mercredi 31 décembre 2008

Bonne nouvelle

j'ai été faire un tour sur le blog du Vivien !!!

pendant que nous, nous faisons du VTT, Vivien fait de la WII et mange de la tartiflette à l'andouillette.
Bref, un bon régime de reprise.

Courage Vivien, et continu !!!

mardi 23 décembre 2008

invitation

coucou les vététeux
Rappel : vous êtes invité à mon anniversaire le samedi 17 janvier au soir à Sorrus.
sortie VTT le dimanche oblige!!!
Alors merci de me tenir informé de votre venue.
Si vous avez un problème de logement (car nous ne pouvons pas héberger tout le monde) ma petite femme a trouvé un bon plan : hôtel 4 * au TOUQUET PARIS PLAGE 38 € la nuit p'tit dej' offert nous contacter pour les résas pour faire un tir groupé.
Je compte sur vous pour faire la fête et vous montrer que dans le Nord il y a aussi des dénivelés
(avec du vent---)
lol
A bientôt
Fab

dimanche 21 décembre 2008

snif snif

Pourquoi snif, c'est avec un grand regret que je vient de laisser partir le velo d'absalon .

Heusement ce n'etait qu'une pale copie;-)), desole cher cousin il ne me reste plus que le nakamura a te preter pour ton retour !!!!

j'en profite pour demander des nouvelles de notre cher nono que l'on a vu sur les rotules ce matin ?comment va ce p.... de dos?

pour les stats, pas si mal
47 km 15,4 km/h et 520 + pour moi bien sur

bonne fete de noel a ts les veteteux

vendredi 19 décembre 2008

sortie de dimanche

alors que fait on ce week end en attendant le pere noel ;-)

nous avions evoquer la neuville si fab venait sinon ? senlis ?

la meteo annonce 7° et un ciel couvert, c'est pas terrible mais il ne pleut pas c'est deja ca.

Nono sera t il sorti du lit ?
Fab sera t il parmis nous ?
Vivien aura t il son C....... ?
clement aura t il finit son mur ?
Cedric sera t il la pour la 5eme fois ?
lolo sera t il a l'heure ?
nico fera t il le deplacement ?
et moi aurai je mal au dos ? mon kine m'a dit de ne pas forcer , je vais l'ecouter ;-))

bon samedi et a dimanche 9h

jeudi 18 décembre 2008

commande

je vais commander des plaquettes de frein chez Barracuda si ça intéresse qqun de faire un achat groupé ???

mardi 16 décembre 2008

la Creilloise


Les vététeux étaient donc de sortie ce week-end. Ce n’est pas malheureusement la bonne saison pour exposer nos maillots et nos couleurs. Cependant, sortir hors de ses terres, ça a du charme.

Nous devions donc nous retrouver sur le point de départ et envoyer des sms si une annulation malencontreuse devait survenir en raison de conditions météo extrêmes. Sachant que Nono allait me rejoindre devant chez moi, je m’empressais pour une fois de sortir ma voiture dans la rue pour provoquer la stupéfaction de notre joyeux fanfaron vététeux.

Il était déjà 8 H 30 et je ne voyais pas encore poindre à l’horizon le modèle Audi tant attendu. Je scrutais la rue pour apercevoir au plus tôt les éclairages de phares mais il n’y en eu pas beaucoup. 8 h 35….Rien. Mince, Nono il n’est jamais en retard ! Il a du oublier quelque chose. 8 H 40 … Envoi de sms pour demander ce qu’il fait en cette si belle matinée…maussade. Pas de réponse. A 8 H 43 je décolle. J’envoie un autre sms pour prévenir Chris de mon retard. Plus tard sur la route, il me rappela. Il était déjà arrivé et il m’expliquait qu’un ballet de voiture et un grand nombre de vététistes étaient déjà présents. Cette sortie allait donc tenir toutes ses promesses.

A peine étais-je arrivé à destination que Cédric me succéda. Nous étions donc trois. Pas si mal finalement car le temps aurait pu en décourager plus d’un. D’ailleurs, pour revenir à Nono, il m’adressa un mail en me signifiant qu’il dormait ! « Non mais….en voilà des manières… »

Tu ne nous as pas habitué à cela ! Remarque, maintenant, je me rappelle de chansons enfantines et j’en retrouve la signification…. Un exemple : « Meunier, tu dors, ton moulin, ton moulin va trop…. », vous la connaissez tous. (((lol

Par contre question moulinage, c’est à revoir ((lol On espère quand même te voir dimanche prochain. Le lieu du rassemblement sera vraisemblablement LA NEUVILLE. Fabrice sera là.

Donc, n’entame pas ta phase d’hibernation, ce n’est pas la peine. Tu vas te transformer en ours. La pilosité va te pousser de partout, et ….si tu reviens et qu’il y a encore la chasse on va te tirer dessus. REVIENS DONC TRES VITE…..SNIF, SNIF, SNIF !

Aller, assez d’émotion ! J’en étais donc à notre arrivée. En atttendant que Cédric prépare convenablement sa monture, je file aux inscriptions. 3 € par tête. Ca va encore. Visiblement, nous aurons le droit à une restauration à l’arrivée. Bien un peu de réconfort. Nous pouvons donc partir sereinement. Le fléchage au sol était exclusivement tout en plâtre. Par moment, il y avait plusieurs marquages au cas où l’un disparaisse en raison de la pluie ou d’une mauvaise intention.

Un petit tour de l’île St Maurice, et hop, nous prîmes une section bitumée pour rejoindre la première côte. Elle nous annonçait la couleur. Le terrain allait être du genre…. Très humide. Voire, très, très, très humide.

La fin de cette section montante fut bien belle avec un bon raidillard où une glissade aurait pu survenir à n’importe quel moment. Pour assurer le coup, je mettais petit plateau. Cela passa. En revanche, Céd et Chris mirent pieds à terre. Bon, ce n’est pas si grave, il n’y a pas beaucoup de monde qui a du la monter de toute façon (lol.

Ensuite, grosse ligne droite, grand plateau pour rejoindre les hauteurs de Verneuil En Halatte. Nous rattrapâmes deux ou trois groupes de vététistes, les dépassèrent et leur dirent « au revoir ». Vint, la descente dans Verneuil où nous avons roulé un peu avant de prendre notre deuxième montée, en enrobé cette fois-ci. Ce fut l’occasion de faire les premières photos. Pour tout vous dire, nous n’étions jamais passé par ici.

Les premières portions de chemin nous surprirent car il y avait beaucoup de sable. On échappait donc au pire en pensant que nous aurions pu avoir de la mélasse d’un bout à l’autre. Le tracé laissait donc penser qu’il avait été judicieusement choisi. Cette première impression se réitéra par la suite. Les larges chemins n’étaient empruntés que sur quelques dizaines de mètres. La plupart du temps, nous roulions sur des singles tracks. Franchement, ce fut agréable. On avait même l’impression qu’ils avaient sorti la dé broussailleuse par moment pour dégager notre passage. L’esprit vtt était donc bien respecté. On voit bien que ce n’est pas un « routard » qui a organisé cette sortie.

Le rythme était du genre pas mal car vu le nombre de compères que nous avons rattrapé, on peut estimer que nous étions dans une bonne moyenne.

Nous sommes arrivés au point de ravitaillement après avoir parcouru une dizaine de kilomètres. De là, nous avions le choix entre deux options. Deux boucles qui revenaient où nous étions. L’une faisait 10 kms et l’autre 7,5. La longueur du parcours était donc à la carte. Comme nous avions une contrainte horaire, nous savions par avance que nous aurions du mal à cumuler les deux options. Nous avons donc choisi naturellement la plus longue. Nous prîmes quelques morceaux de chocolat, pain d’épice et quartiers d’orange avant de nous remettre en selle.

Les chemins que nous avons pris sont pour pas mal d’entre eux une véritable découverte pour nous. Ou bien alors, cela fait trop longtemps que nous n’avons pas fait de rando organisée dans le coin et nous ne nous rappelons plus du paysage ((lol. Ça c’est bien possible. Ça fait du bien de sortir du bled ! Je crois qu’en 2009, nous irons participer activement à ce qui se fait dans les parages. Bien sûr, on ne laissera jamais tomber notre forêt fétiche pour autant.

Côté curiosité, nous avons rencontré un type qui participait à la rando avec son chien. Le chien n’avait pas de vélo… on ne saura jamais s’il s’était inscrit lui aussi… et bien ce type, nous ne l’avons jamais rattrapé ! Un autre gars que nous avons vu et à qui nous donnons toute notre estime, un sexagénaire ou septuagénaire… Respect ! En plus, il mettait l’ambiance au ravito ! Et que dire de ses performances ! Impressionnant ! Dans cette boucle de 10 bornes, nous l’avons rattrapé. Puis dans la première bosse au lieu de s’arrêter en haut, il a continué. Dans une autre bosse, nous l’avions au point de mire. Finalement, il est arrivé au point de ralliement avant nous. « j’veux être comme lui quand je serais vieux ! »

Ces fameuses grimpettes, étaient du genre assez humides. Les conditions météo de ces deux dernières semaines ont vraiment rendu le terrain spongieux. Nos roues s’enfoncent comme un rien dans cette terre. Pire, les sections d’herbes où nous comptions nous appuyer pour retrouver de l’adhérence, nous faisaient patiner. J’ai pu grimper la première côte moyen plateau sans poser pied. En revanche, la deuxième fut bien plus coriace. On mis chaussures à terres puis on se remit tout de suite les fesses sur la selle pour repartir. Ce n’est pas tant la difficulté du pourcentage qui nous mis en défaut mais le manque de grip de nos pneus. Je pense qu’aucune gomme n’aurait pu accroché d’un bout à l’autre. A un moment, j’ai fais au moins six tour de manivelles en restant sur place. Un home trainer en pleine nature !!!

Néanmoins, il valait mieux passer par là pour monter car nous eûmes droit ensuite à une descente qui du haut jusqu’en bas fut dans une boue liquide avec des virages pour agrémenter le tout. Les pneus et les jantes disparaissaient à notre passage. Autant vous dire que si nous étions passé par là en sens inverse, c’était mission impossible. Encore une fois pas mal choisie ! Un parcours qui va dans le bon sens.

Passé ces différentes étapes, nous retournions au ravitaillement en traversant une pinède à vive allure ! Nous profitions une nouvelle fois de l’étalage qui nous était offert. Pour couronner le tout, nous allions prendre une boisson chaude. Un café ? Non, c’est du Nescafé ; bof.

Wahoo ! De la soupe ! Elle est bonne ! On nous dit que c’est à base de langue de bœuf…Bizarre on dirai qu’il y a de la tomate et du thon ??? Plus tard nous avons appris qu’il y avait deux sortes de soupes. Nous avons récupéré la recette auprès de la cuisinière…

Rassasiés, nous pouvions donc repartir pour un retour vers Creil centre ville. Patatrac, Chris s’arrêta victime d’une crevaison ! Il me rejoint donc au classement de la pointe d’or ! Bravo et félicitations ! En passant son doigt dans le pneu il se piqua sur une pointe de ronce en émettant un grand « aille ». Je profitais de l’occasion pour refroidir la selle de Chris avec de la neige. Ceci pour vous montrer aussi qu’il y en avait encore par endroit.


Nous avions squizzé volontairement la deuxième boucle car nous manquions de temps. Visiblement, elle semblait mener vers le mont Pagnotte.


La pluie fine qui s’abattait sur nous s’était arrêtée de tomber. Le goutte à goutte qui s’était mis en place en tombant de notre visière allait nous manquer. Nous les vététeux, nous n’avons pas peur des gouttes ! NON !

Nous eûmes encore quelques petites difficultés sur le parcours, ceci pour ajouter du dénivelé positif à nos statistiques.

Nous sommes de nouveau repassés par Verneuil où nous sommes remontés par les ruines du château.

La section de route était inévitable. On pu se rendre compte à quel point il avait plu. L’eau remontait de notre roue arrière pour nous « nettoyer » l’arrière train. Oups, c’est froid !

Cette sortie mis fin à l’existence de mes plaquettes. Il va y avoir un échange standard à faire cette semaine. Le dos à Chris a bien tenu. C’est bon signe et encourageant. Cédric enregistre une « troisième » (ou quatrième) sortie consécutive ! Record en vue !

Au gymnase, nous allions récupérer notre sandwich pâté pour le faire disparaître dans notre paillasse. On nous a aussi offert un vin chaud. Ce fut avec grand plaisir que nous l’avons consommé. En début de matinée il y avait 3 °c. A notre arrivée, nous en avions gagné un de plus.

Ce n’est pas tout. Nous avons également reçu un t-shirt et des pin’s. Franchement, là, nous sommes gâtés ! 3 € avec une organisation au top et des gens qui prennent soin de vous ! Que demander de plus ?

Maintenant, il va falloir investir dans une thermos pour avoir du vin chaud en permanence ! Que voulez-vous, on s’habitue vite au confort !

Finalement, nous avons 34 kms au compteur. J’ai 17,73 de moyenne. Le dénivelé positif est de 472 mètres.

samedi 13 décembre 2008

une vue aérienne pour Christophe

Pour être plus pratique....


vendredi 12 décembre 2008

14 décembre

Pour ce week-end, nous avions oublié la sortie de Creil.

Je suis partant même si je dois rentrer plus tôt, 11 h 45 feront l'affaire. Cette sortie aura l'avantage de cumuler 3 parcours qui se rejoignent entre eux au point de ravitaillement. 3 boucles donc pour choisir en fonction du temps quel nombre de kilomètres nous pourrons parcourir.

En revanche, ce qui me fait peur c'est la météo qui me parait très, très instable.

On pourra éventuellement annuler en s'envoyant des sms si cela tourne au vinaigre.

Le départ se fait au gymnase de Jules Uhry sur la rive gauche de l'Oise.

Y a t il des intéressés ?

jeudi 11 décembre 2008

cadeau Noël

Aller, donnez vite des idées de cadeau de Noël pour que nos proches ou bien nous même ayons des idées .....

Je commence :

- dvd sur la préparation de JULIEN aBSALON

- fourche (au choix) (et je ne vise personne....enfin presque)
- pneus Nobby Nic section 1.9 (polyvalent) et Racing Ralph (pour le sec et l'intermédiaire) Larsen TT Kevlar (pour le Roc)
- chaussures d'hiver (idée copiée sur le matos à Nono)
- Paire de Pédales (toujours copié sur Nono ((lol)
- Un réveil matin (pour Clément et Vivien)
- Dérailleur arrière XTR (je sais que quelqu'un en a acheté un.....)
- pédalier xtr
- vêtements chauds
- un pistolet (pour que Clément ne s'arrête plus tous les 5 kms)


Attention, un nouveau groupe sortira en juin prochain en collaboration avec quatre marques, Rockshox, SRAM, AVID, TRUVATIV. Il y aura certainement 20 vitesses avec deux plateaux et 10 pignons....une révolution. Je crois que j'en ferai un article quand il y aura plus d'infos.



mercredi 10 décembre 2008

Un avant goût !

Nous étions donc ce week-end en terres d’Ermenonville et Senlis afin de répéter le parcours que nous pourrions proposer à nos nouveaux amis du VC Senlis. Le rendez-vous toujours devant chez Cédric s’est fait à point nommé. J’étais en tête sur le trajet quand je me suis fais rattraper par un autre véhicule qui me fit des appels de phares. Nono en était le conducteur.
Le résultat est qu’à 8 H 40 nous étions devant les bâtiments. Chris arriva presque à 9 h 00. (((lol.

Nous sommes ensuite partis direction le centre ville pour faire un peu de pavés, histoire de se réchauffer les bras. Le tracé du centre senlisien aurait pu être parfait si nous n’avions pas encore emprunté quelques sens uniques. Bien sûr le sens unique c’était pour les autres. Il va falloir affiner cette partie si nous souhaitons inviter d’autres compères sinon nous pourrions mettre en danger la vie d’autrui….Ca peut avoir son avantage. Si un gars va trop vite il passe devant et PAF !!!! Ya plus personne.. (((lol C’est de l’humour satanique bien sûr !!! Je respecte trop les gens.

Passé cet épisode citadin, nous nous attaquions à la section forestière. Le début du parcours fut habituel. Pas de souci, ça roule bien et cela nous amène au cœur de la forêt d’Ermenonville assez rapidement. A mon avis, avant d’arriver à la voie romaine, on pourrait ajouter une partie technique dans les bosses entre le champ de tir et la route qui mène à la baraque de Chaalis. C’est à peaufiner dans un premier temps sur la carte, ensuite en temps réel sur le terrain.

S’en suit justement toute la partie de sable, rochers, racines et pins, montante et descendante avec des singles tracks et des sentiers un peu plus larges. Je trouve cette partie super cool, du moins jusque la traversée de l’autoroute. Après, nous avions coutume pendant un temps de se faire la petite grimpette en sable qui nous faisait un peu forcer sur nos cuissots. Depuis quelques temps, nous la squizzons. C’est un peu moins fun, je trouve. Je critique un peu mais vous l’aurez bien compris, c’est dans l’esprit de faire avancer les choses pour que le parcours se rapproche de la perfection. Chacun aura sa vision de l’idéal et en rapprochant chaque point de vue nous aurons un ensemble assez cohérent je pense.

Donc, cette partie qui nous annonce le retour vers Senlis, est trop courte. Nous l’avons bien vu, nous avons été obligé de refaire une boucle pour ajuster notre nombre de kilomètres. Peut-être devrions nous l’emprunter quand nous ajoutons à notre tracé la section cantilienne ?
Sinon, nous devrions rester plus longtemps en forêt d’Ermenonville.

Les montées à pieds (Chris est devant Nono !)
Et les descentes à pieds (chacun son style ((lol)

L’idéal serait d’avoir deux versions :
- la première telle que nous sommes rentrés dimanche en prolongeant vers Chantilly
- la seconde en restant plus longtemps dans la Forêt d’ermenonville. Le chemin du retour pourrait alors être différent.

Chaque version a ses avantages. Dans la première, nous pouvons sur la dernière partie tiré profit du relief plat pour tirer le grand plateau et filer à toute vapeur. Ensuite il s’en suivra la partie autour de l’étang avec les singles pour aborder le domaine technique.

Dans la seconde version, le physique sera mis à l’épreuve en trouvant davantage de chemins en sable et en mettant un peu plus de dénivelé sur notre trajectoire.

Enfin, c’est une hypothèse. Qu’en pensez-vous ?

Sinon, pour revenir à notre dimanche passé, nous avons cumulé au global 41 kms et 372 m de dénivelé. C’est pas mal surtout que Chris souffre toujours de son dos et qu’il n’a fait sa reprise que depuis la semaine dernière. Nous aurons plus de kilomètres à faire les prochaines fois.

J’ai donc dévié un peu volontairement le compte rendu car j’avais moins de temps pour le rédiger. La semaine est assez chargée en soirée. Cela sent l’approche des fêtes. Reste tout de même que nous avons passé un bon moment en exploitant tantôt notre technique et tantôt notre physique en forçant le grand plateau.
L’autre particularité de cette sortie est que Nono a perdu une pédale alors que nous étions encore dans Senlis. Il a continué tout de même. Il en a pour un jeu de roulements Crank Brother. De mon côté, il va falloir que je nettoie ma roue libre car elle a émis vers la fin quelques sons inquiétants laissant penser qu’il y a besoin de lui remettre un peu d’huile.

Voilà pour l’essentiel. J’espère avoir un peu plus de temps la semaine prochaine pour reprendre l’écriture. Cela risque tout de même d’être juste …

A titre d’info, allez un peu voir la sortie faite par le Vc Senlis sur le blog. Il abordent eux aussi la partie technique et l’ajoute de plus en plus systématiquement aux sorties. Les commentaires de David sont intéressants. Ils découvrent toutes les parties en single track que nous souhaitions leur montrer. Heureusement, il nous en reste encore qu’ils n’ont pas découvert…Hé, hé, hé ….

A la semaine prochaine à La Neuville. Je devrais rentrer encore tôt. Je serai donc à l’heure.

mercredi 3 décembre 2008

Répétition avant l'Invitation

Vous l'aurez compris, cette sortie servira de banc test pour le circuit qui sera proposé au VC Senlis.
La météo nous annonce de la pluie toute la fin de semaine avec un WE ensoleillé mais frisquet.
le Terrain d' Ermenonville  sera donc l'idéal. si en plus le pavé de Senlis est sec, nous pourrons chauffer nos gambette dans la ville.

Bref, je fait ma com, venez nombreux !!! (hein Vivien et Clément)
Départ de chez moi a 9h (8h45) pour Lolo


mardi 2 décembre 2008

Blanc de blanc.

Pas un chien ! Le calme et la volupté.




Après le terrain partiellement gelé de la semaine passée, voici une nouvelle transformation du paysage en ce dimanche matin du 30 novembre 2008.

La neige en cette matinée était bien au rendez-vous. De la belle poudreuse avait recouvert notre terrain de sport en lui rendant cette belle couleur blanchâtre. Chaque dimanche nous apporte son lot de surprises. On ne peut pas se lasser car la nature nous présente un spectacle permanent et changeant.

Sur ce manteau neigeux, il planait par endroits une petite brume. On pouvait profiter du calme car il n’y avait peu de monde. D’ailleurs, rares étaient les traces de roue ou de pas laissées sur le sol. La forêt nous été offerte !

Je suis donc arrivé plus tôt que d’habitude. Quand Nono pointa le bout de son museau, j’étais déjà prêt. Le gps était branché, le vélo gonflé.


Nous partîmes sans attendre Cédric et Chris pour faire davantage de kilomètre même si cela ne fera que très peu de kilomètres supplémentaires.

Dés les premiers mètres, nous eûmes de suite la conviction que ce terrain allait nous poser bien des soucis. A la neige, encore fraîche et amassée sur le terrain, se mélangeaient d’autres portions plus « tendres ». Je ne pense pas que cela soit du à un effet de fonte. C’est plutôt l’abondance de chute de flocons qui au contact du sol se sont transformés en eau, qui a provoqué cet effet.

Nous avions fait à peine 1 kilomètre que Cédric et Chris nous croisaient, nous sur le chemin, eux sur la route. Nous nous saluions puis prenions la route ensembles. Peu de temps après, nos impressions se transformèrent en convictions. Sans avoir fait beaucoup de chemin, nous avions 100 % du postérieur déjà arrosé. Nos pneus soulevaient littéralement cette matière glacée mêlée à cette eau et la propulsaient vers l’arrière comme de véritables canons à neige. Autant vous dire, qu’il fallait être devant ce matin.

Il y en a un qui l’avait bien compris. Cédric, plus motivé que jamais, n’arrêtais pas de se mettre vers l’avant et à accélérer jusqu’à provoquer une petite cassure. Chris moins à l’aise, a eu un peu plus de mal. Le manque de pratique a indéniablement fait son effet. Heureusement, son dos ne l’a pas fait souffrir. J’espère que ça ira de mieux en mieux.

Ce retour bien qu’agréable ne s’est pas fait dans les conditions les plus faciles. Les portions où la neige était bien en place, nous ont obligées à appuyer sur les pédales plus qu’à l’accoutumée. Peu de rendement dans cette matière, vraiment cela se vérifie tout le temps. C’est pire que le sable ! Mais quel plaisir ! Nous sommes prêt à recommencer avec encore plus de centimètres. Peut-être la semaine prochaine ? On verra bien.

Nous n’avons pas cherché à faire de la grosse difficulté car je devais rentrer tôt. Nous avions donc moins de temps. Notre décision était de parcourir le plus de kilomètres possibles. Mais, Dieu que ce n’est pas facile dans ces conditions !

Comme d’habitude, nous avons usité le secteur d’Etouy. Mais, la grande différence est que nous avons prolongé vers Litz. Chaque semaine, nous essayons de parcourir des sentiers différents. Nous conservons une ossature puis nous ajoutons une pièce de puzzle en plus. Nous avons toujours une solution. La semaine prochaine, nous risquons de quitter le Clermontois pour le Senlisien. Nous devons reconnaître le parcours pour le proposer à nos compères du VC Senlis. Il y aura sûrement certaines choses à parfaire.

D’un point de vue mécanique, nous n’avons ni eu de casse, ni eu de crevaison. Et franchement, c’est bien mieux comme cela. Car je ne vous dis pas comment nous aurions souffert avec cette humidité et ce froid. Le moindre arrêt était l’occasion d’avoir un arrêt…………de travail. Nous ne pouvions plus faire de différence entre nos doigts de pieds. Nous avions l’impression d’avoir des blocs au fond de nos chaussures. Nos orteils avaient fusionné pour ne faire plus qu’une partie, bien sûr gelée. Qui veut de l’esquimau ? Oh mais, ça a un drôle de parfum tout ça !!!?. Beurk !

C’est un peu notre faute, nous n’avions pas Nono, Cédric et moi de couvre chaussures. Tant pis…

Par contre, j’en reviens à la mécanique. Nous avons tous connus de sérieux problème d’indexation. Ce n’est pas parce que le câble était grippé à l’intérieur de la gaine et pris par le froid mais plutôt à cause de l’accumulation de neige dans nos pignons. Toute la partie inférieure de la cassette était recouverte de neige. Quand nous regardions du haut de notre poste de pilotage nos trois plateaux avant, nous n’en voyons plus qu’un, le grand. Impressionnant ! Nous avions comme un gros disque blanc qui recouvrait l’intégralité de nos pignons. Il faut déjà avoir de la masse pour recouvrir le plateau intermédiaire, et pourtant, il avait disparu ! Quand nous repassions dessus, notre chaîne s’enfonçait dans ce mélange comme un couteau dans la purée. Cela ne dérangeait pas le fonctionnement fort heureusement.

Toujours au niveau matos, les nouvelles Crossmax de Cédric ont été baptisées par la neige. Cela porte chance ! Elles ont due affronter les éléments. Les freins ont eu le droit également de profiter. Justement, l’utilisation des étriers ce matin n’était pas des plus discrète. Chaque freinage provoquait un crissement. L’eau, le froid, devaient y être pour quelque chose.


Nous avons une nouvelle fois immortalisé le petit pont à Nono. Cette fois-ci, nous l'avons pris en flag, spad à la main alors que Chris le passe aisément. Trop facile Chris !








Au total, j’ai parcouru un bon 25 kms. Chris et Cédric ont certainement du approcher les 30 bornes. Nono devait être à 45. Côté relief, le dénivelé positif accumulé fut de 383 mètres. Avec davantage de temps nous aurions avoisiné les 600 mètres. Dommage !

lundi 1 décembre 2008

R.................O................C 2009

eh oui ca y est le seuil est franchis.


vous etes inscrit, et vous me devez tous de l'argent ;-))
l'heure de depart est 9h30 pour les elites ensuite c'est 9h45 ca va faire tot pour les pates .... ;-)
mais je m'egare avant de pensez aux pates il va falloir pensez à l'entrainement et au vu de la sortie de dimanche dernier c'est pas gagner ;-)
pour moi bien sur car il y en a d'autre qui ont retrouver des ailes .
si vous voulez savoir qui il faut venir rouler ;-o
a+ chris

vendredi 28 novembre 2008

Avis de recherche

Salut a tous

Je suis a la recherche de ma clé pour demonter les cuvettes de pedalier hollowtechII ?
Quelqu'un l'a t'il en sa possession ?

jeudi 27 novembre 2008

et ce dimanche ?

salut a ts

eh oui c'est moi, non ne croyez pas que je suis a nouveau en pleine forme, mais ca me gave !!

alors je vais peut etre venir rouler dimanche ;-) suivant le temps

ou avez vous prevu de rouler ? a la neuville ?

et qui sera la ? car s'il n'y a que les deux fous ;-(( ca serait dur dur

christophe

ps :j'aime bien ta nouvelle tete nono sur ton profil

un petit site pour l'entrainement

salut
j'ai trouvé un site pour noter les sorties et entrainement avec détail
temps- Km- altitude- le tracé gps- meteo -bio-metrie :


http://www.1-2-sports.com/counter.action?uid=18780&t=1

mardi 25 novembre 2008

C'est l'hiver !


Il y avait bien longtemps que nous n’avions roulé dans de pareilles conditions. Tout d’abord parce que c’est la première fois de l’année où nous passons en température négative un dimanche. Mais aussi parce que l’année dernière après le Roc nous n’avions pas dénié monter sur nos spads et que nous n’avions pas vu l’hiver au guidon de nos montures.

Au départ, il y avait donc – 2°c et à l’arrivée un bon 1 °c. Nous avions oublié ce que c’est que de rouler sur des feuilles qui craquent sous nos roues. Ces feuilles gelées et rigidifiées par le froid qui font du bruit à notre passage. Le sol était bien gelé malgré qu’il n’ait point gelé les jours précédents. Il y avait quelques passages encore imprégnés de boue ou bien d’autres en sous bois plus préservés du froid où l’épais manteau de feuilles avait servi de couche isolante.
Les flaques d’eau ou marres qui gisaient au beau milieu des chemins avaient laissé place à de la glace. Cette eau figée sur une épaisseur superficielle, elle aussi, bruissait sous nos pneus.

Au rendez-vous ce matin, au carrefour du magasin, nous n’étions que deux. Nono est le deuxième protagoniste de cette sortie. A mon arrivée, il totalisait déjà 9 Kms au compteur.
Pour éviter de se transformer en glaçon en attendant mon arrivée, il avait pris l’initiative de rouler un peu. Ces premier mots furent alors : « il caille ».

Pour l’occasion, je me protégeais du froid en mettant mes couvre chaussures néoprène. J’en profitais également pour porter ma dernière acquisition, le bandeau serre tête en néoprène lui aussi qui protège les étiquettes.
Et bien, je ne regrette pas cet achat. En un mot, c’est formidable. Partis du magasin, nous prenions direction le chemin dans notre dos. Le but de la manœuvre était de reprendre le single track remontant le long de la route. Par malchance, des travaux forestiers nous ont empêché de le prendre.
La seule solution était de prendre la descente jusqu’au carrefour. Malgré la vitesse, mes premières impressions furent que je n’ai nullement ressenti le froid. Que du confort ! Seuls mes yeux s’étaient mis à pleurer à cause de la vitesse et l’air vivifiant.

Ensuite, nous nous sommes dirigés vers le chemin qui nous permet de rejoindre Filervale. Ce sentier un peu défoncé, avec les mottes de terres dures comme des cailloux car gelées qui nous donnèrent un peu de fil à retordre. Nono commençait à pester car nous étions mal engagés. Néanmoins, passé cet épisode, nous regagnâmes des terres plus amicales et plus roulantes.

La première difficulté se fit à grande vitesse. Il fallait bien se réchauffer. Je crois que ce fut la première fois où Nono me traita de fou. Il y eu d’autres occasion encore par la suite.

Nono pris les commandes de retour dans le bois. Le rythme après une courte accalmie après la montée, avait repris un niveau au dessus. Nous remontions donc le faux plat de la grande allée, assez large, en cailloux. Ensuite, au niveau des sapins, nous prîmes le single sur notre droite. Nono cafouilla dans une ornière un peu molle, ce qui me permit de repasser devant. Là encore il me demanda si j’étais bien ??? Je lui ai répondu que « oui » Mais qu’il ne fallait pas perdre de temps car il devait rentrer de bonne heure. Nous ralentissions un peu quand même pour éviter de trop vite se griller.

Cette première partie de parcours, nous ne l’avions pas faite depuis un certain temps. Dans la continuité de cette sortie, d’autres portions très peu empruntées, l’ont été cette fois-ci. C’est histoire de changer nos habitudes et de redécouvrir l’ensemble de notre forêt.

Un peu plus loin, nous avons croisé un groupe de randonneurs pédestres. Je vous avais parlé la semaine passée de la fréquentation des bois assez impressionnante. De nouveau, nous eûmes l’occasion de le constater, malgré le froid ambiant, qu’un grand nombre de personnes sillonne les environs. A croire que la crise économique repousse les gens dans les bois. Ils n’ont peut-être plus envie de dépenser dans des club alors que la nature peut leur proposer de retrouver un bien être et une forme physique à moindre coût. Enfin, tout cela n’est qu’hypothèse ! Il y a sûrement d’autres raisons.

En plus des chemins que nous redécouvrions, nous en avons pris un autre sur lequel nous n’étions jamais passé. Celui-ci était bordé d’une ligne électrifiée, de quoi rappeler de bon souvenir à Chris. (Il en tremble encore). Par moment, la bande roulante se rétrécissait et nous rapprochait de ces files qui picotent quand on les touche. Heureusement, nous n’avons pas pris le risque de voir ce que cela fait.
Nous arrivâmes sur le chemin qui part de la ferme (en haut de Thury) jusque la nationale qui relie Clermont – Angy. Nous avons traversé cette nationale pour longer les hauteurs du bois d’Ansacq. C’est sur l’un de ces chemins que Nono a failli écraser une pauvre bête. Piqués par la curiosité, nous fîmes demi-tour pour trouver une explication à l’immobilisme de cet animal.
Un pauvre petit piaf gisait au beau milieu du chemin herbeux. Je n’eu pas trop de mal à l’attraper. La bête avait du se faire surprendre par ces premiers froids. Elle appréciait le fait d’être réchauffé dans nos mains. Après une courte analyse, nous constations qu’il s’agissait d’une jeune grive. Nono, en prince charmant, lui fit un petit béco pour la réconforter. Aussitôt, elle pris son envol. Trop fort Nono !!! (((lol.

Ce conte de fée achevé nous nous remettions en route. Nous regagnions les bois en passant auparavant par Auvillers. Dans les bois, ce fut l’occasion de repasser par le grand plateau pour dérouiller les gambettes. Tout le chemin longeant la route fut pris à vive allure. Que c’est bon !
Nous sommes redescendus par l’étang de Boulincourt pour ensuite faire la partie d’Etouy, qui elle, reste incontournable. Dans le « S » de la descente de l’étang, nous avons croisé les cyclops qui étaient 7, je crois. Nous les avons salué.

Passés le monastère, je lançais une fusée. Le chemin « jaune » est l’occasion, comme avant, de pouvoir prendre de la vitesse assez rapidement et d’avoisiner les 40 Kms/h. Je ne sais pas s’ils ont été atteints mais en tout cas, ça allait vite. Nono ne daigna pas prendre ma roue. Sur cette accélération, je ne voyais pas pourquoi nous allions nous arrêter en si bon chemin. Jusque la route nous avons continué à maintenir de la vitesse. Je dis alors à Nono : « il faut s’habituer à tirer le grand plateau si l’on veut résister au retour de Vivien , lui il aime bien ça ». lol, on ne va pas se laissé manger tout crus quand même ! On va tenter de résister un peu mais ça va être difficile je pense. On commence à se faire vieux. ((lol. Et puis, on a tous plus ou moins mal au dos !

Même Nono aujourd’hui a ressenti une douleur. Il faut dire que nous avons roulé encore fort ! Nono a pris en charge toute la parti de la route, en passant par le passage aux animaux, jusque l’autre route. Il a continué encore un peu, puis j’ai mis une dent en moins pour repasser devant. Au début de la fameuse ligne droite, lieu privilégié pour la lutte des cuissots, j’ai mis tout à droite. Malgré une masse de feuille volumineuse, le résultat fut assez satisfaisant.

Ces efforts que nous avons donnés, nous les avons payé puisque c’est après cela que nous eûmes les premières douleurs dorsales. Pour ma part, ce fut moins contraignant que la semaine dernière. Nono, s’étira un peu. C’est au stade de La Neuville que nous avons commencé à calmer le jeu. Nous devions remonter pour regagner le plateau. Nono devait maintenant rentrer. La côte que nous avions montée trois fois il y a sept jours, et bien nous l’avons de nouveau gravie. Quand on aime, on ne compte pas…

Nous avons rejoint le carrefour du roi après une descente-remontée. Nous avons pris une section de route tranquillement, l’occasion de discuter. Je raccompagnais Nono jusque chez lui.
C’est donc seul, que j’allais repartir vers mon véhicule. Entre temps, la neige s’était mise à tomber. Je pris la première côte à ma disposition. Le tracé allait être quasiment le plus court pour retourner au Magasin. Une petite variante fut mise au programme tout de même. Au lieu de prendre paisiblement le dernier chemin qui débouche sur l’allée bitumée interdite à la circulation, je repiquai vers le bas pour mettre une nouvelle difficulté à l’ordre du jour. Ouille, ça pique la neige dans les yeux quand on dévale la pente. Au menu, « les yeux en neige ».
Je termine donc par un dessert de choix car je n’aime pas trop cette dernière côte qu’il faut remonter. Je me suis un peu forcé.

Globalement, nous n’avons pas souffert du froid. La sortie fut agréable. Comme je le disais, il y a fort longtemps que nous n’avions pas connu pareilles conditions météo. La dernière fois que nous avons roulé sous la neige, c’est lors d’une rando à la Neuvilloise, je crois. Ce n’est pas tout à fait comparable car à cette époque, il faisait – 8°c. Il y a un an, nous n’aurions même pas pris la peine de nous lever pour aller rouler. L’envie est donc là. Nous ne pouvons que nous en féliciter.

Au niveau du dénivelé positif absorbé, nous avons encore gagné quelques mètres puisque nous en terminons avec 556 en positif. La distance est de 45 kms parcourus pour Nono et 42 pour moi.

La moyenne au compteur de Nono était en deçà de mes espérances. Il y avait un peu plus de 17 Kms/h. Avec les accélérations que nous avons faites, je pensais que nous terminerions avec un score plus élevé. A d’autres moments, nous sommes allés sur des chemins moins praticables, nous avons également pris le temps de décélérer sur la fin. Finalement, ce n’est pas si mal pour une fin novembre.
La semaine prochaine nous enregistrerons peut-être le retour de Chris. Cédric sera là. Quid de Clément ? Et Vivien qui attend toujours son spad…

dimanche 23 novembre 2008

Moins de zéro

Bonjour,
comme promis, je vous fait le compte rendu de ma sortie en solitaire de ce WE !!!
Destination Château Thierry.
Avant, je vous raconte mes problèmes de Spad de la semaine: Heureux de recevoir mes belles roues, je fais le tour complet de mon cube pour vérifier sont bon fonctionnement et qu'il soit digne d'être supporter par de si belle Mavic. Depuis quelques temps, un sifflement persistant venant de mon disque avant troublait nos sortie. Verdict au démontage, un piston grippé et donc un décalage de la zone de freinage frottait le disque sur l'étrier de freinage. j'essaie de dégripper la bête mais rien ni fait et pire que tout, je fou en l'air le piston qui, laisse passer maintenant de l'huile (DOT 4 pour Hayes)
je vais à a 'la bicyclette' la boutique de vélo de Senlis, qui après plusieurs purges, et le changement des plaquettes me confirme mes craintes : Piston HS, il me propose des slx de shimano en remplacement, un peu cher par rapport aux différents sites de VPC, mais au regard des purges réalisées, du montage et démontage des plaquettes hayes, du montage des nouveaux freins et surtout du changement travai éclair de l'atelier, tous cela gratuitement, l'affaire fut donc trés bonne.
vous comprendrez par la meme occasion que je ne suis plus en quête d'un achat groupé pour mes plaquettes.

Donc mon spad a maintenant de belle roues et des freins bien plus agréable que mes vieux hayes à 2 balles.

Après toutes ces péripéties, aucune excuse ne pouvait annuler ma sortie.

plan de la sortie départ de chez les parents de Sophie, arrivée chez sa sœur pour le déjeuné, via les fameux coteau de vigne de champagne.

Départ musclé après 1 km de plat, 3 Km de monté plus ou moins dur, en évitant les partis du parcours trop grasse. (christophe connaît le parcours), Le terrain était collant sans etre complétement noyé.
la neige était présente, ainsi que le froid rude en pleine, je n'ai jamais réussi à me réchauffer les pieds.
dans les premiers kilomètres, le froid saisis mes petit poumons d'asthmatique, crise dans la première côte puis, plus rien.
Cette sortie c'est un peu sur le même thème que Lolo et Nono la semaine dernière, cote , monté et redillons.

les longues cote ce presente a moi de nouveau une monté de 2 ou 3 km qui ne sera pas paya,te car pour descendre, le chemin en herbe interdiasit tout descente rapide. il fallait meme pedaler pour avancer; en plus du sol, le vent etait de mise.

les crossmax donne une rigidité impressionnant au spad, à l'avant comme à l'arrière. A l'avant, la direction est plus fine, à l'arriere, on rescent plus de puissance et d'energie transmis à la roue.

Pour éviter les chasseurs de l'Aisne, j'ai suivi scrupuleusement le GR 11 qui travers ma zone de jeu et me dépose au bas de Château Thierry. La plus grande partie m'était connu, la partie descendant sur Château fut laborieuse, boue, ornières, arbres couché et chasseurs en poste, bref pas top.

Ce ne fut pas une sortie plaisir, mais une sortie entretien du vététeux et test du nouveaux matos.

33 Km
14km/h de moyenne (bof, mais vu le terrain finalement)
sur une base de 600m de dénivelé positif.


vendredi 21 novembre 2008

La beaujolaise

Quelqu'un vient il a la beaujolaise ce week-end.
Nous sommes 7 vététistes sur villers à y participer.

Les sondages

A 71%, nous voyons Vivien sur un AMS PRO 125 R1 MAG BLACK/RED .

c'est bien joli, mais quand ? je vous laisse donc répondre au nouveau sondage du blog.

mercredi 19 novembre 2008

petite sortie et petit plus






premier essai from lolo on Vimeo.


Petite sortie donc en ce week-end du 16 novembre, l’occasion comme je l’avez dit lors du résumé précédent de faire un peu de côtes pour hisser la performance au top de la forme. Et puis il faut dire que ces derniers temps nous avions aussi privilégié le secteur plat pour faire plus de bornes. Ca, c’était la théorie. La pratique a révélé que nous en faisions tout autant.

Dans tout cela, j’avais oublié un point essentiel. Que c’est dur de monter ! Pff, et ça fait mal aux cuisses en plus ! Non, pas plus que cela, mais au final on termine quand même à le ressentir.

Côté météo, nous sommes venus sans consulter les prévisions. Nous aurions pu tomber sous une averse de neige que nous n’en n’aurions rien su…jusqu’au moment de la recevoir. ((lol.

Le ciel fut plutôt avec nous. Certes nuageux, la couche était basse. Nous eûmes aussi droit à la bruine durant un certain temps. Un brumisateur au naturel nous arrosait le visage. Cela c’est accentué un peu puis …plus rien.

La température de 12 °c donnait à cette sortie un caractère agréable. Franchement pour la saison, c’est plutôt pas mal. Le mélange de ces deux critères n’était pas là pour nous déplaire. Nous étions dans de bonnes conditions ! Nulle présence de vent, et terrain moins boueux qu’à l’accoutumée. Ceci s’explique par l’abondance de feuilles au sol qui sont tombées durant la semaine certainement à cause des pluies répétées et des bourrasques de début de semaine.

C’est peut-être à cause de cette combinaison de facteur que nous avons rencontrés beaucoup de monde. Du randonneur pédestre, au joggeur en petite foulée, je dirais en grande foulées aussi (il y avait des gars qui couraient comme jamais nous pourrions courir….impressionnant), en passant par les vététistes qui furent nombreux, tout le monde était de sortie. Les chasseurs eux aussi étaient là avec bien sûr, leur fidèle partenaire : le chien.

Mais nous avons décidé d’arrêter notre concours. Je sais bien, ça vous donnait tant de plaisir et maintenant vous avez de la peine mais après la meute (je vous jure une vraie meute de chasse, hein Cédric que c’est vrai) rencontrée la semaine passée, nous jetons l’éponge. C’est vrai, il y en avait tellement que nous ne pouvions pas les compter. Alors, c’est fini…

Pourtant nous en avons encore rencontré pas mal. Il y en avait même un qui faisait c…. .

Ce week-end, ce fut l’occasion d’essayer pour la première fois la caméra. Nous avons mis un certain temps à nous y familiariser. Ce n’est pas la caméra en elle m^me qui posait problème mais le maniement de l’enregistreur mp3.

Nous devions faire un maximum de chemins intéressants pour mettre de belles images dans la boite. Le parcours allait donc être choisi en circonstance. Nous parcourions donc quelques singles tracks à bonne allure. Les allées plus larges faisaient fatalement partie aussi du paysage. Puis nous eûmes la folie de vouloir faire une belle descente. Nous avons dévalé celle que nous avions l’habitude de montée auparavant. Le haut de celle-ci faisant partie de la première ascension de La Neuvilloise. Nous y avons donc mis les watts puis nous sommes arrivés au pied de la butte Saint Louis. Que nous avons tout de suite montée. Une petite vue panoramique s’offrait à nous. Du moins, une mini vue panoramique car nous ne sommes pas vraiment dans les plus hautes altitudes picardes. Cependant, ça nous laisse une image, disons… surplombante.

Nous nous sommes dirigés ensuite vers l’étang, en prenant les petits singles, jusqu’au petit pont à Nono. Notre parcours allait stopper au bord de la route nationale pour vérifier la qualité de l’enregistrement.

Waouh ! Surprise ! Ca commence. Je me vois en train de manipuler l’engin. Ben, c’est déjà fini ? Onze seconde de film ? Mais…

Bon, il y a un problème ! Ce n’est pas vrai et nous qui tenions absolument à filmer cette descente. Mince ! Nous sommes déçus. Il y avait cette fameuse scène avec le chien qui…

Et une autre avec un chasseur qui ne nous avait pas entendu et que nous collions au train. Sans compter notre traversée du groupe de randonneurs avec une mamie qui a cru qu’elle allait se faire culbuter en plein effort. Nous l’avons rassurée en lui parlant gentiment. Nous ne sommes pas des brutes.

Nous étions résolus à filmer coûte que coûte cette descente. Nous avons fait demi tour pour refaire notre petit itinéraire. Nous faisions machine inverse, direction l’étang en faisant un petit détour dans une partie en single, toujours par souci de prendre de belles images. Au préalable, j’avais regardé que l’enregistrement était bien en fonction. Pas de souci, le grand cameraman n’avait plus qu’à faire parler son talent. (humm).

Nous contournions l’étang en prenant le petit sentier qui le surplombe légèrement, un peu plus haut sur le talus qui longe le chemin plus large. Ensuite, le reste du terrain n’est que grimpette. Cette portion de dénivelé positif fut l’occasion de rouler à vive allure Nono et moi. Personne n’a lâché. Nous sommes arrivés ensemble. Quel rythme, ouf, ça fait du bien ! Le but était de nous retrouver au début de notre reine de descente et de nous y laisser glisser comme dans un toboggan. Bref, nous faisions exactement le même trajet pour nous retrouver en bordure de nationale en ayant salué de nouveau notre bon vieux Saint Louis.

Vite, vite, visionnons le résultat. Ha, ça commence. Je vois mes mains qui préparent l’attirail. Ca y est on part. Non ? Mais …. Qu’est-ce qui se passe ? Dix-sept seconde de film ? Impressionnant ! Pourtant l’enregistrement était bien enclenché… Il y a un truc. Je regarde dans les paramètres et ….ouais, j’ai compris. Il y avait un arrêt automatique. Je le règle donc sur 5 heures. J’espère que l’on sera rentrés avant. (lol.

Par contre, la descente ? …Dommage, et tant pis, on va faire le secteur d’Etouy puis on verra.

Allez, c’est reparti. Je prends de nouveau les commandes. Je crois que Nono devait être impressionné par la caméra car il n’a pas daigné durant ces kilomètres passer aux avant postes pour mener la danse. Remarquez, je lui ai peut-être rendu le parcours difficile. Je n’ai pas ménagé mes efforts. Le grand plateau est de retour et ce n’est pas cette partie d’Etouy qui va me faire changer d’avis. Tiens encore deux vététistes au loin. Tiens des joggeurs, oups quelle foulée, je vous l’avait dit. Il y a des gars qui ont vraiment la forme.

On croisera encore un groupe de vététistes. Nous les avions vus tout récemment alors qu’ils montaient eux aussi la butte St Louis. Là, ils étaient arrêtés pour problème mécanique, dérailleur cassé. Ca redonnera des souvenirs à Nono. Dans le lot nous apercevions quelques maillots du VC Beauvais.

Retardés dans notre progression par cette mésaventure, je relançais sur la dernière section jusqu’au pont de la RN31. J’aime quand le paysage défile de cette façon. Plus le chemin est étroit plus nous avons l’impression de rouler vite. Allez, stoppons là et vérifions le résultat. Il ne s’agirait pas de se faire encore avoir.

Je rallume. Les mains qui tripotent l’engin, oh, mais, on roule ! Magnifique, ça y est ça marche. Je crois que nous avons cassé une petite graine en l’honneur de cet évènement

Le réglage est un petit peu bancal. Il va falloir régler l’inclinaison de la lentille. Enfin, nous avons quand même de quoi commencer un petit reportage.

Allez, on repart une énième fois. En avant tout, grand plateau, allez…

Sur l’allée large où nous nous élancions au temps jadis mais dans l’autre sens pour faire nos pontes de vitesse, nous remontions le faux plat à 26 km/h alors que le terrain était glissant et collant. Ce n’est pas grave, on y va.

Nous avons pris le trou façon terrain de cross pour le fun puis avons encore gaspillé quelques watts de jusque la passe aux animaux. Après, nous avons abordé la partie la plus boueuse de notre sortie, et encore, nous l’avons connu pire. En tout cas, des engins forestiers sont passés par là et ont fait pas mal de dégâts. Ce n’est pas trop top.

A l’issue de la longue ligne droite nous reliant à la route de l’ancienne gare d’Etouy, un mal de dos me pris soudain. Longtemps j’ai cru que c’était le fait d’avoir poser le placo plâtre qui était la cause de cette douleur mais en y réfléchissant un peu, je crois que c’est encore la maladie de malheur. Des symptômes bien connus me permettent de l’identifier. Enfin, c’est comme ça…Je reste solidaire avec Chris qui est privé de spad.

A partir de là, Nono fut une vraie maman poule. « Lolo, tu ne forces plus », « il y a une côte, tu moulines, petit plateau ». Oui, c’est bien beau, mais c’est bien connu, il faut souffrir pour être be…C’est en forgeant que l’on devient forgeron. J’avais trop l’envie de remettre le paquet mais je savais qu’il avait raison. Nous avons donc remonté bon gré, mal gré une énième fois. Une fois dans les sommets, nous sommes redescendue. Puis nous avons de nouveau remonté la côte où nous nous étions piqués une bourre. Cette fois-ci, le rythme fut modéré mais correct. Et c’est dans les dernier mètres que nous entendîmes : « paf ! ». Tiens, pas de chasseur ? Oh bon sang, c’est mon pneu ! Belle crevaison, moi qui ne suis pas coutumier de ce genre de plaisanterie. Je n’ai pas fais les choses à moitié. Le pire, c’est que je n’ai pas vu ce qui a pu m’occasionner une pareille aventure. En tout cas un beau trou dans ma chambre à air latex. A cela, on peut ajouter un flanc de pneu ! Et à chaque fois qu’il m’arrive ce genre d’ennui, c’est quand les feuilles dissimulent les obstacles. GNNNarF !! De GNNNArf ! Je remonte au classement de la pointe d’or.

On répare, et on repart.

Nous prenons pour la troisième fois de la matinée la même descente. On ne s’en lasse pas. Cette fois-ci Nono passe devant. Moi, moins en confiance avec un pneu moins bien gonflé, je le tiens en visée devant moi. Il s’est fait plaisir le Nono ! Belle descente !

Pas de Saint Louis cette fois-ci, nous passons derrière la station d’épuration puis allons vers La Rue St Pierre. Sur le chemin large tout en cailloux, je suis victime d’une perte de rendement la cause à un pneu de nouveau à plat. Pas assez gonflé malgré le peu de kilomètres restant à parcourir, j’ai du pincer la chambre à air. Ce n’est pas mon jour.

Je suis premier au classement de la pointe d’or. Mais il va falloir changer les règles. Il va falloir calculer tout cela au prorata du nombre de sorties. ((lol Non, allez, je m’incline.

Un ramasseur de champignons compatissait devant cette forfaiture. Cela nous permit de discuter un petit peu avec lui et d’admirer sa cueillette. Que des chanterelles, et un panier plein ! Du coup j’y sui allé l’après midi et j’en ai fait autant.

Que de haltes ce matin. Nous nous sommes remis en selle pour la énième fois. Et cette fois-ci nous ne nous sommes plus arrêtés avant la fin. Nous avons comptabilisés une montée supplémentaire.

Résultat de la sortie : pas de moyenne car je ne me suis pas donné la peine de remettre en place le capteur de mon compteur. Le but du jeu c’était la vidéo donc, pour le tout on verra plus tard. J’ai néanmoins pris les données gps.





Nous avons fait 32 kms pour un dénivelé positif de 503 m. Le résultat est plutôt moyen. Mais bon, globalement satisfait car avant le mal de dos et les crevaisons, le rythme était soutenu. Nous enregistrons les premières images de nos sentiers préférés.

C’est à rééditer.

samedi 15 novembre 2008

sortie dominicale

Bonsoir à tous

Demain je ne serais pas présent des fondations et de la charpente m'ont convoqués.

Bon chemin à vous tous.

Clément

jeudi 13 novembre 2008

sortie groupée

Deux jours de pose de plaques de plâtre m’auront retardé dans la sortie de compte rendu de sortie. Il me reste néanmoins assez de souvenirs pour pouvoir vous conter nos aventures de dimanche dernier.

La semaine passée, nous nous étions inquiétés sur le temps que nous aurions en ce jour dominical. Il est vrai que les bulletins météo qui se succédaient, racontaient presque toujours la même histoire, de la pluie, encore de la pluie et toujours de la pluie.

Contients de l’imperfection de ces estimations, nous nous sommes donnés rendez-vous chez Cédric à 8 h 45, sous l’impulsion de ce dernier (cf. mail de participation). Et nous avons eu grandement raison ! Le temps fut correct. Je dirai que ce fut très agréable de rouler dans ces conditions.

Je parle bien évidemment du ciel et de ce qu’il nous a offert car côté chemin, ce ne fut pas la même histoire. Le sol était gorgé d’eau. Ce n’est guère étonnant après les dernières pluies de la semaine dernière. Nous avons donc connu pas mal de portions avec ce mélange terre/eau. Par contre, je vous rassure tout de suite, rien de comparable par rapport au week-end passé à La Neuville ou bien à Amiens. Il faut dire aussi que la partie Ermenonvilloise nous a apporté quelques moments de pilotage au sec.

Mais revenons à l’essentiel ! Notre rendez-vous chez Cédric à cet horaire qui pour ma part est inhabituel, Nono et moi, nous l’avons même avancé. Nous nous sommes payés le luxe d’arriver 5 minutes plus tôt. Incroyable !
Déballage du matos, habillage, nous étions prêts ! Au passage, Nono m’a donné un splendide calendrier que lui avait donné Delphine, son épouse. Les gars pour s’entraîner l’année prochaine, c’est du tip top. Les photos sont de qualités et je pourrais noter mon kilométrage au jour le jour puisqu’il reste assez de place pour écrire. Tiens, au fait, j’oubliais…J’en ai déjà un que j’ai eu avec un magazine de Vtt. Ca va faire double emploi…. Zut. Tant pis !

Clément débarqua peu de temps après nous, frais et dispo comme d’habitude. Cédric le succéda. Nous prîmes ensuite la direction du point de rencontre avec les petits pères du VC Senlis.
Après plusieurs sondages dont nous connaissions par avance le résultat, nous nous étions mis d’accord pour participer à cette sortie en groupe. Nous répondions donc favorablement à cette sollicitation. Et il faut le préciser, avec plaisir !

Il est vrai que c’est sympa de retrouver d’autres vététistes comme nous, toujours prêts à sortir le spad le dimanche matin pour écumer les sentiers de nos régions. La passion commune crée le rassemblement.

Nous sommes arrivés au lieu du rendez-vous à l’heure. Neuf vététistes étaient déjà là. Puis un autre arriva, et encore un autre qui habite aux abords de l’impasse. Nous nous présentions tous un par un, n’oubliant pas de nous saluer. David qui était notre interlocuteur faisait un état des lieux. Nous étions tous là. Nous pouvions débuter notre sortie.

Plus tard en cours de route, nous apprenions qu’un autre vététiste s’était joint au groupe. Olivier avait appelé Le club du VC Senlis pour leur demander s’il pouvait venir participer à notre escapade. Convivial et ouvert, le club accepta volontiers cette participation.

Et ce fut un sacré client ce Olivier ! Vététiste dans l’âme, il n’a pas eu de mal à s’intégrer. Nul doute qu’il restera dans le groupe !

D’ailleurs, ces senlisiens sont très sympas. Nous leur devons une sortie. Et quand je dis une, c’est certainement plusieurs que nous aurons à leur proposer. Nous verrons bien, mais en tout cas, avant la fin de l’année, nous pourrons sûrement les inviter sur leurs propres terres mais en les guidant sur notre tracé.

Côté Vététeux, vous l’aviez bien compris nous étions quatre. C’est donc une joyeuse équipe de 15 bonshommes qui a cavalée en cette matinée sur les chemins de Senlis – Ermenonville.
Le départ et l’arrivée empruntèrent une portion bitumée.
Nous rejoignîmes assez rapidement la forêt d’Ermenonville. De longues lignes droites assez larges furent parcourues. Le terrain de la forêt malgré le sable tassé nous procure toujours cette sensation d’avancer au ralenti. Pourtant à plusieurs moments il eut fallu faire fonctionner les cuissots.
Ce fut le cas lors de l’ascension de la première côte où le groupe s’étira d’un coup. David et Olivier ont mené la danse. Un peu plus loin, mais pas trop, je suivais en compagnie de Stephano, le hollandais de l’équipe (enfin je crois…). Et Oui, le groupe du VC Senlis est assez cosmopolite. Américain, hollandais, français, espagnol (?) se côtoient pour rouler ensembles en harmonie. C’est vraiment cool.

Cette fameuse montée, nous la connaissons relativement bien. Avant d’avoir choisi de la contourner sur notre nouveau parcours, nous la pratiquions. Souvent, nous reconnaissions par séquence quelques hectomètres de ce tracé, puis nous le quittions, puis nous le reprenions. La grosse différence est que nous avons traversé la départementale reliant Ermenonville à Mortefontaine alors que nous nous contentons chez les vététeux de rester du même côté de la forêt. J’avoue, il me manquait un petit peu de jeu, un peu de technique, genre belle descente en pierres et racines pour s’y péter le radius et cubitus.

C’est donc dans ce secteur que nous y avons croisé des connaissances. Tout d’abord, Monsieur Hercelin qui suivait l’arrière train d’une joggeuse. Il avait l’air d’être assez concentré et ce malgré quelques traits de satisfaction et un regard un peu inoptique. Franchement, il est vraiment partout. Nous sortons à la Croix St Ouen, il s’y trouve. Ici, sur un chemin que nous n’avons jamais pris, il s’y trouvait. Un peu plus loin, nous saluions ces compères de sortie qui s’étaient arrêtés pour nous laisser passer.

Nous n’avons pas eu beaucoup de misères sur ce parcours. La mécanique a su rester fiable. Une seule crevaison a été enregistrée. Après une section de chemins entre les champs en entrant dans le bois, le fils de David du s’arrêter pour réparer.

Nous en profitions pour pique-niquer. Nono y fit une halte pipi. Une fois le soulagement opéré, il revint à son spad, adossé délicatement à un arbre. Mais quelle surprise l’attendait là ! Le spad avait changé de couleur et avait en plus perdu son amortisseur. Non ! Voyant la supercherie sur le visage de Clément, il s’avança vers lui, essayant de savoir où la bête de Lapierre avait bien pu être entreposée. Soudain, au loin, il l’aperçu. Et son minois alors, pris un large sourire de satisfaction. Il ne sait toujours pas si ce déplacement a été le fait d’une tierce personne (mais laquelle), si le vtt a eu besoin de changer d’air (pour éviter les effluves) ou s’il a malencontreusement oublié dans son action où il avait garé l’engin.

Un réel mystère …



Remis en selle nous nous élancions a tour de rôle. Rangeant l’appareil photos, je partis le dernier avec Nono, Fabrice. Benoît avait pris un peu d’avance. Malheureusement dans sa course, il fut stoppé net. Il rayonna en cette matinée en nous faisant un somptueux soleil, heureusement sans bobo.

Nous étions dans la partie du bois la plus boueuse. Quelques belles flaques ou marres furent évitées, d’autres pas du tout. Par contre comme je le disais au début, rien à voir avec le dimanche précédent.

Nous retraversions la départementale pour rejoindre les alentours du golf de Mortefontaine. Une belle descente technique fut dévalée. J’ai été victime d‘une mini chute dans cette portion. Alors que nous prenions une trajectoire différente Clément et moi, nos traces allaient se confondre pour n’en faire plus qu’une, un genre de « Y ». Il n’y avait donc pas la place pour deux. Par bonté, comme au poker, je me couchai. (Ouais je sais j’aurais pu trouvé mieux…). En fait, ma roue avant est partie sur une racine. J’ai donné un coup de frein pour donner la priorité à Clément et vl…. Pendant ce temps, Cédric cherchait à faire du kilométrage supplémentaire en feintant de s’être trompé de chemin. Le tricheur….

Nous longions comme d’habitude le grillage du golf pour ensuite entrée dans la portion de single track bordée de sapins. Honte aux forestiers qui y avaient abattu des arbres en y laissant « volontairement » traînées les branches au beau milieu du chemin. Il y a des gens qui ne respectent pas les autres, peut être pour protéger leur intérêts ou bien par pure mesquinerie. Enfin, c’est triste…

Nous sommes arrivés au pied de ce qui d’habitude entame une série de trois bosses. Là nous avons contourné la première par la droite et nous nous sommes éloignés pour nous orienter plus directement vers le chemin du retour.

Un petit décrassage eu lieu après une montée, à l’initiative d’Olivier. Le grand plateau venait d’être passé quand nous nous sommes arrêtés pour rallier toute la troupe. Nono était là à mes côté et Clément juste derrière.

A la voie romaine, nous faisions une nouvelle pose. Cette pose mis un peu plus de temps. Nous restions en place en train d’attendre une partie de l’équipe qui ne venait pas. Nous avons fait demi tour pour aller voir ce qui n’allait pas. Ayant remonté avec Clément et Nono le pentu, nous vîmes las autres arriver. Ils nous dirent au passage que Fred venait de perdre son disque arrière. Ce n’est pas courant comme panne.

La suite fut une rentrée vers Senlis plutôt sportive. Le grand plateau fut mis sans jamais être retiré. La vitesse sur route devait avoisiner les 35 km/h. Un train s’était mis en marche. Nono et moi y représentions les vététeux.

Au final, ce fut une belle sortie durant laquelle nous avons donc fait la causette avec nos compagnons de sortie et fait davantage connaissance. Le temps se prêtait à notre pratique sportive. Ce sport qui fut vecteur de rassemblement en ce dimanche matin.


La moyenne au compteur était de 19,4 km/h. Comptant l’aller-retour entre l’appartement de Cédric et le point de rendez-vous, nous enregistrions 44 bornes au compteur. Pas mal pour une sortie qui était compromise deux jours auparavant. Le dénivelé + est de 382 m.

La semaine prochaine nous devrions sûrement être à la Neuville, histoire de grimper un petit peu. On en rediscutera à l’occasion sur le blog.