta son estocade. Nul ne pu lutter contre ce sprinter rusé des bois.
Ce fut dans l’ensemble une bonne sortie pour chacun d’entre nous. C’est avec plaisir que nous avons retrouvé Vivien. C’est également un bon trip de revenir sur ces terres riches en dénivelé. Il va falloir compter sur ce secteur d’ici 3 mois pour parfaire notre préparation. Et puis cela fait du bien de changer de lieu de pratique de temps à autres.
Pour la semaine prochaine nous reviendrons sur La Neuville. On espère être en compagnie de Clément et pourquoi pas de Nico si tu le souhaites.
Au global, nous avons parcourus 37 kms pour un dénivelé de 675 mètres. J’ai une légère différence avec Chris. La moyenne oscille entre 16 et 17,5 km/h.
Bonne fin de semaine à tous et prions pour que la pluie s’arrête de tomber. A dimanche prochain.
lundi 11 mai 2009
les stats
nous prenons donc nos nouvelles habitudes, voici les stats en attendant le resume de l'action.
petit rapel, nous avions prevu une surprise pour vivien et je pense que vous serez d'accord ca été lui la surprise !!
il nous a surpris et quand vous allez voir les stats encore plus.
j'avais prevu pour l'occasion un parcour sur le "bois des cotes " de 40km avec 630 +.
au debut du parcour meconnaissant la forme de vivien nous etions hesitant et avons supprimer une cote pour arriver au final avec 37 kms et 668 + et 16 de moyenne
oui vous avez bien lu, une fois encore ce bois porte bien son nom ;-))
je met le fichier sur le site.
jeudi 7 mai 2009
dimanche matin ....
le roi , sa femme et le petit veteteux sont venu chez moi ?
non je ne suis pas devenu fou, c'est le temps passé avec marion qui me fait ca et le retour de la chaleur.
redevenons serieux, quel est le programme pour dimanche.
car d'apres mes renseignements il va y avoir du veteteux dehors: moi, nono,lolo, cedric et clement
pour ce qui est des autres ou plutot de l'autre ? mystere.
alors avec lolo on avait pensé vous proposez de se rejoindre du cote de st martin.
Etes vous ok pour une sortie vers le b... des C...s ;-))
sinon il y a tjs la neuville , theatre de sortie explosives ces dernieres semaines.
allez y donner votre avis .
chris
non je ne suis pas devenu fou, c'est le temps passé avec marion qui me fait ca et le retour de la chaleur.
redevenons serieux, quel est le programme pour dimanche.
car d'apres mes renseignements il va y avoir du veteteux dehors: moi, nono,lolo, cedric et clement
pour ce qui est des autres ou plutot de l'autre ? mystere.
alors avec lolo on avait pensé vous proposez de se rejoindre du cote de st martin.
Etes vous ok pour une sortie vers le b... des C...s ;-))
sinon il y a tjs la neuville , theatre de sortie explosives ces dernieres semaines.
allez y donner votre avis .
chris
mardi 5 mai 2009
En mai fais du VTT...
Au mois de mai fais du vtt ou ce qu’il te plait. Mais bon, je crois que tout cela revient au même. Le dicton du jour lance les hostilités.
Nous allons sûrement entrer dans une saison plus chaude avec des jours qui s’allongent. Je crois que certains l’ont déjà remarqué et en ont profité pour lâcher les chevaux. Nous verrons cela par la suite…
Nous étions 3 en ce dimanche, toujours en forêt de la Neuville malgré les diverses sorties organisées qui ont lieu en ce moment. Arfff, notre phase de préparation s’éternise un peu mais il faut que nous soyons prêts pour afficher nos couleurs lors des randos de groupe. Pas vrai les gars ???
Cédric et Nono étaient arrivés avant moi bien sur. Au premier coup d’œil, je vis les nouveaux pneus de Cédric flambant neufs. A l’avant, la monte était constituée d’un Racing Ralph section 2.1. Pneu favorisant le rendement par excellence. Le pneu des compétiteurs. Sur l’arrière, un Larsen TT en 1.9 (taillant plutôt 1.8) venait compléter le train roulant. Autant dire que cette configuration pour terrain sec ne laissait aucun doute sur les intentions du biker. Nous devrions avoir de la vitesse sur nos sentiers durant les prochains dimanche.
Et de la vitesse, c’est bien la première chose que Cédric s’empressa de nous donner dès les premiers tours de roues. Il est vrai que sa transmission, elle aussi toute neuve, ne devrait pas cette fois-ci freiner la dépense d’énergie de peur de briser une chaîne à coups de jarret.
Mais, nous avions vécu ce genre de manège la semaine passée avec ce chassé-croisé organisé entre Chris et Céd. Nous ne voulions pas cette semaine encore prendre du vent dans la musette et nous faire enrhumer de nouveau. Il fallait donc prendre les devants et c’est ce que j’ai entrepris. Je ne sais pas pourquoi mais le circuit allait connaître une mutation transmontagnarde d’un coups d’un seul. Nous sommes donc descendus pour profiter ensuite des montées qui allaient se présenter à nous. De notre point culminant au carrefour de la croix grand Jean nous sommes redescendus vers le GR124 mais juste avant de le rejoindre nous avons pris la petite sente sur la droite qui vient du bois de sapins. Loupant sur notre gauche l’entrée dans les conifères nous avons atterri dans la pente en sable rejoignant le carrefour de la fontaine aux aulnes. Il fallait trouvez ruine alternative pour remonter. L’option chemin large en cailloux s’offrait fabuleusement bien à nous pour ce début de parcours. Avant d’en arrivée au sommet, je pris le chemin sur la gauche, un peu plus pentu, offrant un peu plus de relief pour pigmenter un peu notre sortie. Diantre, que se passe t-il ? Céd et Nono ne m’ont pas suivi ! Ils ont choisi l’option « facilité ». Je rêve ! Ce n’est pourtant pas si difficile que cela !!! Bon, on leur pardonne. Nous aurons encore de nombreux kilomètres devant nous et de bons profils en perspective…
Nous avons rejoins pour finir ce fameux GR124 mais dans sa partie plate. Du moins, jusqu’au carrefour suivant car là, une légère bifurcation nous emmena vers une remontée à pleine vapeur. Dans la seconde partie d’ascension, Nono me dépassa insolemment ! Oh, on ne me la fait pas comme ça. Je sais reconnaître d’une semaine à l’autre si un entraînement, même infime, a eu lieu entre les deux dimanche. Ca se sent ! Et là mon tarin me grattait rudement. Le petit cachottier…. Mais c’est bien, cela nous motive tous. Et pour preuve, Cédric est quasi dans les starting block avec un Cannondale reconverti en missile de route.
Il ne va pas falloir trop tarder à mettre le bleu de chauffe !
En attendant, Cédric, justement, avait un peu de peine. Quand l’inclinaison se fait du bas vers le haut, ce n’est pas son terrain, du moins pas encore. Mais ça va venir ! La mise en bouche avait un relent de cassoulet à la graisse d’oie. Un peu indigeste. Mais si bon quand on y pense.
De cette remontée, direction du sentier où nous avions croisé des chercheurs de morilles il n’y a pas si longtemps. Puis, dilemme ??? Quelle option tactique allions nous prendre ? A gauche, puis redescente ou tout droit, descente technique et risquer de se trouver au pied d’un mur à escalader ?? Trop facile comme décision ! Nous choisissons l’option mur, bien sur.
Ce qui est bien, c’est qu’une fois en haut, il faut redescendre, juste le temps de faire 500 mètres de plat avant de reprendre l’ascenseur jusqu’au dernier étage.
Une fois en terrasse, nous avions un peu de terrain cassant avec ce single track qui traverse deux parcelles de champs. Ce sentier est toujours défoncé car les cochons viennent y mettre le groin dedans. Après, nous entrons dans le bois avec un peu de zigzags et oups, une dégringolade jusqu’au niveau zéro.
Arrivés à ce point, il faut se re-motiver avec un bon faux plat montant et quelques ornières pour corser l’addition. Vous pensez donc bien qu’avec la tournure que prend cette sortie, la moyenne ne sera pas comme celle de la semaine passée. Les grandes chevauchées, crinières au vent, c’est oublié !
Une accalmie d’une bonne cinquantaine de mètres avec une portion bitumée et bien de niveau, nous permit de souffler. Enfin, du moins de reposer un peu les guiboles avant d’entreprendre une course de côtes.
Une fois encore, nous n’arrivions pas à nous décider. J’avais en tête de rejoindre la côte du cimetière de Hermes. Mais si nous grimpions tout de suite nous serions obligés de croiser notre trace enregistrée sur le gps. Avouez que cela ne fait pas joli ! Il fallait trouver une solution. Nono nous décida finalement de partir vers l’escalade immédiate pour ensuite faire un creu-bosse-creu et enfin arriver au pied de la côte du cimetière. Dans le fond, pas mauvaise cette option, car nous récupérons davantage de chiffres pour ajouter au dénivelé final.
Voici donc que nous nous présentions dans cette petite grimpette que je qualifierais de « sympathique » ! Allez, on mouline mais pas trop et on garde la cadence ! Je sentais Nono dans ma roue qui me collait au train. Il ne faut pas lâcher ! Ha le virage, pris un peu trop large, zut ! Ba, je me rattrape et continue dans ma quête. Ca roule à crampons rompus ! Le rythme ne faibli pas jusqu’en haut. Nono dans les ultimes mètres me passe devant alors que le pourcentage de pente diminuait. Bravo l’artiste ! En tout cas, nous l’avons montée vitesse grand V. Et en plus, pas essoufflés ! C’est dingue !
Nous avons pris soin de mettre le grand développement pour rejoindre la cabane aux pigeons, lieu mythique de la Neuville. Faux plat montant, Nono pris les devants pour nous mener à bonne destination. Nous sommes entrés dans le bois et n’avons pas changé de développement. Le dernier coups de cul avant de rejoindre le carrefour du soleil fut bien négocié par Nono qui gardait de la vélocité et suffisamment de tonus. Ce carrefour, de par son nom, devait nous réchauffer. Pour se faire, nous avons pris la grande ligne droite avec ses deux trous et à la traversée du GR nous avons continué tout droit enchaînant les montagnes russes, comme je me plait à les surnommer. Avant de rejoindre le carrefour des verrières, nous pouvions nous délecter de la descente technique avec son sable et ses moellons.
Nono prit à son compte la suite du tracé, voulant nous amener vers la bosse qui nous transporte jusqu’au voitures. S’il a choisi de passer par là c’est parce qu’il sait que je n’aime pas cette « mémère ». Il l’a fait exprès !!! Bon, cette fois, elle ne m’a pas déplu, puisqu’elle fut classée au rang des formalités. Petite remontée facile !!!
Nous revoilà au point de départ mais, il se fait tôt et en plus, nous avons faim. Donc pause casse-croûte. Durant notre délassement, nous eûmes la vision d’un sportif de haut rang qui passa tout à côté de nous. L’athlète portait sur lui un short à la dernière mode qui laissait entrevoir un large fessier d’une blancheur remarquable.
Trêve de détente, allez, en piste, nous n’avons pas fini ! Nous repartions par le chemin dans notre dos. Nous risquions un passage dans les branchages laissés au sol par les forestiers. La suite reste des plus classiques, du moins pour tous ceux qui connaissent. Un bon secteur de plat nous attendait. Le top départ fut donné par Cédric, puis à la maison forestière du Lieutenant nous nous sommes laissés aller à prendre le chemin longeant la route forestière. Cédric fut devant encore quelques moments avant que je prenne le relais. Pour une fois que le terrain le permettait, nous primes la balle au bond et nous en profitions pour appuyer un peu. Nous sommes partis tambour battant jusque la première descente de Fay mais en passant par le champ où Chris chuta la semaine dernière. Nous ralentissions le tempo à cause de chevaux qui se présentaient face à nous, plutôt craintifs les bêtes. La prudence était donc obligatoire. Nous n’aurions pas voulu voir les cavaliers désarçonnés à cause de nous et passer une annonce pour retrouver les canassons.
A l’amorce de cette dévalade, nous avons croisé 3 archers, peut-être des indiens ? Nono croit avoir reconnu Robin des bois. En fait, il y avait un concours de tirs organisé. Des cibles devaient être certainement disposées dans la forêt et un challenge était organisé, genre course d’orientation. Il fallu donc éviter les flèches.
C’est certainement pour cela que nous avons mis les watts. Pour nous, c’est une séquence d’enduro qui débutait. Une spéciale en descente puis une remontée… Tout en bas, quand nous levions les yeux vers le haut, nous avons pu voir un chevreuil au beau milieu du chemin. La nature nous gâte. Merci.
Dans notre remontée, nous avons perdu pas mal de temps. Tout premièrement parce que nous observions cet animal. Ensuite nous sommes entrés dans la section du single. Celui-ci est un vrai champ de laboure. Les chevaux l’ont complètement retourné par leur passage. Et comble de tout, nous recroisions les cavaliers que nous avions rencontrés sur les hauteurs. Nous nous sommes mis sur les côtés pour les laisser passer. La suite du single était trop déplorable ! Une section que nous éviterons à présent. Comme quoi, ça craint de cheval !
Nous nous lancions donc vers Boulincourt en prenant notre point d’envol au niveau de l’ancien terrain de cross. L’atterrissage devait finir par le raidillard en bitume propice à se tirer la bourre. C’est ce que nous avons fait moi et Nono. Mais ; il m’a eu ! Dans ma lancée, j’ai gardé le grand plateau pensant que j’avais les cuisses assez puissantes. Et bien on, je n’ai pas eu assez de force pour maintenir le rythme jusqu’au bout et Non avait choisi l’option plateau intermédiaire.
Il nous restait une demie heure pour faire le tour d’Etouy et revenir. Une rude challenge tout de même. Il ne va pas falloir traîner. Nous avons longé l’étang pour ensuite repasser par l’ancien monastère. Sur le chemin large et blanc, Nono s’échappa. Je m’employais à le rattraper. Une occasion d’afficher au compteur les 45 km/h.
Les 30 kilomètres passés, dans la portion suivante, je sentais les cuisses se durcir de temps à autre. Pour suivre Nono maintenant, il fallait faire davantage d’efforts. Pour Cédric se devait être la même chose mais depuis un moment déjà…(lol. Pas tranquille comme sortie !! ).
Dans la ligne droite qui entame cette boucle, à vive allure je dis « stoppe ! ». J’avais vu quelques clochettes de muguet sur les bords. Comme je savais que Cédric en recherchait, l’occasion était parfaite pour aller collecter ce que nous offre mère Nature. Un petit bouquet parfumé allait donc être maintenant à disposition, prêt à rentrer à la maison. D’ailleurs, cet intermède nous fit prendre du retard dans notre projet fou de faire en 30 minutes le circuit d’Etouy et remonter. Du coup, il fallait prendre la poudre d’escampette et repartir vers nos véhicules mais la route était longue. Cet arrêt et ce demi tour sont représentés sur le parcours gps par la petite queue de rat qui dépasse du tracé.
Nous sommes remontés par un raidillon que nous avions pris avec Nono il y a quelques temps. Cédric ne le connaissait pas. C’est à refaire car c’est sympa. Ensuite, nous faisions la deuxième étape de montagne. Cette ascension assez longue sur son ensemble ne laissait pas de répis à Cédric qui en avait plein les gambettes. La fatigue et le mal de dos l’avaient assailli. Nous décidions donc de le mettre sous escorte pour terminer le parcours.
Avant d’arriver sur le chemin blanc caillouteux menant jusqu’au carrefour du magasin, je pris un peu d’élan pour me préparer à un raid sur grand plateau. Nono me retint, m’interdisant de le faire. Alors que nous abordions le quart de cette ligne droite du retour, Cédric accéléra. L’occasion était trop belle. Une bénédiction pour mettre les watts. Là encore au compteur, les 45 km/h sont apparus. Maintenant, dire où s’est faite la vitesse maximale de 45,7 km/h ??? Je n’en sais rien !
Au final, nous parcourons 42,3 kms. Le gps indiquait 1125 mètres de dénivelé positif. En calant les altitudes sur Carto, il nous reste 772 mètres de positif. Pas si mal ! Cela ressemble à un entraînement en vue d’affronter dans les prochaines semaines le bois des côtes. En revanche la moyenne chute à 17,13 km/h. Les sensations étaient bonnes. Il faut persévérer encore pour gagner un peu en endurance. Un souci qu’à priori maîtrise déjà Nono. Ces sorties avec 15 bornes en plus chaque dimanche commencent à porter leurs fruits. Pour nous, il faut encore bosser ! Nous sommes sur la bonne voie !
Nous allons sûrement entrer dans une saison plus chaude avec des jours qui s’allongent. Je crois que certains l’ont déjà remarqué et en ont profité pour lâcher les chevaux. Nous verrons cela par la suite…
Nous étions 3 en ce dimanche, toujours en forêt de la Neuville malgré les diverses sorties organisées qui ont lieu en ce moment. Arfff, notre phase de préparation s’éternise un peu mais il faut que nous soyons prêts pour afficher nos couleurs lors des randos de groupe. Pas vrai les gars ???
Cédric et Nono étaient arrivés avant moi bien sur. Au premier coup d’œil, je vis les nouveaux pneus de Cédric flambant neufs. A l’avant, la monte était constituée d’un Racing Ralph section 2.1. Pneu favorisant le rendement par excellence. Le pneu des compétiteurs. Sur l’arrière, un Larsen TT en 1.9 (taillant plutôt 1.8) venait compléter le train roulant. Autant dire que cette configuration pour terrain sec ne laissait aucun doute sur les intentions du biker. Nous devrions avoir de la vitesse sur nos sentiers durant les prochains dimanche.
Et de la vitesse, c’est bien la première chose que Cédric s’empressa de nous donner dès les premiers tours de roues. Il est vrai que sa transmission, elle aussi toute neuve, ne devrait pas cette fois-ci freiner la dépense d’énergie de peur de briser une chaîne à coups de jarret.
Mais, nous avions vécu ce genre de manège la semaine passée avec ce chassé-croisé organisé entre Chris et Céd. Nous ne voulions pas cette semaine encore prendre du vent dans la musette et nous faire enrhumer de nouveau. Il fallait donc prendre les devants et c’est ce que j’ai entrepris. Je ne sais pas pourquoi mais le circuit allait connaître une mutation transmontagnarde d’un coups d’un seul. Nous sommes donc descendus pour profiter ensuite des montées qui allaient se présenter à nous. De notre point culminant au carrefour de la croix grand Jean nous sommes redescendus vers le GR124 mais juste avant de le rejoindre nous avons pris la petite sente sur la droite qui vient du bois de sapins. Loupant sur notre gauche l’entrée dans les conifères nous avons atterri dans la pente en sable rejoignant le carrefour de la fontaine aux aulnes. Il fallait trouvez ruine alternative pour remonter. L’option chemin large en cailloux s’offrait fabuleusement bien à nous pour ce début de parcours. Avant d’en arrivée au sommet, je pris le chemin sur la gauche, un peu plus pentu, offrant un peu plus de relief pour pigmenter un peu notre sortie. Diantre, que se passe t-il ? Céd et Nono ne m’ont pas suivi ! Ils ont choisi l’option « facilité ». Je rêve ! Ce n’est pourtant pas si difficile que cela !!! Bon, on leur pardonne. Nous aurons encore de nombreux kilomètres devant nous et de bons profils en perspective…
Nous avons rejoins pour finir ce fameux GR124 mais dans sa partie plate. Du moins, jusqu’au carrefour suivant car là, une légère bifurcation nous emmena vers une remontée à pleine vapeur. Dans la seconde partie d’ascension, Nono me dépassa insolemment ! Oh, on ne me la fait pas comme ça. Je sais reconnaître d’une semaine à l’autre si un entraînement, même infime, a eu lieu entre les deux dimanche. Ca se sent ! Et là mon tarin me grattait rudement. Le petit cachottier…. Mais c’est bien, cela nous motive tous. Et pour preuve, Cédric est quasi dans les starting block avec un Cannondale reconverti en missile de route.
Il ne va pas falloir trop tarder à mettre le bleu de chauffe !
En attendant, Cédric, justement, avait un peu de peine. Quand l’inclinaison se fait du bas vers le haut, ce n’est pas son terrain, du moins pas encore. Mais ça va venir ! La mise en bouche avait un relent de cassoulet à la graisse d’oie. Un peu indigeste. Mais si bon quand on y pense.
De cette remontée, direction du sentier où nous avions croisé des chercheurs de morilles il n’y a pas si longtemps. Puis, dilemme ??? Quelle option tactique allions nous prendre ? A gauche, puis redescente ou tout droit, descente technique et risquer de se trouver au pied d’un mur à escalader ?? Trop facile comme décision ! Nous choisissons l’option mur, bien sur.
Ce qui est bien, c’est qu’une fois en haut, il faut redescendre, juste le temps de faire 500 mètres de plat avant de reprendre l’ascenseur jusqu’au dernier étage.
Une fois en terrasse, nous avions un peu de terrain cassant avec ce single track qui traverse deux parcelles de champs. Ce sentier est toujours défoncé car les cochons viennent y mettre le groin dedans. Après, nous entrons dans le bois avec un peu de zigzags et oups, une dégringolade jusqu’au niveau zéro.
Arrivés à ce point, il faut se re-motiver avec un bon faux plat montant et quelques ornières pour corser l’addition. Vous pensez donc bien qu’avec la tournure que prend cette sortie, la moyenne ne sera pas comme celle de la semaine passée. Les grandes chevauchées, crinières au vent, c’est oublié !
Une accalmie d’une bonne cinquantaine de mètres avec une portion bitumée et bien de niveau, nous permit de souffler. Enfin, du moins de reposer un peu les guiboles avant d’entreprendre une course de côtes.
Une fois encore, nous n’arrivions pas à nous décider. J’avais en tête de rejoindre la côte du cimetière de Hermes. Mais si nous grimpions tout de suite nous serions obligés de croiser notre trace enregistrée sur le gps. Avouez que cela ne fait pas joli ! Il fallait trouver une solution. Nono nous décida finalement de partir vers l’escalade immédiate pour ensuite faire un creu-bosse-creu et enfin arriver au pied de la côte du cimetière. Dans le fond, pas mauvaise cette option, car nous récupérons davantage de chiffres pour ajouter au dénivelé final.
Voici donc que nous nous présentions dans cette petite grimpette que je qualifierais de « sympathique » ! Allez, on mouline mais pas trop et on garde la cadence ! Je sentais Nono dans ma roue qui me collait au train. Il ne faut pas lâcher ! Ha le virage, pris un peu trop large, zut ! Ba, je me rattrape et continue dans ma quête. Ca roule à crampons rompus ! Le rythme ne faibli pas jusqu’en haut. Nono dans les ultimes mètres me passe devant alors que le pourcentage de pente diminuait. Bravo l’artiste ! En tout cas, nous l’avons montée vitesse grand V. Et en plus, pas essoufflés ! C’est dingue !
Nous avons pris soin de mettre le grand développement pour rejoindre la cabane aux pigeons, lieu mythique de la Neuville. Faux plat montant, Nono pris les devants pour nous mener à bonne destination. Nous sommes entrés dans le bois et n’avons pas changé de développement. Le dernier coups de cul avant de rejoindre le carrefour du soleil fut bien négocié par Nono qui gardait de la vélocité et suffisamment de tonus. Ce carrefour, de par son nom, devait nous réchauffer. Pour se faire, nous avons pris la grande ligne droite avec ses deux trous et à la traversée du GR nous avons continué tout droit enchaînant les montagnes russes, comme je me plait à les surnommer. Avant de rejoindre le carrefour des verrières, nous pouvions nous délecter de la descente technique avec son sable et ses moellons.
Nono prit à son compte la suite du tracé, voulant nous amener vers la bosse qui nous transporte jusqu’au voitures. S’il a choisi de passer par là c’est parce qu’il sait que je n’aime pas cette « mémère ». Il l’a fait exprès !!! Bon, cette fois, elle ne m’a pas déplu, puisqu’elle fut classée au rang des formalités. Petite remontée facile !!!
Nous revoilà au point de départ mais, il se fait tôt et en plus, nous avons faim. Donc pause casse-croûte. Durant notre délassement, nous eûmes la vision d’un sportif de haut rang qui passa tout à côté de nous. L’athlète portait sur lui un short à la dernière mode qui laissait entrevoir un large fessier d’une blancheur remarquable.
Trêve de détente, allez, en piste, nous n’avons pas fini ! Nous repartions par le chemin dans notre dos. Nous risquions un passage dans les branchages laissés au sol par les forestiers. La suite reste des plus classiques, du moins pour tous ceux qui connaissent. Un bon secteur de plat nous attendait. Le top départ fut donné par Cédric, puis à la maison forestière du Lieutenant nous nous sommes laissés aller à prendre le chemin longeant la route forestière. Cédric fut devant encore quelques moments avant que je prenne le relais. Pour une fois que le terrain le permettait, nous primes la balle au bond et nous en profitions pour appuyer un peu. Nous sommes partis tambour battant jusque la première descente de Fay mais en passant par le champ où Chris chuta la semaine dernière. Nous ralentissions le tempo à cause de chevaux qui se présentaient face à nous, plutôt craintifs les bêtes. La prudence était donc obligatoire. Nous n’aurions pas voulu voir les cavaliers désarçonnés à cause de nous et passer une annonce pour retrouver les canassons.
A l’amorce de cette dévalade, nous avons croisé 3 archers, peut-être des indiens ? Nono croit avoir reconnu Robin des bois. En fait, il y avait un concours de tirs organisé. Des cibles devaient être certainement disposées dans la forêt et un challenge était organisé, genre course d’orientation. Il fallu donc éviter les flèches.
C’est certainement pour cela que nous avons mis les watts. Pour nous, c’est une séquence d’enduro qui débutait. Une spéciale en descente puis une remontée… Tout en bas, quand nous levions les yeux vers le haut, nous avons pu voir un chevreuil au beau milieu du chemin. La nature nous gâte. Merci.
Dans notre remontée, nous avons perdu pas mal de temps. Tout premièrement parce que nous observions cet animal. Ensuite nous sommes entrés dans la section du single. Celui-ci est un vrai champ de laboure. Les chevaux l’ont complètement retourné par leur passage. Et comble de tout, nous recroisions les cavaliers que nous avions rencontrés sur les hauteurs. Nous nous sommes mis sur les côtés pour les laisser passer. La suite du single était trop déplorable ! Une section que nous éviterons à présent. Comme quoi, ça craint de cheval !
Nous nous lancions donc vers Boulincourt en prenant notre point d’envol au niveau de l’ancien terrain de cross. L’atterrissage devait finir par le raidillard en bitume propice à se tirer la bourre. C’est ce que nous avons fait moi et Nono. Mais ; il m’a eu ! Dans ma lancée, j’ai gardé le grand plateau pensant que j’avais les cuisses assez puissantes. Et bien on, je n’ai pas eu assez de force pour maintenir le rythme jusqu’au bout et Non avait choisi l’option plateau intermédiaire.
Il nous restait une demie heure pour faire le tour d’Etouy et revenir. Une rude challenge tout de même. Il ne va pas falloir traîner. Nous avons longé l’étang pour ensuite repasser par l’ancien monastère. Sur le chemin large et blanc, Nono s’échappa. Je m’employais à le rattraper. Une occasion d’afficher au compteur les 45 km/h.
Les 30 kilomètres passés, dans la portion suivante, je sentais les cuisses se durcir de temps à autre. Pour suivre Nono maintenant, il fallait faire davantage d’efforts. Pour Cédric se devait être la même chose mais depuis un moment déjà…(lol. Pas tranquille comme sortie !! ).
Dans la ligne droite qui entame cette boucle, à vive allure je dis « stoppe ! ». J’avais vu quelques clochettes de muguet sur les bords. Comme je savais que Cédric en recherchait, l’occasion était parfaite pour aller collecter ce que nous offre mère Nature. Un petit bouquet parfumé allait donc être maintenant à disposition, prêt à rentrer à la maison. D’ailleurs, cet intermède nous fit prendre du retard dans notre projet fou de faire en 30 minutes le circuit d’Etouy et remonter. Du coup, il fallait prendre la poudre d’escampette et repartir vers nos véhicules mais la route était longue. Cet arrêt et ce demi tour sont représentés sur le parcours gps par la petite queue de rat qui dépasse du tracé.
Nous sommes remontés par un raidillon que nous avions pris avec Nono il y a quelques temps. Cédric ne le connaissait pas. C’est à refaire car c’est sympa. Ensuite, nous faisions la deuxième étape de montagne. Cette ascension assez longue sur son ensemble ne laissait pas de répis à Cédric qui en avait plein les gambettes. La fatigue et le mal de dos l’avaient assailli. Nous décidions donc de le mettre sous escorte pour terminer le parcours.
Avant d’arriver sur le chemin blanc caillouteux menant jusqu’au carrefour du magasin, je pris un peu d’élan pour me préparer à un raid sur grand plateau. Nono me retint, m’interdisant de le faire. Alors que nous abordions le quart de cette ligne droite du retour, Cédric accéléra. L’occasion était trop belle. Une bénédiction pour mettre les watts. Là encore au compteur, les 45 km/h sont apparus. Maintenant, dire où s’est faite la vitesse maximale de 45,7 km/h ??? Je n’en sais rien !
Au final, nous parcourons 42,3 kms. Le gps indiquait 1125 mètres de dénivelé positif. En calant les altitudes sur Carto, il nous reste 772 mètres de positif. Pas si mal ! Cela ressemble à un entraînement en vue d’affronter dans les prochaines semaines le bois des côtes. En revanche la moyenne chute à 17,13 km/h. Les sensations étaient bonnes. Il faut persévérer encore pour gagner un peu en endurance. Un souci qu’à priori maîtrise déjà Nono. Ces sorties avec 15 bornes en plus chaque dimanche commencent à porter leurs fruits. Pour nous, il faut encore bosser ! Nous sommes sur la bonne voie !
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